Manioc

sucre (utilisée en particulier pour l’éthanol qui sert de biocarburant), au second rang pour le soja, au troisième rang pour le maïs et le cacao. Il occupe aussi les premières places dans la production mondiale de coton, de caoutchouc, de Cacao, de Manioc, et de riz ainsi qu’une énorme production agrumes et raisins dans les régions tempérées du Sud. B. L’élevage une activité importante (ANNEXE 2) L’élevage bovin : 207 millions têtes, premier troupeau au monde La viande porcine: 3ème producteur

les angrets sont répandue par des ovions . 3) L'agiculture vivriére . Il s'agit d'un type essentiellement pratiqué dans le PMA dans lequel les Hommes ne consommes que ce qu'il produissent . En Afrique les Hommes consommes surtout mil, sorgho et du manioc . Qui sont des plantes et des céreales peut nourissantes . Les récoltes sont medeste et parfois elle sont détruites par des nuages de criquets, se qui provoque la famines en Asie la culture du riz et surtout pratiquédans des riziére familiales ou

au marché traditionnel, restent un appoint économique important pour le pays qui produit notamment dans ce domaine du maïs (608 032 tonnes sur 278 679 ha) du riz (673 006 tonnes sur 340 856 ha), de l'igname ( 4 970 949 tonnes sur   563 432 ha), du manioc ( 2 047 064 tonnes sur 269 429  ha), de la banane plantain ( 1 519 716 tonnes sur 433 513 ha). Des productions de citron, de bergamote et de bigarade sont également notées, mais en quantité plus faible. Le développement de l'élevage reste un objectif

cependant que ces dépendants travaillent dans des plantations dont les produits sont entièrement reversé à l’ainé: planificateur central. Les principaux produits agricoles cultivé dans le pays Gouro sont le riz, la banane plantain, l’igname, le taro, le manioc et le maïs par ordre de préférences avec deux cycles agricoles. Le cycle du riz et le cycle de l’igname qui sont combinés avec les cultures citées ci-dessus, des légumes et plus récemment le cacao et le café. L’agriculture vivrière joue dans cette

transporter en canoë dans leur village. Ils ramènent ensuite le fruit de leur pêche en canoë. Ils pratiquent la pêche quelques mois par an pendant la saison où les eaux montent. Pour le reste, ils pratiquent la cueillette, mais aussi la culture du manioc et du maïs. Ils apprécient aussi le miel. Quelques rituels. 1 - Le miel. Le plus important des rituels est la fête du « YAOKWA ». Cette fête est pratiquée dans le but d’échanger de la nourriture entre les hommes et les esprits. Pendant

humaines : semis, fertilisation, traitements phytosanitaires de la prairie – soins vétérinaires des animaux – apports en eau – amélioration génétique des semences et de la race animale. 5. Améliorer ses pratiques culturales 1. La multiplication du manioc se fait soit par voie asexuée (bouturage), soit par reproduction sexuée (productions de graines). 2. Le défaut du bouturage est la transmission de maladies à la descendance génétiquement identique. 3. a. C’est le brassage génétique lié à la reproduction

ensoleillement très important pendant la saison sèche) n'ont pas les mêmes possibilités et diversités de cultures. Elles se limitent à une culture des légumineuses (pois, haricots, lentilles, arachide, soja...), de tubercules (pommes de terre, igname, tapioca, manioc...) et les racines (carottes, radis, rutabaga, salsifis...). Un accès inégal aux technologies Tous les agriculteurs ne sont pas équipés de la même façon pour produire des ressources, d'où un rendement différent. Depuis la Révolution Industrielle

besoins des ménages sont largement couverts, notamment par apport au manioc qui est la principale alimentation de la population en RCA. Le bilan (production comparée aux besoins de consommation) par ménage dégage d’ailleurs un excédent de l’ordre de 415 kg. La satisfaction des besoins des ménages en ce qui concerne les autres produits dont le bilan affiche un déficit peut être couverte par la vente du surplus de production du manioc et par la réalisation d’un certain nombre d’AGR dont les plus citées

délai de production (recette) du projet ne doit pas excéder un an (A l’exception des projets de production de manioc) ü Les projets existants qui ont besoin de renforcement des activités et les projets dont les conditions de mise en œuvre existent déjà (terre cultivable, main d’œuvre, …) ü Les projets n’ayant pas d’impact négatif sur l’environnement ü Les projets de transformation du manioc ü Les projets d’élevage à cycle court (volaille chair, pondeuse, lapin, porc,…) et les projets de production

de près de 60 000 T par an même si pendant la campagne 2007/2008, on a enregistré une chute avec seulement 42 450T. Pour l’arachide, la production 2007/2008 est estimée à 28 173T. D’autres spéculations ont donné les productions suivantes : Manioc (1740T), Sésame (442T) et Niébé (320T) L’arboriculture (anacardes, mangues, oranges, bananes, etc.) et le maraîchage sont également pratiqués à grande échelle partout dans la région, mais butent à des difficultés d’écoulement liées à l’enclavement