Maurice Merleau Ponty

(est-ce une science appliquée aux musées ? Quelle est l'autonomie de la discipline ? Par exemple). On constate ainsi que l'histoire de l'art s'approprie de nombreuses méthodologies et perspectives scientifiques comme celles phénoménologique (Maurice Merleau-Ponty, etc.), psychologique (René Huyghe, etc.) et psychanalytique (Meyer Schapiro, etc.), sociologique (Arnold Hauser, Pierre Francastel, Howard Becker), structuraliste (Aby Warburg, Erwin Panofsky, Hubert Damisch, Pierre Daix), marxiste (Michael

profondément sincères. Plan Détaillé : I/ La présence d’autrui est nécessaire pour nous éviter la solitude -autrui, par sa présence physique et son accessibilité, offre un repère à l'homme, il est pour lui l'opposé de la solitude. (Analyse de Maurice Merleau-Ponty) -autrui permet dans un deuxième temps de se sentir existant aux yeux de celui qui nous regarde et d’échapper en partie à la solitude. (Sartre) - se dire solitaire, ce n’est pas se penser sans les autres, mais faire l’expérience douloureuse

sauraient être confondues, même si les deux auteurs se sont influencés mutuellement. D'autres intellectuels ont joué un rôle important à différentes étapes de sa vie : Paul Nizan et Raymond Aron, ses condisciples à l'École normale supérieure ; Maurice Merleau-Ponty et Albert Camus dans les années d'après-guerre.

Jean Paul SARTRE (1905-1980) Jean-Paul Sartre naquit à Paris le 21 juin 1905. Il intégra l’École normale supérieure en 1924, passa l’agrégation de philosophie en 1929. Il eut pour condisciples Paul Nizan,Raymond Aron, George Canguilhem,Maurice Merleau-Ponty. C’est à cette époque qu’il fit la rencontre de Simone de Beauvoir. Il fut nommé professeur au lycée du Havre en 1929, puis séjourna à Berlin de 1933 à 1934, où il découvrit la pensée d’Edmund Husserl, qui aura une grande importance pour l’élaboration

Dissertation Culture Générale “ Tout est fabriqué et tout est naturel chez l’homme. ” Maurice Merleau Ponty, Phénoménologie de la perception. “ Il a le geste vif et appuyé, un peu trop précis, un peu trop rapide, il vient vers les consommateurs d’un pas un peu trop vif, il s’incline avec un peu trop d’empressement (…). Mais à quoi donc joue t-il ? Il ne faut pas l’observer longtemps pour s’en rendre compte : il joue à être garçon de café.” écrit Sartre en 1943 dans l’Etre et le Néant.

lumière » cf Anthropologie du point de vue pragmatique , la conscience morale est elle décrite comme une « voix » que nous ne pouvons pas ne pas entendre. Il faudra, rapprocher cette notion de conscience morale à l’idée de devoir. Le texte de Merleau-ponty nous fourni une explication sur l’origine de ces valeurs qui engendrent la morale. La notion de valeur permet de différencier le comportement humain du comportement animal. L’intérêt de ce texte provient notamment du fait que l’auteur associe

partager sa vie, ses convictions et son œuvre. Il s'engage ensuite dans la résistance lorsque la Seconde Guerre mondiale éclate. Sartre quitte l'enseignement en 1945. Il se consacre à l'écriture et fonde, avec Simone de Beauvoir, sa compagne, et Maurice Merleau-Ponty, la revue des Temps Modernes, politiquement très engagée. Ses pièces de théâtre, mais aussi ses romans, ainsi que ses essais lui valent une immense réputation et provoquent parfois le scandale. Après la Libération, Sartre connaît un succès

Hegel, l'autre m’apparaît comme essentiel à la constitution même de la conscience de soi. Il m'aide à me construire notamment par le dialogue qui constitue une forme essentielle dans le rapport à l'autre comme le souligne le phénoménologue, Maurice Merleau-Ponty. A travers l'autre j 'accède à un univers différent du mien. En fait, c'est grâce à la subjectivité , à la différence de l'autre que je me construis. Si je n'existe comme subjectivité que par la présence bienveillante

sauraient être confondues, même si les deux auteurs se sont influencés mutuellement. D'autres intellectuels ont joué un rôle important à différentes étapes de sa vie : Paul Nizan et Raymond Aron, ses condisciples à l'École normale supérieure ; Maurice Merleau-Ponty et Albert Camus dans les années d'après-guerre.

facilite les accords, sans pour autant qu’elles soient d’origine naturelle pour le destinataire. On observe alors que la rhétorique est une ruse qui mène à l’accord. Pour qu’il y ait dialogue, il faut qu’il y ait langage et pensés. Mais Maurice Merleau-Ponty nous dit que : « Dans l’expérience du dialogue, il se constitue entre autrui et moi un terrain commun, ma pensée et la sienne ne font qu’un seul tissu […], ils s’insèrent dans une opération commune. Il y a là un être à deux […], nous sommes