Maurice Merleau Ponty

tradition marxiste/socialiste. Il va s'engager politiquement dans cette voie. Il se sent asseez étranger à sa formation malgré une certaine facilité. Va faire du droit puis de la philosophie. Agrégé à 23 ans. Monde intellectuel dominé par Maurice Merleau-Ponty (1908-1961). Va être marquant à travers la phénoménologie. C'est l'idée selon laquelle on ne peut accéder à la réalité qu'à partir des perceptions subjectives, il faut les analyser. Or précisemment, c'est cette idée qui ne convient pas à Lévi-Strauss

- machine organisante in Itinéraire pour une psychophysiologie de l'action, Actio, 1987. « Il y a apprentissage lorsqu’un organisme, placé plusieurs fois dans la même situation, modifie sa conduite de façon systématique et relativement durable ». Maurice Reuchlin. Psychologie. PUF, Paris, 1978. « Apprendre consiste à traverser ». M.Serres, Discours post doctorat honoris causa, Université catholique de Louvain, Revue Louvain, 1992. « L’apprentissage, c’est toute acquisition adaptative ou finalisée

respective des divers segments, mouvements qu'il exécute, contact avec le monde environnant ». Pour SCHILDER c’est une représentation que chacun a de son corps, immobile ou en mouvement dans l'espace, un modèle postural pour HEAD. Le philosophe MERLEAU-PONTY parle lui de sensation de corporéité, d’une conscience des postures. Ajuriaguerra distingue entre - « une notion sensori-motrice du corps ou notion de corps agissant, se découpant dans un espace pratique ou agi, grâce à l’organisation progressive

conception de l’homme c’est le dasein d’Heidegger. Binswanger garde la relation duel de la psychanalyse mais il change sa conception de l’homme. Il reproche au mouvement freudien d’être naturaliste qui repose sur des quantum d’énergie. Maurice MERLEAU-PONTY : 1908-1961 On a une philosophie qui se centre sur deux choses : La perception L’expérience corporelle. C’est le philosophe du corps, qui aide à penser toute l’ambiguïté du corps humain. Il va insister sur le fait que notre corps est spatialité :

Philosophie, t. III : Der Raum, 1re partie : « Der leibliche Raum », Bonn, H. Bouvier und C, 1967. Remarque de la traductrice : la phe´nome´nologie de Hermann Schmitz peut eˆtre mise en paralle`le avec la phe´nome´nologie de la perception de Maurice Merleau Ponty (La phe´nome´nologie de la perception, Paris, Gallimard, 1945). Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 88.219.142.73 - 05/06/2015 18h02. © Société française d'histoire urbaine 78 / Histoire urbaine - 25 / aouˆt 2009 Document téléchargé

de Socrate. Criton. Phédon, traduit du grec par Léon Robin et Joseph Moreau, Folio essais Platon, Apologie de Socrate/Criton, traduit et introduit par Luc Brisson, GF Flammarion • Platon, Apologie de Socrate, texte grec et français, traduit par Maurice Croiset, introduction de François L'Yvonnet, coll. "Classiques en poche", Les Belles-Lettres, 2003. L’impiété de Socrate La rencontre entre Socrate et le tribunal populaire d’Athènes est comparable à la rencontre entre le poète polythéiste Baal

décrite avec la plus grande intensité. Julia Kristeva, auteur d’un troisième tome sur le Génie féminin, analyse en détail la fusion que l’auteur opère par la jouissance avec la chair du Monde. En reprenant la théorie développée par le philosophe Merleau-Ponty dans Le visible et l’invisible, elle applique à Colette et à son écriture le concept de la « chair du monde » : la fusion qui s’opère entre le visible et l’invisible, c'est-à-dire l’insertion réciproque du corps et du monde. Si l’indépendance

pièce Les Mouches en 1943, il fait la connaissance de Camus. En 1944, il rejoint alors le réseau Combat, fondé par son ami Camus. A la fin de la guerre, il fonde la revue Les Temps Modernes. Il partage sa plume avec Simone de Beauvoir, Maurice Merleau-Ponty et Raymond Aron où ils proposent une littérature engagée. Il sort donc de sa neutralité d’écrivain durant la période nazie et la période pétainiste. Il donne une conférence à Saint-Germain-des-Prés en octobre 1945 où il présente un résumé de

occidentale en question en recourrant à une «perspective sensible». «Traiter la nature par le cylindre, la sphère, le cône, le tout mis en perspective», écrivait-il dans une lettre à son ami peintre Emile Bernard. Le philosophe phénoménologiste Maurice Merleau-Ponty (19081961) parlen en ce cas de «perspective vécue» (1945): «Quand je regarde une route devant moi qui fuit vers l’horizon, il ne faut dire ni que les bords de la route me sont donnés comme convergents, ni qu’ils me sont donnés comme parallèles:

ambiguïté n'est qu'une manière de mettre en mots ce que chaque homme sait bien : la valeur des moments où, en effet, sa vie se renouvelle en se continuant, se ressaisit et se comprend en passant outre, où son monde privé devient monde commun. Maurice Merleau-Ponty, Eloge de la Philosophie. 9. Quant au fond, qu'est-ce qui détermine le philosophe Après avoir assez longtemps examiné chez les philosophes ce qu'ils cachaient entre les lignes ou sous les doigts, je me dis : on doit encore ranger la majeure