Marot épître Au Roi

Pléiade : les « grands rhétoriqueurs », Marot et une conception ludique de la poésie« En m'ébattant je fais rondeaux en rime,Et en rimant bien souvent, je m'enrime ;Bref, c'est pitié d'entre nous rimailleurs,Car vous trouvez assez de rime ailleurs,Et quand vous plait, mieux que moi rimassez,Des biens avez et de la rime assez :Mais moi, à tout ma rime et ma rimaille,Je ne soutiens (dont je suis marri) maille.Or ce me dit (un jour quelque rimart)« Vien ça, Marot, trouves tu en rime artQui serve aux gens

les amours, Ronsard Musicalité et forme libre permette de rendre plus vivant et plus expressif l’émotion que le poète veut créer -> calligrammes, Apollinaire  Travail poétique Utilité de la poésie : émouvoir le roi pour parvenir à ses fins -> Clément Marot : petite épitre au Roy, 1518 Nicolas Boileau met un point d’honneur au travail poétique : art poétique Sobriété et justesse de l’élégance promeut par Malherbe et Vaugelas.  Recherche de la perfection Art pout art : parnasse

9ème guerre : 1542-1546 10ème guerre : 1552-1556 11ème guerre : 1556-1559 Henri VIII : Henri VIII était un roi anglais. En 1527, il demande à divorcer car sa femme ne lui a pas donné d’héritier. Cependant, le pape s’y oppose. Il est le fondateur de la religion anglicane et est connu pour ses nombreuses femmes (dont trois sont exécutées). François Ier : François Ier était un roi de France. Il est l’emblème de la Renaissance française car c’était un grand défenseur des arts et des lettres (il

nous évader d’une réalité traumatisante ou décevante. L’invitation au voyage Baudelaire 19ème siècle Malines Verlaine 19ème siècle Le Conte de Lisle l’orbe d’or 19ème siècle Pères et Mères Grand Corps Malade 21ème siècle Petite épître au roi Clément Marot 16ème siècle Paysage Guillaume Apollinaire 20ème siècle Un hémisphère dans une chevelure Baudelaire 19ème siècle Louis Aragon Elsa 19ème siècle Apollinaire Poèmes à Lou 20ème siècle Eluard les yeux fertiles 20ème siècle II

la forme parfaite qu'atteindra le XVIIe siècle. La poésie. La première période du siècle, où l'on sent le besoin d'une réforme littéraire, est marquée par Clément Marot, qui fait suite au Moyen âgee, hérite de Villon et de son esprit. Boileau a bien jugé Marot, et il n'y a rien à changer à son expression d'élégant badinage. Marot est au-dessous de Villon pour la créativité; mais plus orné, plus correct, il a trouvé le secret de plaire en plus haut lieu, et, depuis Jehan de Meung, c'est le premier

Le XVIème siècle : la renaissance et la réforme La poésie L'héritage médiéval : les réthoriqueurs, Marot La poésie lyonnaise : Scève, Louise Labé Les poètes de le Pléiade : Du Bellay, Ronsard La poésie épique : d'Aubigné Le roman et le conte Rabelais, Marguerite de Navarre Le théâtre La tragédie : Jodelle, Garnier La comédie : Jodelle La littérature d'idées Montaigne La France connaît une période de grande activité intellectuelle

Clément MAROT Poète Français du 16eme siècle. Il fut au service de Francois 1ere , fut quelques années de prison Œuvres : Ballade ,Petite épître au roi , Et un Rondeau célèbre aux sonorités Joyeuses , et Guillerettes . Mais aussi ce dernier nous reflète la personnalité de Marot . « Dedans Paris , ville jolie, un jour passant mélancolie ,

siècle, les poètes et plus particulièrement Marot, tendent à écarter l'éloquence au profit de la sincérité et de la justesse, par un renouvellement des formes poétiques. Les innovations marotiques - Marot innove en s'inspirant de 3 genres lyriques hérités des poètes latins : L'églogue, qui chante la vie des berges, l'épigramme amoureuse, qui traduit en quelques vers une émotion simple, et l'élégie, qui exprime la tristesse. - Marot va réintroduire le blason, qui consiste à faire

ce poète, qu'il apprenait par cœur la nuit, qu'il allait déclamer le jour dans les bois ; il voulut même l'imiter, mais son bon goût l'arrêta : Il pensa me gâter, dit-il. Jean de la Fontaine A cette lecture il joignit celle de Rabelais et de Marot ; puis un de ses parents lui fit connaître quelques auteurs anciens, Térence, Horace, Quintilien, Plutarque et Platon ; ces deux derniers surtout étaient ses auteurs favoris. La littérature italienne était fort en vogue du temps de La Fontaine, il

est "Epitre au Roi pour sa délivrance" écrit par Clement Marot et datant de 1527. Le deuxième date de 1850, a été écrit par Alfred de Musset, se nomme "Le mie prigioni" et est tiré du recueil Poésies nouvelles . Le troisième a été écrit par Paul Verlaine, date de 1881 et est tiré du recueil Sagesse. Le dernier est un poème de Guillaume Appolinaire datant de 1913, tiré du recueil Alcools et qui s'appelle "A la santé". Ces poèmes ont été écrit a des dates différentes, cependant le poème de Marot a été