Mathématiques indiennes

être aussi performant ? Afin de répondre à cette question, il conviendra, tout d'abord, de présenter la civilisation chinoise et son système numérique. Puis, nous expliquerons leurs méthodes de calculs. Enfin, nous ferons un exercice d’application mathématique avec leur système numérique. A) Une civilisation : les Chinois La civilisation chinoise est une des plus anciennes du monde. Existant depuis plus de cinq mille ans, on dit même que c’est la plus ancienne civilisation continue au monde. Aujourd’hui

déménager à Rome pour offrir une meilleure éducation à leur fille unique. Son père la prédestinait à devenir enseignante comme ce qu’il se faisait beaucoup pour une fille « respectable ». Mais Maria Montessori a très vite une passion pour les mathématiques et les sciences, deux sujets d’études qui à cette époque n’étaient absolument pas ouverts pour les filles. Mais bien déterminée à faire ce qu’elle souhaite, celle-ci s’oriente à contre courant. Également passionnée de biologie Maria Montessori

jean-claude passeron, quatre années avant les événements de mai 1968. L’introduction au chapitre commence par un extrait du livre de Margaret Mead [1]intitulé Continuité dans l’évolution culturelle. L’anthropologue américaine raconte comment les Indiens d’Amérique du Nord ont élaboré « une méthode soigneusement gardée pour conserver à l’intérieur de certaines familles l’héritage de l’appartenance à la société des sorciers. ..S’ils n’étaient pas membre des familles de l’élite, … leur vision n’était

racine 1) Cas de l’agriculture (pas de prise en compte de la définition pour l’objet lui-même) L’existence d’un mot est du aux pratiques sociales dans lesquelles il peut être utilisé > notion historico-culturelle importante pour Bréal 2) Mathématique Racine (2) : théorie de la racine carré comme la source réel d’un nombre 3) Linguistique Racine (3) : source de la construction d’un mot 4) Généalogie  Racine(4) : lieu où les ancêtres d’un individu sont ou ont été établis. * Racine

Cours de mathématiques BTS SIO première année Nicolas FRANCOIS nicolas.francois@free.fr 24 mars 2012 2 I Numération 1 I Introduction : que signifie 1789 ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 II Les numérations de position . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 A Numération en base 10 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 B Numérations en

courant actuel, l’épistémologie est devenue, durant le 20ème siècle, et pour de nombreux penseurs, la philosophie des sciences, ce qui revient à reconnaître la multiplicité des sciences et leurs différences. On parle ainsi de l’épistémologie des mathématiques, de l’épistémologie de la biologie, de la physique, de la sociologie, … Nous nous intéresserons ici, dans une première étape, à la philosophie des sciences, mais, comme il s’agit ici de présenter une réflexion à usage des ingénieurs et autres acteurs

que des inventions profitables aux Occidentaux parce qu’il font partie de notre histoire depuis la Révolution néolithique avec l’invention de l’agriculture, l’élevage et des outils, création de l’écriture et de l’Etat, apparition des sciences mathématiques et physiques, des techniques modernes. Bref, des critères qui sont les nôtres mais qu’on cherche ensuite à appliquer au reste du monde. Or ils ne peuvent nous permettre de juger que notre propre culture, ou une autre qui aspire à lui ressembler

économiste voudraient dire pourquoi. » Quels critères scientifiques ? A l’origine : méthode inductive : observation, élaboration d’hypothèses et des lois, vérification des hypothèse : science de l’observation. Rupture liée a l’introduction des mathématiques et de la statistique : méthode hypothético-déductive, c’est le raisonnement déductif qui est privilégié reliant les principes et les conséquences logiques(hypothèses, définition des concepts et confirmation des conclusion théoriques aux faits) :

Cours de mathématiques BTS SIO première année Nicolas FRANCOIS nicolas.francois@free.fr 24 mars 2012 2 I I II Numération Introduction : que signifie 1789 ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les numérations de position . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A B C III A B C IV A B C Numération en base 10 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Numérations en base b . . . . . . . . .

leur sont extérieures. La "matière étendue" de Descartes marque explicitement cette substitution. Chaque chose n'apparaît plus qu'à travers les rapports quantifiables qui définissent son altérité.      L'espace n'est ni l'étendue homogène des mathématiques, idéal d'une divisibilité conventionnelle et infinie, ni le champ hétérogène et fonctionnel, informe, des besoins et fins pratiques.[13]  Entre l'Un et le Multiple, une place doit être faite au Nombre, précieux aux yeux de Platon. La perte de l'appartenance