Marqué par la haine

acte de révolte et de rébellion de la domestique, qui se permet de « cracher » sur sa maîtresse, même si c’est pour la bonne cause. D’où la réaction de la maîtresse à partir de la ligne 24. En effet, la réaction de la maîtresse, jouée par Claire, marque une nouvelle étape dans le jeu de rôle, avec l’agressivité croissante du personnage de « Madame ». Son rappel à l’ordre : « Je vous ai dit, Claire, d’éviter les crachats », puis ses formulations de souhaits malveillants vis-à-vis de la domestique

« prophétie », « libelle » et « songe » qui donne un effet ambigu sur l'histoire, car en effet glocester annonce le futur et évoquant le drame qu'il va commettre. Cette idée et d’ailleurs fortement renforcer par l'isotopie de l'homicide « donnera la mort », « haine mortelle », « mis en cage » qui démontre une monstruosité du personnages. B) Exposition de l'intrigue « Ce jour doit voir Clarence mis en cage[...] G donnera la mort aux héritiers... » qui démontre la monstruosité et la violence dans les propos

en [ba] avec les mots « bat , combat et bataille » Le poème est rythmé par des répétition telle que l'anaphore « Ce cœur qui » aux vers 1 et 2 . Aux vers 1 et 4, la reprise de l'expression « voilà qui » ainsi qu'une succession du pronom « que » marque la montée de la révolte . Dans la phrase initiale, « Ce cœur qui haïssait la guerre » , on peut distinguer une antithèse entre le « cœur » symbole de la vie et « la guerre » signifiant la violence et même la mort Dans les cinq premières lignes

société du XVIIIe s à travers M de Merteuil dans cette lettre confidentielle ? I) Une lettre Critiquant et dénonçant L’EDUCATION a) La haine envers les autres femmes Dans cette lettre attribuée au Vicomte de …., La marquise de merteuil critique et dénonce l’éducation donnée par la société du XVIIIe s, notamment aux femmes. La marquise ressent beaucoup de haine envers ces femmes qu’elle qualifie de « femmes à délire », dont elle dresse le portrait. En effet, elle soutient que ces femmes n’ont jamais

de Jean RACINE Acte I, scène 4, vers 338 à 384 Depuis toujours, les auteurs ont aimé reprendre les mythes de l’Antiquité. Jean Racine publia Andromaque en 1667. Cette tragédie classique marque le tournant de sa carrière. Il s’agit d’une pièce qui présente une chaîne amoureuse à sens unique : Oreste aime Hermione, qui veut plaire à Pyrrhus, mais ce dernier aime Andromaque, qui elle-même aime son fils Astyanax et son feu mari Hector. Oreste

elle et Jason, elle a brisé ce lien par sa haine. Cette haine la rend odieuse comme on le voit dans les vers « heureux père et mari » alors qu’elle vient de tuer ses enfants, « va posséder Créuse », « va bienheureux amant cajoler ta maîtresse » alors qu’elle vient de la tuer aussi. Cette ironie est synonyme d’excitation à la haïr progressivement, elle utilise les points faibles de Jason pour l’atteindre. Médée est redoutable, elle est puissante. Elle marque celle-ci en utilisant l’impératif « lève

actions de la solution finale mise en place par les nazis ? Tout d’abord, nous verrons quels étaient les objectifs de ce génocide. Puis, nous étudierons sa mise en œuvre concrète à travers ce document. Hitler, soldat de la grande guerre, voue une haine viscéral envers les juifs. D’après lui, la race aryenne est supérieure et doit dominer le monde, c’est pourquoi une purification de celle-ci est nécessaire afin d’éviter que l'humanité soit envahie par la faiblesse et l'infirmité. Il exclut donc

la discussion semble être reine - beau-fils mais Phèdre va finir par livrer ses sentiments personnels. Phèdre substitue le portrait de Thésée à celui d’Hippolyte, son beau-fils. Tout d’abord, Phèdre passe du « vous » au « tu ». Cette transition marque le début de ses aveux. Elle qualifie Hippolyte de « cruel » (vers 671) car elle lui affirme un amour impossible. L’exclamation « tu m’as trop entendu » (vers 671) montre bien qu’elle révèle quelque chose. « Je t’en ai dis assez pour te tirer d’erreur »

notamment à faire une réflexion sur la vie, la précarité de l’existence et le tragique de la condition humaine. D’ailleurs, la critique sociale des expressionnistes s’intensifie davantage après la Première Guerre mondiale, qui les aura profondément marqués. L’armée, la guerre et la violence devient alors une source d’inspiration première pour ces artistes. Dans cette optique, les peintres expressionnistes illustrent souvent le sujet de l’humanité, présentée sous un jour dérisoire et pathétique.

matière et l’action. Dans l'univers, représenté chez lui par une sphère, tout procède ainsi de la combinaison et de la séparation de ces éléments mus par l'action de deux principes : l'Amour (Eros) et la Haine (Thanatos). Alors que l'Amour est la force qui réunit et combine ces quatre racines, la Haine engendre quant à elle leur séparation. Ces quatre éléments principaux ne changent pas qualitativement ou bien quantitativement. On ne serait jamais plus ou moins de ceux-ci (l'immutabilité quantitativement)