Marie Duru-Bellat

économiques, inégalités sociales », Cahiers français, n° 351, juillet-août 2009. Panorama des inégalités (hommes/femmes, écologiques, scolaires…), des comparaisons internationales de richesses et toute une partie sur la réduction des inégalités. ● Marie Cordier, Cédric houdé, Catherine Rougerie, « Les inégalités de patrimoine des ménages entre 1992 et 2004 », Données sociales, INSEE, 2006. ■ Ouvrages ● ■ Site Internet incontournable pour aborder les questions liées aux inégalités : http://www

descendante) ;  le déclassement par rapport aux diplômes (ne pas réussir à obtenir un emploi corres- PRÉPA BAC, p. 217 Il y a des débats importants chez les sociologues sur la question du déclassement (cf. les travaux de C. Peugny, L. Chauvel, M. Duru-Bellat). Le document 4 ne contredit pas les documents précédents, il apporte une nuance ou un regard différent. 1. Il faut observer que le champ de l’étude n’est pas le même :  C. Peugny (doc. 1 et 2B) étudie la mobilité intergénérationnelle presque en

intergénérationnelle descendante) ; le déclassement par rapport aux diplômes (ne pas réussir à obtenir un emploi corres- Il y a des débats importants chez les sociologues sur la question du déclassement (cf. les travaux de C. Peugny, L. Chauvel, M. Duru-Bellat). Le document 4 ne contredit pas les documents précédents, il apporte une nuance ou un regard différent. 1. Il faut observer que le champ de l’étude n’est pas le même : C. Peugny (doc. 1 et 2B) étudie la mobilité intergénérationnelle presque en

l’Institut National d’Orientation Professionnelle par Henri Piéron et à l’apparition des premiers services de psychologie dans des grandes entreprises comme Renault (1928) et Citroën (1929). On doit également évoquer les travaux précurseurs de Jean-Marie Lahy, fondateur du Laboratoire Psychotechnique de la STCRP (future RATP) en 1924 et de celui de la Compagnie des chemins de Fer du Nord (puis SNCF) en 1932. Il s’agissait, dans tous les cas, de créer et valider les épreuves psychométriques utiles à

famille, y compris à leurs plus jeunes sœurs et à leurs nièces pour les aider à se scolariser (McAddo et Were, 1987; Richardson, 2001). Les codes culturels liés au mariage favorisent les hommes, mais ils sont variés et évolutifs. Les femmes mariées emménagent souvent dans la maison de leur mari et à l’âge de 7 ans pour les garçons, et de 14 ans pour les filles, les enfants sont souvent considérés comme appartenant à la lignée de leur père. Le mariage est réglé par le principe de la dot (mahari)