Marsyas

cas avec son travail. On en retrouve la trace le 11 mai 1707 lors d’une vente de peintures de la collection d’Isaak Vanden Blooken. Ce prométhée enchainé par Vulcain était accompagné par deux autres tableaux que sont « adam et Eve » et « appolon et Marsyas ». Baburen a donc représenté le mythe de Prométhée. Prométhée est un titan qui vola le feu au dieu pour le donner aux hommes. Il leur enseigna aussi la métallurgie et d'autres arts, eux-mêmes enseignés à Prométhée par Athéna qui était complice

:!musique!! 9.+ Terpsichore!:!danse.!! Marsyas! Marsyas!était!un!Satyre!très!très!talentueux!a!la!flûte.!Il!disait!ne!craindre!aucun!rival,! pas!même!le!dieu!de!l'harmonie.!Apollon!accepta!le!défi!à!la!condition!que!le!vainqueur! dispose!du!vaincu.!Marsyas!accepte!et!perd!le!défi.! N'acceptant!pas!la!défaite,!il!insulte!Apollon!et!il!est!écorché!vif!a!un!arbre.! Midas! Il!avait!présidé!le!défi!entre!Apollon!et!Marsyas.!Il!était!au!début!favorable!à!Marsyas.! Ami!de!Bacchus,!celuiIci!lui!propose

demande de faire à son tour un éloge de l’amour. Ce dernier refuse car s’estime trop ivre et choisit de faire l’éloge de Socrate sur qui il souhaite dire la vérité. Socrate séducteur (cf. Silènes et satyre Marsyas) Socrate utilise son langage pour séduire => rapprochement du Satyre Marsyas qui charme avec sa flûte. Orateur différent de Périclès car Socrate n’est pas éloquent. La personne de Socrate inspire la honte d’Alcibiade. Socrate a une apparence bouffonne tout comme les Silènes. Seulement

par son déclin. Alcibiade prononcera donc l’éloge de Socrate, qui est précisément assis à sa droit. B- Le discours d’Alcibiade (215 a-223 a). Socrate est alors décrit comme une figure de la suite de Dionysos : semblable au flûtiste Marsyas, ou encore au dieu lunaire Silène, son apparence est grossière mais il dissimule en son intérieur des images divines (agalmata). Alcibiade, élève de Socrate, qui hésite entre la carrière politique et la voie philosophique, entre l’amour du dêmos et

leur temps à pourchasser les ravissantes nymphes. Les satyres étaient les fils de Silène, fils du dieu Pan. Ils étaient des génies des bois et des montagnes, compagnons de Dionysos le dieu du vin. Ils effrayaient les bergers et les voyageurs. Marsyas, le satyre le plus célèbre, inventa la flute et enseigna aux autres à en jouer. C’est pourquoi ils tenaient une grande place dans les festivités en l’honneur de Dionysos. Ils étaient rusés et aimaient se cacher et effrayer les hommes et surtout

paroissiale. S'il fut connu de son époque sa gloire posthume est passé quelque peu aux oubliettes. Il est surtout connu pour avoir été le grand maître de Rafael plutôt que pour ses œuvres d'une grande qualité. Parmi les plus connus on peut citer Apollon et Marsyas ; la Déploration du Christ ; le Triptyque de la chartreuse de Pavie ; Adoration des mages ; Le Baptême et la résurrection du Christ et Mariage de la Vierge. Il fut un artiste novateur de son époque. Son influence, qui fut considérable, se déploya

le myrte. Apollon Apollon, fils de Zeus et de Léto, est le dieu des arts, de la poésie, du soleil et de la musique. Conducteur des Muses, il manie la lyre aussi bien que l'arc. Il sait se montrer sans pitié avec ceux qui le défient : le satyre Marsyas, écorché vif, ou Niobé, dont les enfants sont massacrés. Sous le nom de Phœbus, il est le dieu de la clarté solaire. Arès Arès, fils de Zeus et d'Héra, est le dieu de la guerre. Brutal et sanguinaire, il se délecte dans les massacres. Pour cette

Aristophane. Qu'il fût habile à manier le couteau, l'épisode du dépeçage de Marsyas nous le rappelle aussi. Et que cette maîtrise ne soit pas sans lien avec l'art du poème, Dante nous le laisse entendre au chant I du Paradis, quand sur le point de s'engager dans ce qu'il estime être le plus haut défi de son poème, il invoque Apollon en ces termes : " Entre dans ma poitrine et souffle, ô dieu, / comme le jour où tu fis Marsyas / hors du fourreau de ses membres jaillir. " Ce qu'implique le propos de Dante

monde grec. Ainsi, il ne suffit pas d’attribuer à Apollon que des qualités bénéfiques. Il est parfois aussi représenté comme un dieu cruel et vengeur qui tua notamment avec l’aide de sa sœur, Tityos, les enfants de Niobé, et écorcha le satyre Marsyas. Il nous est décrit ici par un nom plutôt sombre : « tueur de lézard ». Dans la mythologie grecque, nous savons que le dieu a combattu le serpent Python, qui vivait dans les cavernes du Parnasse, et c’est aussi pour cela qu’il est parfois surnommé

C’est une tentation de séduction. Il exprime la passion qu’il éprouve pour Socrate et sur les torts qu’elle lui cause. Il compare celui-ci aux silènes, ces figurines qui lorsqu’on les ouvre, révèlent des statuettes de Dieux. Mais aussi au satyre Marsyas, un joueur de flute qui charme son auditoire. Seulement Socrate charme ses interlocuteurs par des discours et non par de la musique. Socrate ne s’intéresse pas à la beauté du corps ni à la richesse, ce qui fait qu’il a repoussé ses avances. ✴