Médullaire

osseuse et sont à l'origine des différentes cellules du sang : les globules rouges, les globules blancs et les plaquettes. Les cellules souches greffées proviennent soit d'un prélèvement de moelle osseuse (elles s‘appellent alors cellules souches médullaires) ; soit d'un prélèvement dans le sang (dans ce cas on parle de cellules souches périphériques). Les cellules souches étant en faible nombre dans le sang, on utilise quelques jours avant le prélèvement un médicament qui stimule la moelle osseuse

différentielle Organisation du MAC d’Arabidopsis ZC : zone centrale : sommet inactif, maintien des cellules méristématiques ; ZP : zone périphérique : activité mitotique maximale, fonctionnement plastochronique et mise en place des feuilles ; ZM : zone médullaire : histogène, mise en place des tissus de la tige ; P : primordium - ZC : Sommet inactif. Peut devenir actif lors de la transformation en méristème florifère ; - ZP : territoire organogène et histogène qui fonctionne de manière plastochronique

hypophysaire, secrétant ou non Le type II associe à l’hyperparathyroïdie : ◦ Phéochromocytome souvent bilatéral : il est essentiel d’avoir diagnostiqué le phéochromocytome avant l’intervention sur les parathyroïdes (risque de mort subite) ◦ Cancer médullaire de la thyroïde FORMES CLINIQUES :(suite) :  Ces formes sont familiales : une enquête génétique s’impose donc. Les 4 parathyroïdes doivent être enlevées par le chirurgien en raison du risque de récidive, avec autogreffe d’un fragment de la parathyroïde

sécrétion d’une hormone.Chapitre 8 :Les mouvements réflexes I) Les réflexes-> Les réflexes sont certaines de nos réactions face à un stimulus qui sont invariables et rapides.-> Types de réflexes : réflexes innés (ou médullaires) = commun à tous (ex : déglutition) ou acquis = appris (ex : marcher)-> Les réflexes sont commandés par la moelle épinière qui envoient un nombre important de messages nerveux moteurs ce qui induit une contraction du muscle et un relâchement

. 198 Xanthines ............................................................................................. 198 Stimulants bulbaires ........................................................................... 202 Stimulants médullaires ....................................................................... 22 173 Introduction ........................................................................................ 21 173 Interactions médicamenteuses des neuroleptiques

différentes formes de leucémies, lymphomes ou cancers métastasiques résistants aux autres formes de traitements, soit pour leur apporter la partie manquante de leur tissu hématopoïétique (en cas de déficits immunitaires congénitaux ou d’aplasies médullaires), soit pour reconstituer leur tissu hématopoïétique détruit par une thérapeutique très intensive visant à éradiquer la maladie initiale. Les autogreffes sont intégrées au schéma thérapeutique de nombreuses hémopathies ou tumeurs solides et représentent

l’action de l’adrénaline, ils provoquent une augmentation de fréquence et de force de contraction au myocarde. • Le système orthosympathique 5. Médullo-surrénale • Certaines fibres préganglionnaires sympathiques se terminent dans la partie médullaire de la glande surrénale. Ces terminaisons nerveuses cholinergiques (acétylcholine) stimulent les cellules chromaffines de la médullosurrénale qui libèrent une décharge de cathécholamines dans le sang. Cette glande endocrine augmente et amplifie donc

en place billots et orthèses Cutanéomuqueux : Ischémie et œdème oro facial par gène du retour veineux Vérification des points d’appuis, de la bonne perfusion tissulaire périphérique à l’aide de la SpO2 Ostéo-articulaire : Compression médullaire et étirement des vaisseaux spinaux Vérification du degré maximal de flexion de la tête, de l’angle de flexion du bassin inférieur à 90°, (fixation des pointes intra osseuses, ds chir spécifiques) vérification de l’immobilisation de la tête

médicamenteuses, non invasives : comme la neurostimulation transcutanée, la stimulation magnétique transcrânienne, l’acupuncture, la psychothérapie, la mésothérapie, le biofeedback, l’hypnose, la relaxation. Traitements invasifs ; tels que la neurostimulation médullaire, la stimulation du cortex moteur, l’analgésie intrathécale, la DREZotomie (dorsal root entry zone). Ces traitements invasifs ne concernent qu’une petite minorité de patients. B. L’impotence fonctionnelle. C’est l’incapacité d’effectuer un mouvement

catabolisme 49- Métab. glucidique: régulation 50- Exploration du métab. glucidique 57- Hormones thyroïdiennes 58- Activité gonadique mâle: endocrine/reproduction 59- Activité gonadique femelle: endocrine 64- Douleur 65- Réflexes médullaires 66- Régulation des réflexes médullaires 71- Hypersensibilité I 72- Hypersensibilité II et IV 73- Hypersensibilité III 3- Génétique de la synthèse protéique 10- Infarctus 11- Classification des tumeurs 16- Hémodynamique: Pression artérielle 17- Hémodynamique: Régulation