Médersa

nombreuses dans tout le grand Iran et en Inde, jusqu'au xviie siècle au moins. Dans ces régions particulièrement troublées, elles servaient mieux qu'ailleurs à diffuser les diverses propagandes. On en connaît aussi bien des Sunnites que des Chi'ites. Medersa Bou Inania de Meknès 1350-1355. L'apparition de la madrasa au Maghreb est tardive (pas avant la dynastie Mérinide), et a lieu dans un contexte de soufisme vivace. De rite principalement malikite, ces établissements servent principalement à étendre

la tuberculose, la lèpre. Le taux de couverture sanitaire est de 43,33 % (Source CSI). 1.3.8. Education Les établissements d’enseignement de la commune de Dargol sont : * 1 CEG * 60 écoles primaires traditionnelles * 5 médersas * 2 jardins d’enfants Les établissements du primaire sont supervisés par un secteur pédagogique créé en 2007. Les écoles primaires sont dotées de 186 classes dont 66 en matériaux définitifs, 32 en banco et 66 en paillotes. Les effectifs des

granit, le marbre et l’onyx entremêlent leurs reflets. Cette salle coiffée d’une toiture recouverte de tuiles vert émeraude peut accueillir 20000 fidèles à l’intérieur et 80000 sur l’esplanade qui la prolonge. La Mosquée Hassan II compte en outre une medersa, une bibliothèque, un musée national et plusieurs salles de conférences. Superbement décoré par des artisans venus de tout le Maroc, l’édifice force l’admiration : fresques et zelliges aux motifs géométriques, bois peint et sculpté, stucs aux dessins

atteignent 35 805 élèves. Le TBS 2009 – 2010 est de 69,12% dont 54,67% pour les filles et 83,63% pour les garçons, ce qui représente un écart significatif de presque 30%. Les abandons atteignent 7,1% pour les écoles traditionnelles et 15,3% pour les medersas. (soit pour les filles et pour les garçons) Ces taux sont parmi les plus élevés de la région (respectivement 4,1% et 14,9%). Les absences des candidats aux examens de fin d’année 2008-2009 s’élèvent à 377 soit 8,8% (taux supérieur à celui

comme une source de revenus en blé et en impôts. En 715, ils remplacent les fonctionnaires locaux chrétiens par des musulmans, imposent l’arabe comme langue officielle et écrasent les révoltes. Ils font construire de nombreux monuments : mosquées, médersas, aqueducs et fontaines. Craignant que l’Egypte leur échappe, suite aux nombreuses révoltes, les Khalifes de Bagdad tentent de prendre l’Egypte en main vers 905, mais en vain Un prince fatimide d’Yfriqya, El Moezz, à la tête d’une armée de

la défaite des Abdelwadites dont le sang rougit l’entrée du Méchouar(2). Ce sont les Mérinides qui édifièrent la belle mosquée de Sidi Haloui et celle, somptueuse, de Sidi Boumediène. A côté se trouvent le palais du sultan, en ruines, et la médersa El Khaldounia, où professa quelque temps Ibn Khaldoun. Partout alentour, se fondant admirablement dans la nature, se dressent de nombreux tombeaux de saints, ces «walis amis de Dieu», et les nécropoles royales où reposent les descendants de Yaghmorassen

les monuments de sa médina entourée de remparts : la mosquée Ben Youssef et sa medersa, le palais de la Bahia, les tombeaux saadiens. Marrakech concentre plus de 50% des arrivées touristiques et avec Agadir, plus de 75% du tourisme marocain. Fès l’arabo andalouse et son quartier des tanneurs. Fès est la métropole religieuse et artistique du pays. Sa médina, Fel-el-Bali, abrite les principaux monuments : les medersas, la mosquée Karaouiyne. Mekhnès possède une médina riche en monuments bordée

Avicenne (980-1037) qui s'appuie sur les œuvres d'auteurs grecs comme Hippocrate ou Galien. La langue arabe véhicule cette culture car elle est la langue des conquérants et du Coran. Elle est enseignée dans les collèges d'enseignement religieux, les médersas ou madrasas. • Les plans des mosquées varient selon les régions. La construction des palais témoigne de l'essor de l'art civil et les innovations concernent la décoration: briques et céramiques émaillées sur les murs, coupoles et arcs décorés

l’approche pédagogique en vigueur. Par ailleurs, il a rajouté que l’utilisation d’activités de traduction ne pouvait qu’avoir des retombées positives sur l’acquisition et le processus d’apprentissage chez les élèves, comme ce fut le cas dans nos anciennes médersas où les exercices de traduction occupaient une place prépondérante dans le système d’enseignement de l’époque et qui a formé d’excellents bilingues. B/ Intervention de Mr TOUMI Sous-Directeur des Programmes d’Enseignement: A son tour, Mr Toumi a rappelé

s’agissait de trouver un équilibre entre la tradition et le progrès. Elles furent crées par des comités de patronage, composés de notables qui recrutent des maîtres et choisissent comme lieu de déroulement des cours, des zaouias, des mosquées, des medersas et même des maisons particulières. Mais bien que dépendant des institutions religieuses et soutenues par des personnalités aisées, ces écoles recevaient une contribution régulière des familles. Leur développement n’a pas rencontré de résistance