Maître Valet Fin De Partie

sur la leçon d'humanité donnée par l `échange des rôles maître/esclave. Nous avons vu que successivement il y avait échange du nom et du statut social. Dans la logique de l'échange, les serviteurs vont jouer les personnages de leurs maîtres. Dans cette sixième scène, le jeu consiste à imiter le comportement amoureux de ces derniers. Dans cette scène, Arlequin et Cléanthis vont se faire la cour, sous les yeux des leurs anciens maîtres. Cette scène présente divers intérêts : le

par son valet et dans quelles circonstances ? Description : * dépréciative * péjorative * négative Il y a un phénomène d’exagération de la part de Sganarelle qui porte en lui le destin du personnage. Nous allons attendre si ce personnage est aussi « nul » qu’il esr présenté. Paradoxale : contraire à l’opinion courant. Sganarelle commence la pièce en faisant un éloge du tabac. Cela montre que la relation maître-valet est très ambiguë car Sganarelle critique son maître en parlant

Il atténue les éléments qui pourraient tenir la description de son ancien maître et cherche à éveiller une sorte de pitié.· Selon Dubois, de nombreuses prétendantes aimeraient épouser Dorante. Par ce mensonge, il cherche à faire naître la jalousie d’Araminte. · D’après ses dires peu organisés montrant un discours sur le coup, non répété et naturel, son ancien maître a refusé bon nombre de mariages comme l’indique la négation exceptive : « vous saurez qu’il n’a tenu qu’à

relation maître/valets 1) Le Comte en position de faiblesse D’abord bougon et de mauvaise humeur (première didascalie « avec humeur »), le C change d’attitude au moment où il comprend que S est prête à céder à ses avances. A la moitié de la scène, la réplique « et n’est-ce pas mon devoir d’écouter son excellence » marque une rupture, à partir de là le C change radicalement de ton. Il se montre tendre, presque enfantin.Le C apparaît comme une marionnette manipulée par les séductions de S. A la fin de

de Marivaux [accroche] Les personnages de théâtre de maîtres et de valets existent depuis l’Antiquité. Leurs relations conflictuelles sont un des grands thèmes du théâtre. [présentation du texte et de son auteur] C’est ce thème intemporel que reprend Marivaux, au 18e siècle dans sa comédie L’île des esclaves . Après Molière, Marivaux fait partie des plus grands auteurs de comédies en France, mais si

intrigues se nouent à la fin de l'acte II. L'acte III paraît consacré au procès intenté par Marceline à Figaro, mais avant qu'il ne commence, le Comte prend ses dispositions (sc. 1 à 4) : si Suzanne a averti Figaro de ses avances, il forcera celui-ci à épouser "la vieille" (son statut de grand d'Espagne lui confère une autorité juridique) ; sinon, il l'emmènera à Londres, comme "courrier de dépêches". Puis il convoque son valet "pour le sonder". Mais celui-ci entend la fin du monologue : "…s'il

scène survient alors que Dom Juan et son fidèle valet, Sganarelle, tente de fuir leurs ennemis. Ainsi, ils se déguisent, le premier en paysan et le second en médecin, pour ne pas être reconnu… Nous avons divisé cette scène en 3 axes : Axe 1 : L’importance et le rôle des costumes : La première chose que l'on remarque dans cette scène première de L'acte III, est le fait qu'il y a un travestissement, ce mot est synonyme de déguisement composé à partir du préfixe latin trans- signifiant « déplacer

est utile de savoir que ce terme était la devise des Comédiens Italiens auxquels Marivaux confiait la plupart de ses pièces.     Le principe est clairement énoncé dans l’Ile des Esclaves, l’intention étant explicitement affirmée par Trivelin, le maître de l’île, dès la deuxième scène :     « Nous ne nous vengeons plus de vous, nous vous corrigeons ; ce n’est plus votre vie que nous poursuivons, c’est la barbarie de vos cœurs que nous voulons détruire ; nous vous jetons dans l’esclavage pour vous

Beaumarchais : « La plus badine des intrigues. Un grand seigneur espagnol, amoureux d’une jeune fille qu’il veut séduire, et les efforts que cette fiancée, celui qu’elle doit épouser et la femme du seigneur, réunissent pour faire échouer dans son dessein un maître absolu, que son rang, sa fortune […], rendent tout-puissant pour l’accomplir ». L'originalité et l'intérêt de la pièce sont ailleurs, dans la critique des abus de l'époque. L'intrigue masque les messages sociaux dans un mouvement de débauche, de

 : Des valets, Lisette et Arlequin, ont dû se faire passer pour leurs maîtres respectifs, Silvia et Dorante. Les deux maîtres ont en effet sans se connaître eu la même idée : tester le caractère de la personne qu'on leur destinait en mariage en envoyant leurs serviteurs déguisés en maîtres à leur place. Les deux serviteurs se sont donc rencontrés et sont tombés amoureux l'un de l'autre sans se douter qu'ils étaient tous deux domestiques. Situation du passage  : les valets vont ôter