Mal-logement

Orthophoto Nord / Nord Est Paris - Orthophoto © InterAtlas 2009 Août 2009 Densité Opérations de logements et quartiers urbains Densité Opérations de logements et quartiers urbains Août 2009 IAU île-de-France 15, rue Falguière 75740 Paris cedex 15 Tél. : 01 77 49 77 49 - Fax : 01 77 49 79 07 http://www.iau-idf.fr Directeur général : François Dugeny Département urbanisme, aménagement et territoires : Jean-Pierre Palisse, directeur de département Étude réalisée par Gwenaëlle Zunino

l’école. Une grande bâtisse avec une cour où se promenaient des personnes très vieilles, mal habillées qui faisaient peur parfois lorsqu’elles poussaient des cris ou nous regardaient. Cette image m’est restée gravée sachant que de nos jours ce genre d’endroit n’existe plus. On ne parle plus d’hospice mais de maison de retraite. La vie y est désormais plus agréable qu’à cette époque, mais le fait de quitter son logement individuel pour aller vivre dans un milieu collectif et inconnu n’est pas, à mon avis

Maison d’enfants de Meysse. Dans le foyer, Camille a du mal à trouver sa place, elle à tendance à s’isoler lorsqu’elle ne va pas bien, elle est aussi très influençable, ce qui explique qu’elle part souvent en fugue avec d’autres. Elle va chez sa mère un weekend par mois, mais la relation mère/fille ressemble plus à du copinage car sa maman a du mal à poser le cadre. Lorsqu’elle était petite, Camille vivait avec sa maman qui n’avait pas de logement fixe, elle vivait chez son conjoint du moment. Mais

meilleure intégration et sont attentifs à toutes souffrance et besoins de soins. Le F est agrée et financé par la DDSP en tant que foyer d’hébergement de travailleurs handicapés. Les résidents qui y sont accueillis peuvent prétendre à l’allocation logement et à l’aide sociale départementale. Une équipe de professionnels : Le F est géré par l’association Les P B et dirigé par un Directeur de site, un chef de service éducatif qui organise et planifie le fonctionnement de l’équipe, d’une équipe composées

suite, un élément primordial dans le déroulement de l’histoire. En effet, Georges Duroy débute son parcours tout au bas de l’échelle puis passe, tout au long de l’histoire, d’un milieu défavorisé à un milieu riche voire luxueux. Son premier logement est une chambre désordonnée au sixième étage d’un immeuble situé dans la rue Boursault (17ème arrondissement), quartier assez modeste de la capitale. L’état pitoyable de cette chambre est souligné par l’expression : ‘‘dissimuler le mieux possible

petits avantages comme:tous les biens acquis par l'un des conjoints sont partagés pour les deux, les deux conjoints peuvent prendre leurs congés en même temps. En cas de location lorsqu'un des deux partenaires est décédé ou décide d'abandonner son logement son conjoint peut le récupérer sans être expulsé. Et lorsque l'un des deux est muté, son conjoint peut demander sa mutation pour se rapprocher de son compagnon par exemple dans la fonction publique où ce genre de demande est accepter sans problème

Mohamed DAHLIA A : Département d’architecture, université Mouloud Mammeri Tizi-Ouzou, ALGERIE. sanaura@hotmail.fr uni_ukr@yahoo.fr Résumé : Le patrimoine architectural colonial du 19éme et 20éme siècle, mal connu et non reconnu, occupe une place importante dans le parc national du logement. Il est clair que sa mise à l'écart ne pourra que renforcer sa dégradation et par conséquent la perte des valeurs de ce dernier. Il est important de souligner que l'ensemble de ce parc immobilier, représentant

conversation qui a eu lieu entre M. Myriel et le directeur de l’hospice à propos des conditions de vie des malades. La troisième et dernière qui va de « cette conversation » jusqu’à la fin du texte, relate la décision de M. Myriel d’échanger son logement contre celui des pensionnaires de l’hôpital. B- PREMIERE PARTIE : L’« hôtel » et l’« hôpital » . Le titre : - Le titre, qui annonce le contenu du chapitre, se base sur une double opposition :

que l’alcoolisme est un problème récurrent dans sa famille. Coupeau lui avoue également que dans sa famille, il connait le même problème. Gervaise accepte d’épouser Coupeau, quelque temps après. Il la présente à sa sœur, Lorilleux, mais elle est très mal reçue.  Chapitre 3 : Gervaise et Coupeau s’unissent le 29 juillet 1850. Un orage estival éclate. Pour se protéger de la pluie et des éclairs, les mariés et les invités se réfugient dans le musée du Louvre. Le repas de noce est gargantuesque. La nourriture

n’ai pas besoin de prendre de douche,je me suis douchée hier et, de toute façon je n’ai pas d’affaires ». Je lui ai alors répondu qu’il fallait que je l’amène à la douche avant que l’ambulance vienne la chercher pour la ramener dans son foyer de logement et que, elle avait des affaires puisque son fils lui en avait amené la veille . Elle s’est alors énervée et j’y ai dit que j’allais chercher l’aide-soignante. Pendant ce temps, Mme R, sa voisine, n’arrêtait pas de me parler en me demandant si Mme