Marge Commerciale Celio

production et / ou transformation. La valeur ajoutée concerne les entreprises de production ou transformation. Pour les entreprises de négoce et prestations de services on parle de marge commerciale. Elle n’est significative que pour les entreprises de production, mais pour des raisons d’analyse financière on ajoute la marge commerciale à la valeur ajoutée. Production – consommations intermédiaires (achat MP, charges externes : crédit bail, intérim…) Deux postes auront une incidence importante dans la Valeur

| | |DE L'EXERCICE | | |627219 |Coût d'achat des marchandises |226498 |• MARGE COMMERCIALE |400721 | |Ventes de marchandises……………... | |vendues(achat de marchandises + variation de | |

Application 1 Fabricant A Marge nette du fabricant ? 250 - 180 = 70 soit 70 € de marge nette. Qu’est-ce que le coût de revient ? C’est la somme de tous les coûts (production, commercialisation...). Distributeur B Marge brute du distributeur ? 350 – 250 = 100 soit 100 € de marge brute. Taux de marque ? (100/350)*100 = 28.57 soit 28.57 %. Marge nette de distributeur ? 100 – 25 = 75 soit 75 € de marge nette. Taux de marge ? (75/250)*100 = 30 soit 30 %. Coefficient multiplicateur

manutention, d’élimination (bouteille compactable)… - Faciliter l’utilisation, ex : bec verseur (produit Canard WC)... - Garantir une quantité. - Protéger l’environnement (utilisation de matériau biodégradable…). • Fonctions commerciales : elles contribuent au succès commercial du produit et permettent de se différencier. • Pour l’entreprise : le packaging est un élément fort d’identification il véhicule ses choix stratégiques en terme de cible, d’image et de positionnement (ex : pot en verre pour

informations concernant la prise de décision, de gestion, ou à la prise de décision stratégique. • Évolution du chiffre d'affaire : ((CAn - CAn-1)x100) / (CAn-1) • Taux de marge commercial : (marge commerciale x 100) / Ventes de marchandises • Taux de marge brute : (marge brut x 100) / production de l'exercice • Taux de valeur ajoutée : (Valeur ajoutée x 100) / Chiffre d'affaire Analyse de la rentabilité : On établie ces ratios pour repérer le

emploi négatif >>> c’est donc une ressource (l’opposé d’un emploi). Effets escomptés non échus (EENE) : lettre de change, billet à ordre = reconnaissance de dettes >>> clients qui n’ont pas encore payés. On possède un billet commercial : la banque nous verse l’argent et le client règle directement au banquier à l’échéance. S’l ne paye pas, la banque nous demande le remboursement. Les effets sortent donc des comptes clients de la comptabilité. Pour les financiers les effets escomptés

du secteur mesurer l’évolution dans le temps 2.2. Présentation et calcul Marge commerciale : Vte de m/ses – Coût d’achat m/ses Coût d’achat m/ses = Achat m/ses + ∆ du stock de m/ses Elle mesure les performances des activités purement commerciales. Production de l’exercice : P° vendue + P° stockée + P° immobilisée Il s’agit du montant de ce qui a été fabriqué par l’entreprise. Valeur ajoutée : Marge ciale + P° de l’exercice – conso° en provenance de 1/3 Conso° en provenance de 1/3

1. La marge commerciale mesure l’excédent des ventes de marchandises sur le coût d’achat des marchandises vendues. C’est un indicateur caractéristique du secteur d’activité. Son analyse est essentielle dans le cas d’une entreprise commerciale car elle mesure la marge réalisée sur l’activité de vente. Elle est très faible pour la grande distribution, et élevée dans la distribution spécialisée, le commerce de luxe, le commerce traditionnel avec après-vente. 2. La production de l’exercice

constitue une mesure de l'intégration de l'entreprise dans son secteur. B- Le mode de calcul Elle est égale à la somme de la marge commerciale et de la marge sur consommation de matières, diminuée des consommations de biens et de services en provenance des tiers. Formule : ------------------------------------------------- Production de l’exercice+Marge commerciale-Consommations de l’exercice en provenance des tiers Production de l’exercice : Cette notion est réservée aux entreprises

Les calculs commerciaux Les jurys d’examens font régulièrement le constat d’une aversion de nombre d’élèves pour les calculs commerciaux, laquelle se traduit par de terribles maladresses ou de regrettables erreurs. Rappelons-nous que le premier facteur contrejouant la rentabilité d’une entreprise consiste bien dans la baisse des ventes. Et cela surtout à travers une baisse de prix vis-à-vis au fait que les charges restent cependant constantes. Prenons l’exemple d’une entreprise qui vend 1250 €