Manuel d'Épictète

EXPLICATION DE TEXTEINTRO:Dans ce texte que nous allons expliquer, extrait du Manuel de epictète , Epictète aborde le thème de La liberté. la question a laquelle il repond est la suivante : Dans quelles conditions pouvons nous nous déterminer comme libre. Epictète defend la thèse suivant laquelle pour etre Libre il faut s'acquitter de toutes contraintes. Dans un premier temps Epictète reformule sa thèse suivant laquelle l'homme qui n'est soumis a aucune contraintes est un Homme libre. Dans un Deuxième

qui ne dépend pas de lui. "Nos jugements, nos tendances, nos désirs, nos aversions dépendent de nous, alors que notre corps, notre richesse, la célébrité, le pouvoir, ainsi que le fait de changer l’ordre naturel des choses n’en dépendent pas" (le Manuel). Pour être heureux, il faut être indifférent à ces réalités. En désirant ce qui ne dépend pas de moi, je fais mon malheur. L’homme qui veut le pouvoir désire quelque chose qui ne dépend pas de lui. En effet, c’est toujours autrui qui me confère un

des Hommes. Il est essentiel de se concentrer sur les choses qui dépendent de nous, soit notre jugement et notre pensée puisqu’ils sont les seules choses qui sont en notre pouvoir pour nous aider à atteindre le bonheur. Dans le chapitre V du Manuel d’Épictète il est écrit : **Ce qui tourmente les hommes, ce n'est pas la réalité mais les jugements qu'ils portent sur elle. ** Ainsi, il est essentiel, afin d’atteindre une tranquillité d’esprit, de se concentrer sur ce que nous pouvons réellement changer

être fausse; c’est dans le jugement, l’opinion que résident l’erreur et le faux. C’est dans l’analyse de nos sensations que l’on transforme une idée ou un objet en une définition faussée de celui-ci. On retrouve le même genre d’idée dans le Manuel d’Épictète, où il affirme que les opinions troublent l’âme; le sage, le philosophe, doit les combattre pour atteindre l’indépendance de l’âme. Finalement, se fier à ses opinions, comme elles sont, par définition, jugées vraies par leur auteur, guide rapidement

intérieur − auquel seul l’homme sage peut accéder en se rendant maître de ses passions. Seule la vertu, par conséquent, rend véritablement heureux − on ne saurait rechercher le bonheur sans vouloir en même temps la vertu (cf. en particulier le Manuel, d’Épictète). © Hatier 1 Editions Hatier Transition Pourtant, cette conception du bonheur est discutable : il semblerait en effet que le souverain bien reste un idéal hors d’atteinte et que la vertu, en réalité, ne procure pas nécessairement

le plaisir. Dans ce cas, le désir de l’impossible peut avoir pour fin de nous protéger de la déception en nous évitant de nous confronter à la réalité. 2) Au contraire, la quête du possible est source de bonheur et de sagesse D’après le Manuel d’Epictète, le désir appartient aux « choses qui dépendent de nous », ce qui signifie que nous pouvons avoir une action sur lui grâce à notre libre volonté. La sagesse consiste ainsi à maîtriser nos désirs, en poursuivant seulement des désirs possibles

jamais le plaisir. Dans ce cas, le désir de l’impossible peut avoir pour fin de nous protéger de la déception en nous évitant de nous confronter à la réalité. 2) Au contraire, la quête du possible est source de bonheur et de sagesse D’après le Manuel d’Epictète, le désir appartient aux « choses qui dépendent de nous », ce qui signifie que nous pouvons avoir une action sur lui grâce à notre libre volonté. La sagesse consiste ainsi à maîtriser nos désirs, en poursuivant seulement des désirs possibles

les noms de Sénèque (4 av. JC – 65 ap. JC) (De la brièveté de la vie, De la tranquillité de l’âme, De la providence, etc.), Epictète (50-130 ap. JC, esclave affranchi dont les Entretiens et le Manuel sont illustres), et Marc Aurèle (121-180, empereur romain venu à la philosophie à travers la lecture d’Epictète et qui écrivit des Pensées, réunies après sa mort sous le titre A lui-même). Dans le Stoïcisme, le bonheur désigne l’indépendance vis-à-vis des circonstances extérieures et le détachement à

la situation, mais de porter la certitude sur sa décision et sa résolution à agir, et non pas sur l’issue de l’action, qui nous échappe du fait de son inscription dans un ordre du monde inaccessible. Cette morale, d’inspiration stoïcienne (Manuel d’Epictète), permet l’action dans l’entreprise du doute. Mais la troisième maxime reste ambiguë. Devons-nous abandonner notre connaissance du monde, pour être sûr de soi ? Devons-nous choisir entre la certitude de l’action et la certitude de notre être

doit chercher seulement comme étape vers un plus grand plaisir. Vidéo Expérience de Mischel :C. Le bonheur comme acceptation : Le stoïcisme · Texte d’Épictète, Manuel Le bonheur peut résider dans le fait d’accepter l’ordre du monde. C’est ce que soutien Épictète dans le Manuel , selon lui il existe deux types de choses dans le monde : Les choses qui dépendent de nous et les choses qui ne dépendent pas de nous autrement dit les choses