Médaille d'or du Congrès

Nobel de la paix en 1964 pour sa lutte non-violente contre la ségrégation raciale et pour la paix. Il est assassinné en 1968 à Memphis. Il se voit décerner à titre posthume la médaille présidentielle de la liberté par Jimmy Carter en 1977, le prix des droits de l'homme des Nations unies en 1978, la médaille d'or du Congrès en 2004. Depuis 1986, le Martin Luther King Day est un jour férié aux États-Unis. Aux États-Unis, l'anniversaire de M. King et son héritage impérissable sont célébrés chaque année

qui prend fin en 1968 avec son assassinat officiellement attribué à James Earl Ray, dont la culpabilité et la participation à un complot sont toujours débattues. Il se voit décerner à titre posthume la Médaille présidentielle de la liberté par Jimmy Carter en 1977, la médaille d'or du Congrès en 2004, et est considéré comme l'un des plus grands orateurs américains[1]. Depuis 1986, le Martin Luther King Day est un jour férié aux États-Unis. Contre la guerre du Viêt Nam et la pauvreté [modifier]

surmenage scolaire. Il tentera de diffuser la pédagogie anglaise à l’école de Monde en constituant la Comité pour la propagation des exercices physiques dans l’éducation en 1887. Secrétaire de l’USFSA, il profite de ce succès pour organiser en 1894 un congrès à la Sorbonne sur le rétablissement des Jeux Olympiques et fonder le CIO. Parmi ses publication : L’éducation en Angleterre (1888) ; L’éducation anglaise en France (1889) ; La psychologie du sport (1890) ; la création de la Revue Athlétique (1890) ;

• une protection des activistes des droits civiques de la violence policière ; • un salaire minimum de 2$ pour tous les travailleurs sans distinction ; • un gouvernement indépendant pour Washington, D.C., qui dépend alors d'un comité du Congrès. Le point d'orgue du combat de Martin Luther King est son illustre discours « I have a dream », où il manifeste sa volonté et son espoir de connaître une Amérique fraternelle. 4) Ses récompenses Pour sa lutte non violente contre la ségrégation

ville natale par son père professeur de physique et sa mère institutrice. Après la mort de sa mère en 1878, elle se plonge dans les études et brille dans toutes les matières. En 1883, elle obtient son diplôme de fin d' études secondaires avec la médaille d'or. Après avoir rejoint une université illégale, elle part en France pour travailler et économiser pour rejoindre sa sœur à Paris. Enfin, elle retourne à Varsovie, et rentre dans un laboratoire grâce à son cousin. Le 3 novembre 1891, elle s'inscrit

au cours supérieur de décoration dirigé par Charles L'Eplattenier, lequel le dirigera vers l'architecture. Dès 1905, il débute des travaux, dans sa ville natale, avec la construction de diverses villas, puis voyage à travers l'Europe pour divers congrès architecturaux et études. Il débute en peignant des aquarelles, et les expose à Paris où il finit par installer son atelier en 1924, c'est le début de sa collaboration avec son cousin, l'architecte Pierre Jeanneret. Lors de diverses conférences

le « Congrès pour le rétablissement des jeux Olympiques ». Devant l’absence de réactions à son appel deux ans plus tôt, Pierre de Coubertin parvient à convaincre les représentants britanniques et américains, mais aussi d'autres nations, notamment la Jamaïque, la Nouvelle-Zélande ou la Suède. Plus de 2 000 personnes représentant douze nations assistent finalement au congrès, qui vote à l’unanimité la rénovation des Jeux olympiques. L'autre décision importante prise à l’occasion de ce Congrès est la

Marie Curie, née Maria Salomea Skłodowska herb Dołęga, le 7 novembre 1867 à Varsovie, au sein du Royaume du Congrès (actuelle Pologne), et morte le 4 juillet 1934 au sanatorium de Sancellemoz situé à Passy, Haute-Savoie en France, est une physicienne et chimiste française d'origine polonaise. Pierre Curie — son époux — et Marie Curie reçoivent une moitié du prix Nobel de physique de 1903 (l'autre moitié est remise à Henri Becquerel) pour leurs recherches sur les radiations1. En 1911, elle obtient

Wiesel est né le 30 septembre 1928 à Sighetu Marmitai en Roumanie. C’est un écrivain américain qui est issu d’une famille juive hongroise. Il parle le français, l’hébreu, le yiddish et l’anglais. Il a reçu la légion d’honneur en 1984, la médaille d’or du Congres américain et le Prix Nobel de la paix en 1986. Le livre « La nuit » dans lequel il raconte son expérience de juif et la déportation de sa famille, a été publié pour la première fois en 1955 et est resté sur la liste de meilleures ventes

janvier 1876, et sa mère, de la tuberculose, le 9 mai 1878. Elle se réfugie alors dans les études où elle excelle dans toutes les matières, où la note maximale lui est accordée. Elle obtient ainsi son diplôme de fin d’études secondaires avec la médaille d’or en 1883. Elle adhère à la doctrine positiviste d'Auguste Comte, et participe à l'éducation clandestine des masses en réaction à la russification de la société par l'Empire russe. Marie Skłodowska rejoint l'Université Volante, illégale. Étudiante