Mats Ek

Giselle ou les Willis Ballet pantomime en deux actes Composé par Adolphe Adam en 1841 sur un livret de Théophile Gautier Chorégraphie originale de Jean Coralli et Jules Perrot et Relecture par le suédois Mats Ek en 1982 A l’égal du Tartuffe de Molière pour le théâtre classique, Giselle est pour la danse la référence du ballet romantique. Créé en 1841 il réunit tous les éléments du nouveau courant esthétique et philosophique qui parcourt la première moitié du XIX° siècle : le rêve, le fantastique

ces actes II et IV signe l'acte de naissance du ballet abstrait. → Andy Degroat (1982) Une version très dissidente en 1982, celle de l'américain De Groat sur une musique disco et rock avec une structure en rois mouvements. → Mat's Ek (1987)En 1987, Mats Ek procède à une relecture radicale, faisant du prince un benêt victime de l’autorité de sa mère qui l’infantilise. La version décalée de ce suédois met l'accent sur l'indifférenciation sexuelle avec des crânes chauves postiches : les cygnes

des ouvriers. fe Zlaest un grand drain naturale du 19s en 10 et ‘mort 1902 Sn roman. Germinal cro 145 retrace econo Veet detravall des miners ais! qa grove cutie rat revolution Indu Le parapet pages 390/392 repre mansion dee vers Cla lrs 2 mats qua reve commence ells erm, es are cr tan le vendent alors res Dogo leah dans “ted testes taste eso prophet magne par es Inturs No taiterons ete problematic on wos pares Tout ‘abr nusverons es smitades etree dabut tan da teat La ‘Sut pare water de

équilibre toujours précaire. C'est un enchantement, une débauche d'idées burlesques, de poésie onirique et d'intelligence aiguë où se débattent d'improbables personnages qui défient les lois du théâtre. [pic] Vendredi 4 décembre – « Giselle » de Mats EK par le ballet national de Lyon au festival de danse de Cannes (Contemporain). [pic] [pic] La danse : la danse est l'art de mouvoir le corps humain selon un certain accord entre l'espace et le temps, accord rendu perceptible grâce au rythme

Chorégraphiée pour la première fois par Vaslav Nijinski pour les Ballets russes, la célèbre musique de Stravinsky a été l'objet de maintes interprétations par des personnalités de la danse aussi différentes que Mary Wigman, Martha Graham, Maurice Béjart, Mats Ek, Angelin Preljocaj… Dans la version de Pina Bausch (1975), la scène est recouverte de tourbe. Les danseurs, pieds nus, dansent jusqu'à l'épuisement, le corps maculé de terre. Ensemble, ils vont désigner celle qui sera sacrifiée pour que le printemps

Les plus grands chefs ont donné leur version du Sacre notamment Pierre Boulez qui publiera même une analyse de l’œuvre en 1951 les plus grands chorégraphes du XXème siècle ont créé leur Sacre : Béjart, Pina Bausch, Martha Graham, John Neumeier, Mats Ek,... Et Dominique BRUN La modernité du Sacre •  La musique •  L’écriture chorégraphique La musique •  une musique de ruptures: Stravinsky introduit une rupture fondamentale : il juxtapose de façon dissonante des éléments variés

Les chorégraphies De nombreux chorégraphes du xxe siècle, à commencer par Nijinski en 1913, ont chorégraphié Le Sacre du printemps. On peut citer : Mary Wigman, Maurice Béjart (1959), Pina Bausch (1975), Paul Taylor (1980), Martha Graham(1984), Mats Ek (1984), Jorge Lefebre (1988), Marie Chouinard (1993), Angelin Preljocaj (2001), Régis Obadia (2003), Doug Varone (2003), Emmanuel Gat (2004), Heddy Maalem (2004), Xavier Le Roy (2007), Marguerite Donlon (2008),Ginette Laurin (2011), Jean-Claude Gallotta (2011)

elles (car dans la grandeur de la rêverie, le moi se perd vite!); elles pensent, dis-je, mais musicalement et pittoresquement, sans arguties, sans syllogismes, sans déductions.*22   L’espacement du sujet : Ce texte illustre le mouvement proprement ek-statique qui fait sortir le sujet lyrique des limites du moi, ce transport qui est au fondement du transfert de sens à lœuvre dans la métaphore. Le chiasme: "toutes ces choses pensent par moi, ou je pense par elle" souligne cette "intrication du monde

1 3 16 2 5 6 19 7 15 17 11 12 23 21 4 22 8 10 20 14 18 9 15   S Slovakia Ján Mucha2 Martin Škrtel2 Ján Ďurica Peter Peka arík Radoslav Z Zabavník Zdeno Štrb ba Juraj Kucka2 a Vladimír W 2 Weiss Miroslav St 2 toch Marek Ham 2 mšík Róbert Vitte ek Dušan Pern niš Dušan Kuc ciak Kornel Salá áta Marek Čech2 Martin Petr 2 ráš Ján Kozák Marek Sapara Kamil Kopú únek Filip Hološk 2 ko Erik Jendriš šek Stanislav Š Šesták Martin Jaku ubko MUCHA SKRTEL DURICA PEKARIK ZABAVNIK STRBA KUCKA WEISS STOCH HAMSIK

arithm´tique e e Le mode ECB : Electronic Code Book 39 Dans ce mode, le message M est d´coup´ en blocs mi de taille fixe. e e Chaque bloc est alors crypt´ s´pae e ci = Ek (mi ) (1.1) r´ment par une fonction Ek , parae m´tr´e par une clef k comme sur la e e ... m1 m2 mn figure 1.2. Ainsi un bloc de message donn´ mi e Ek Ek Ek sera toujours cod´ de la mˆme mae e ni`re. Ce mode de chiffrement est le e plus simple mais ne pr´sente donc e c1 c2 cn aucune s´curit´ et n’est normalee e ment jamais utilis´