Mécanicien de locomotive

naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire. Juste avant cette extrait Pecqueux découvre que sa maîtresse le trompe avec Jacques, ce qui entraîne un corps à corps sur la locomotive 608, ils chutent tout deux accidentellement et meurent broyés sous les roues de cette dernière. Sans chauffeur ni mécanicien, le train fou continue sa course dans la nuit en entraînant avec elle les soldats ivres qui vont au front. Cette imagine finale du roman, choisie par Zola, à une portée hautement symbolique :

Sans aucun doute un des plus élégants trains à vapeurs qui a jamais circulé sur les vois belges fut le train express léger “Type 12 Atlantique”. Le bolide aerodynamique fut présenté au public en 1939, et restera en service jusqu’en 1962. Des 6 locomotives qui furent construites, seul un exemplaire a survécu. Dès que la SNCB ouvrira enfin son nouveau musée des chemins de fer belges, il est certain que ce mastodont élégant deviendra vite un des chéris du grand public, et qu’il sera photographié

Ce texte est un extrait du chapitre VII du roman de Zola, La Bête humaine, parut en 1890; élément de la série Les Rougon-Macquart. Cet extrait narre le deuxième accident de la Lison, conduite par le mécanicien nommé Jacques; où Séverine a prit place. L'affaire du meurtre de Grandmorin a été classée sans être élucidée. Les Roubaud ne sont plus inquiétés mais Jacques, témoin du crime, sait qu'ils en sont les coupables. Néanmoins tombé sous le charme de Séverine, il est devenu son amant et ils se rendent

La bête humaine Roubaud, sous-chef de la gare du Havre, a épousé Séverine qui est protégée par le président Grandmorin. Celui-ci a autrefois débauché Séverine lorsqu'elle était toute jeune, et son mari, qui le devine, veut se venger.  Le mécanicien Jacques Lantier est venu passer la journée chez sa marraine Phasie la garde-barrière, mariée à Misard et dont la fille Flore est attirée par Jacques. Celui-ci, avec toutes les femmes qu'il aime physiquement, est pris d'une pulsion criminelle à laquelle

ommentaire : Emile Zola : La Bête humaine : Chapitre 10. Après un accident de chemin de fer, voici la description de la locomotive, baptisée la Lison. Émile Zola : La Bête humaine, 1890. La lison, renversée sur les reins, le ventre ouvert, perdait sa vapeur; par les robinets arrachés, les tuyaux crevés, en des souffles qui grondaient, pareils à des râles furiaux de géante. Une baleine blanche en sortait, inépuisable, roulant d'épais tourbillons au ras du sol; pendant que, du foyer, les braises

saisissant. Dans le 17evolume de la série zolienne des Rougon-Macquart, nous pouvons retrouver La bêtehumaine. C’est l’histoire d’un mécanicien et d’une locomotive. Zola nous a permisdurant ce récit, de considérer un objet inanimé comme un personnage entier dû aux sentiments ressentis par la locomotive et à la manière dont l’auteur en fait référence.Premièrement, la locomotive peut être considérer comme un personnage dans lesextraits de La bête humaine d’Émile Zola. En effet, Zola attribue des traits humains

caractéristiques de la Lison, sa docilité et son obéissance, renvoient au dompteur une image valorisée de sa puissance. La locomotive figure "un substitut dynamique, c’est-à-dire positif, de la femme" et fonctionne "comme une parfaite machine à jouir", . Dans le couple que Jacques forme avec la Lison, s’établit une parfaite harmonie, fondée, de la part du mécanicien, sur un véritable amour pour une machine différente des autres, douée d’une "âme", d’une "personnalitéxii", qui lui communique

filleule du président Grandmorin de la société ferroviaire où travaille son mari. Celui- ci découvre qu'elle a été sa maîtresse, et, fou de jalousie, l'oblige à l'aider à assassiner Grandmorin à bord de son train Paris- Le Havre. Jacques Lantier, mécanicien sur la même ligne, entrevoit le crime et, très vite devine qui en sont les auteurs. Pour acheter son silence, Roubaud encourage sa femme à le séduire. Jacques tombe aussitôt amoureux de Séverine et espère, grâce à elle, échapper à ses pulsions meurtrières

Genre littéraire : Roman (qui peut paraître tragique à cause du destin de Jacques ) Thèmes: Les locomotives, chemin de fer (tout ce qui est lié aux trains), les pulsions, les meurtres, la violence, l’amour, la fatalité et le crime sont les thèmes les plus présents dans ce roman. Il montre bien Jacques ne peut s’empêcher d’égorger une femme et la seule dont il arrive à ne pas succomber est sa locomotive «  la Lison » Personnages : Nom, prénom, surnom. | Statut familial et social | Physique |

son épouse à Paris - R. convoqué par sa direction - R. maltraite son épouse après la révélation de l’origine de la bague - Grandmorin : parrain de S. l’a élevée et a abusé d’elle alors qu’elle n’était qu’une enfant Chap. II - Jacques Lantier (mécanicien à la Compagnie de l’Ouest) - JL visite sa tante Phasie - détails du meurtre de Louisette (femme de chambre chez G.) - L. décède de ses blessures après s’être réfugié chez Cabuche et lui avoir raconté que G avait tenté d’abuser d’elle - Grandmorin