Masahiko Aoki

entreprises aux structures et aux fonctionnements différents. Deux formes polaires d’entreprises : A et J. – L’apport essentiel de l’économiste Masahiko Aoki, dans un livre datant de 1988, est de s’être appuyé sur les particularités des entreprises japonaises pour systématiser les conséquences de l’adoption d’une information de type horizontal [27]. Aoki connecte en effet directement les choix des réseaux d’information avec ceux du marché du travail. Il montre que si l’on a centralisé quelque part

organisations hybrides-? O.E.W. : Les pratiques de sous-traitances que l'on observe notamment au japon sont très intéressantes. Ce sont les travaux de M. Aoki * qui ont poussé le plus loin leur analyse. Il y a toute une série de pratiques spécifiquement japonaises qui forment un système dont le résultat est supérieur à la somme des parties. Aoki souligne trois éléments, la sous-traitance, les relations salariales et les relations avec les banques, qui forment un système cohérent. L'entreprise mère

intérêts. Dans la littérature économique, le modèle de Masahiko Aoki [1984] constitue un modèle de référence de cette conception de la firme. Il présente deux propriétés qui respectent la nature partenariale de la firme : d’une part, les différentes parties, limitées aux actionnaires, managers et salariés, sont dans une position « symétrique », ce qui reflète l’orientation coopérative donnée à la firme ; d’autre part, les managers ont un rôle central. Aoki s’attache aux mécanismes de maximisation et de partage

d’information externe. L’organisation visée s’articule autour d’une nouvelle logique de fonctionnement. Nous étions sur un mode d’organisation du travail par métier, nous allons passer à une logique d’organisation de la production (Ohnisme et J-Forme, Masahiko AOKI). Là où nous étions focalisés sur les métiers, nous allons nous focaliser sur la production. Cette vision plus globale permet d’intégrer la transversalité dans le processus de production. Le travail n’est alors plus considéré comme un travail

impact important sur le dynamisme des entreprises. À cet égard, les transformations des modes de vie des Japonais n’ont-elles pas été l’une des composantes de la crise qui a affecté le Japon au cours de la dernière décennie ? L’économiste japonais Masahiko Aoki notait que le fonctionnement des organisations japonaises des années 1980, basé sur la solidarité et l’ostracisme qui puise ses sources dans la civilisation japonaise, avait eu un impact positif sur les résultats des firmes japonaises. Or, entre

impact important sur le dynamisme des entreprises. À cet égard, les transformations des modes de vie des Japonais n’ont-elles pas été l’une des composantes de la crise qui a affecté le Japon au cours de la dernière décennie ? L’économiste japonais Masahiko Aoki notait que le fonctionnement des organisations japonaises des années 1980, basé sur la solidarité et l’ostracisme qui puise ses sources dans la civilisation japonaise, avait eu un impact positif sur les résultats des firmes japonaises. Or, entre

impact important sur le dynamisme des entreprises. À cet égard, les transformations des modes de vie des Japonais n’ont-elles pas été l’une des composantes de la crise qui a affecté le Japon au cours de la dernière décennie ? L’économiste japonais Masahiko Aoki notait que le fonctionnement des organisations japonaises des années 1980, basé sur la solidarité et l’ostracisme qui puise ses sources dans la civilisation japonaise, avait eu un impact positif sur les résultats des firmes japonaises. Or, entre

important sur le dynamisme des entreprises. À cet égard, les transformations des modes de vie des Japonais n’ont-elles pas été l’une des composantes de la crise qui a affecté le Japon au cours de la dernière décennie ? L’économiste japonais Masahiko Aoki notait que le fonctionnement des organisations japonaises des années 1980, basé sur la solidarité et l’ostracisme qui puise ses sources dans la civilisation japonaise, avait eu un impact positif sur les résultats des firmes japonaises. Or, entre

Autrement dit, l’acceptation ou le rejet de cette hypothèse dépend, in fine, de considérations normatives voire morales. La séparation des sphères économiques et sociales est-elle souhaitable ? Accessoirement, d’autres auteurs (principalement Masahiko Aoki, 2010) ont contourné la difficulté en adoptant une approche principalement descriptive et explicative. Ces auteurs constatent que les sphères économiques et sociales sont en réalité liées et ils rejettent l’hypothèse de séparation non pour des