Martereau Nathalie Sarraute

par qualité. François René de Chateaubriand [1768-1848], Mémoires d’outre-tombe, livre premier, chapitre III Jean-Jacques Rousseau [1712-1778], Les Confessions, livre premier, 1771 Georges Perec, [1936-1982], W ou le Souvenir d’enfance Nathalie Sarraute [1900-1999], Enfance. INUTILE : Dans certaines situations ou l’action se passe dans un milieu qui ne change pas .Il ne faut pas " encombrés " le texte par une description trop longue car, l’action et le suspense seraient trop " diluer " et

n’est pas intéressante, qu’elle est faute de tourments, et qu’ils se sentent seuls dans ce cas là, peuvent penser « nous », car elles ne sont pas les seules. Beaucoup d’écrivains pensent que c’est une thérapie d’écrire, nous pouvons citer Nathalie Sarraute, qui pensait se libérer même si elle ne croyait pas à la psychanalyse. Leiris dans Journal « Écrire me délivre de l’angoisse » La cure psychanalytique suit parallèlement la catharsis littéraire. b. le lecteur Mais l’écriture autobiographique

Humaine sur son lit de mort. « Faire concurrence à l’état civil ». Balzac. Le jeu avec soi ▪ Céline, Voyage au bout de la nuit, le personnage de Bardamu ressemble beaucoup à l’auteur ▪ Duras, L’Amant, auto-fiction. ▪ Nathalie Sarraute, Enfance, ▪ Claude Simon, L’Acacia, ▪ Paul Auster, il est un personnage de Trilogie New Yorkaise. ▪ Bret Easton Ellis, Lunar Park. III/ Limites du personnage 1/ Démultiplication et rareté ▪ Perec, La Vie

Séquence 1 : Être lecteur (Écrire, Publier, Lire) Séance 7: Texte 6, Enfance de Nathalie Sarraute (1983) 1) Quel est le genre du livre ? Anecdote (découverte du livre) C'est une autobiographie 2) Quels sont les indices montrant que nous sommes bien dans une autobiographie ? 1ère personne du singulier Narrateur = Auteur Beaucoup de précisions = c'est du vécu Les paroles rapportées directement sont encore un indice montrant qu'on est dans une autobiographie Point

rejettent l'idée d'intrigue ainsi que tout profil de personnage jusqu'à parfois ne pas en avoir du tout. Le personnage n'est pas défini, mais il a le mérite d'exister. Il mérite donc l'appellation de « médiocre ». Dans Les fruits d'or (1963) , Nathalie Sarraute met en scène une discussion à propos de la qualité du roman, c'est une mise en abîme. Des leadeurs, des suiveurs, mais aucun personnage réellement défini. Pour répondre donc à la question de départ, confrontons les héros aux personnages médiocres

Commentaire « Enfance » Nathalie Sarraute, née sous le nom de Natalyia Tcherniak, voit le jour le 18 juillet 1900 à Ivanovo près de Moscou. Elle est issue d’une famille aisée de la bourgeoisie juive. Après le divorce de ses parents, elle quitte la Russie pour Paris accompagnée de sa mère et connaît une enfance partagée entre ces deux pays. En 1909 elle s’installe définitivement en Russie à Saint-Pétersbourg avec sa mère et Kolia. En 1925 elle épouse Raymond Sarraute, un avocat. Elle écrit les

second plan, avec des orientations différentes pour chaque auteur, voire pour chaque livre. Jean Ricardou le définit ainsi « le roman n'est plus l'écriture d'une aventure, mais l'aventure d'une écriture. »[réf. nécessaire] Avant eux, en 1956, Nathalie Sarraute avait déjà interrogé le roman et récusé ses conventions dans son essai l'Ère du soupçon. Son œuvre romanesque est la mise en pratique de sa réflexion théorique. Notons qu'à la même époque, l'Oulipo, avec des armes différentes, tente, avec un

Henriot dans le journal Le Monde en 1957 et un recueil d’articles d’Alain Robbe-Grillet, intitulé "Pour un nouveau roman" (1963). Cette tendance regroupe en fait des individus au style différent (Alain Robbe-Grillet, Michel Butor, Claude Ollier, Nathalie Sarraute, Robert Pinget, Claude Simon, Marguerite Duras) mais qui publient chez le même éditeur parisien, Les Editions de Minuit, et dont le directeur, Jérôme Lindon, joue dans les lettres françaises un rôle comparable à celui joué entre les deux guerres

membre actif de la Résistance dans laquelle il est introduit par Alfred Péron. Il est chargé de traduire les informations en anglais pour le réseau Gloria SMH. En 1941, Joyce meurt à Zurich. Lorsque le réseau est dénoncé, il se réfugie chez Nathalie Sarraute avant d'émigrer dans le Vaucluse avec sa compagne Suzanne Deschevaux-Dumesnil où ils s'installent de 1942 à 1945. C'est dans le petit village de Roussillon qu'il se consacre à la rédaction en anglais de son roman Watt et qu'il se lie d'amitié

dans un contexte hors-texte : Jouve  Le personnage dans le roman 2) Nom du personnage : la désignation = matrice de la vie du personnage 3) Crise du personnage * Péremption selon Robbe-Grillet * Personnage soupçonné de Natalie Sarraute (double soupçon de l’auteur & du lecteur sur le personnage et l’intrigue) * Personnage oblitéré de Beckett (jeux de scène) 4) Vers l’incarnation * Diderot : incarnation insensible (comédien extérieur ne doit pas éprouver les sentiments