Marsyas

n’exclut pourtant pas que la langue française rivalise à son avantage avec elles, et, du même coup, il alimente une réflexion déjà moderne sur le caractère transitoire des civilisations._ _ Quoi donc (dira quelqu’un), veux-tu à l’exemple de ce Marsyas, qui osa comparer sa flûte rustique à la douce lyre d’Apollon, égaler ta langue à la grecque et latine ? Je confesse que les auteurs d’__icelles nous ont surmontés en savoir et faconde : ès quelles choses leur a été bien facile de vaincre ceux qui

KAPOOR (1954) : Marsyas, 2002, turbin hait, anneaux d'acier, toile de PVC installation à la tate modern , Londres appréhender d'un seul regard couleur rouge nervuré = organes my red homeland, 2003 résine et pigment rouge à température ambiante il se ramollit comme de la cire la pièce fait un tour en une heure le piveau va créer une sorte de mur progressivement travail qui joue sur la présence des chose le corps c'est l'oeuvre elle-même Le TITIEN (1488-1576): Marsyas écorché, 1575-1578

pour  avoir  prolongé  l’existence  des  hommes.   Apollon  musicien…   •  Organise  des  duels  musicaux  pour  prouver   qu’il  est  le  meilleur.   –  Avec  Pan.   –  Avec  Marsyas.   Apollon,  dieu  de  la  lumière…   Mission  Apollo,  pourquoi  ?   Héphaïstos  (dieu  des  forges)   Zeus  et  Héra   Arès  (dieu  de  la  guerre)   sportnat

comprendre la personnalité de 7 sur 18 09/05/2013 15:43 PLATON, LE BANQUET - Résumé et Commentaires http://rozsavolgyi.free.fr/cours/civilisations/platon banquet resume/ Socrate, il faut la comparer aux Silènes et au satyre Marsyas... a) A Marsyas. - Marsyas se servait d'une flûte pour séduire. Socrate, lui, n'a besoin que de paroles pour charmer ses auditeurs. Il ne recourt pas, pour susciter des émotions, aux artifices de l'éloquence utilisés par Périclès et d'autres bons orateurs. Il

sur le chemin du calvaire et qui fut attaché à la croix avec des clous semblables à ceux qui transpercent Frida. ANNEXE Mise en relation avec d’autres œuvres abordant le thème de la souffrance : Titien, Apollon écorche Marsyas, 1576 Mise en relation avec d’autres autoportraits : Picasso, autoportrait, 1907 Autoportrait Vincent van Gogh (1889) Autoportrait à la fourrure, Albrecht Dürer, 1500 Gustave Courbet, le desespéré, 1843-45 Mise en relation avec les œuvres

l'antiquité.   VRAI/FAUX     F   V   F   V   F   V                                     Sarcophage  romain.  Concours  entre  Apollo  et  Marsyas.     Un  orgue  hydraulique  (instrument  à  vent)         Écoutez   le   texte   une   deuxième   fois   et   répondez   aux   questions.   Soulignez   les   réponses

de l'Antiquité, pour ses chorégraphies, notamment pour la position des mains mais aussi pour les perspectives. De plus, le thème principal est joué à la flûte, or dans la mythologie, le faune Marsyas, effectua un duel musical qui opposa sa flûte à la lyre d'Apollon. Ayant perdu, l'instrument de Marsyas, est devenu l'instrument lié au satyre. C'est donc peut-être pour cela que Debussy associa la flûte au faune, le satyre. Par ailleurs, ce ballet n'en est pas moins moderne. En effet, comme vu

Alcibiade est semblable à Apollodore, il aime la philosophie mais n’y accède pas. • Il commence par une description du personnage à l’aide de deux comparaisons : avec les silènes laids extérieurement et beaux intérieurement et le satyre Marsyas dont la voix jette le trouble et enchante à la fois. • Il en vient ensuite aux vertus de Socrate, en commencent par la modération, qu’il illustre par le récit sans fard de l’échec de sa séduction. Puis son endurance, son pouvoir de concentration

l'Amour mais de Socrate justement, dans un portrait visant le vrai et non la flatterie. Alcibiade commence en traitant de l'aspect séducteur de Socrate, qu'on ne peut comprendre qu'en le comparant aux autres façons de procéder, notamment celles de Marsyas. Quand se dernier se servait d'une flûte pour séduire, Socrate n'a besoin que de parole, sans artifices d'éloquence. C'est le seul à avoir troublé Alcibiade, aussi ce-dernier se sent-il honteux lorsqu'il cherche l'admiration de la foule. Alcibiade

In Lichen (Le creux poplité, 1987). D’autres chorégraphes continueront ce travail basé sur l’appui suspendu : par exemple, Philippe Decouflé dans Petites pièces montées, 1993. 13 Hubert GODART, « A propos des théories sur le mouvement », Revue Marsyas, n° 16, décembre 1990, p. 19. 14 Hubert GODART, « Proposition pour une lecture du corps », Bulletin du CNDC d’Angers, n° 6, avril 1990, p. 8. 15 Hubert GODART, « Le geste et sa perception », GINOT I. et MICHEL M. éds., op. cit., p. 225. Dans cet