Ménades

naturels, flamme et vent, qui, bien que déchaînés, sont toujours moins puissants que la force d’une «épouse répudiée brûlant du feu de la haine» (coniunx uiduata taedis / ardet et odit vv. 581-582). dans le dernier chœur, elle devient une «sanglante Ménade» (la métaphore commence par cruenta maenas et se poursuitau-delà du v. 849), puis est comparée à une tigresse à la course furieuse (vv. 863-864), aux sentiments violents (furor, ira). Les hommes composant le chœur sont animés d’une violente antipathie

donné une trop grande importance aux pierres gravées (il publie en 1760 le catalogue de la collection du baron Philipp von Stosch). Dans la 1ère version de l’Histoire de l’art, il commente et reproduit 2 fresques antiques, dont l’une représente 3 ménades dansant, l’autre Athéna et les filles de Cécrops, qui sont en fait des faux, dus au pinceau de son ancien ami, le peintre Giovanni Battista Casanova. De la même façon, son ami le peintre Mengs réalise une contrefaçon d’une fresque romaine, que Winckelmann

Thésée revient de Crète avec Ariane, Dionysos serait tombé amoureux d'elle et aurait obligé Thésée à l'abandonner sur l'île de Naxos. Là, il apparait à Ariane, l'emmène sur l'Olympe et en fait sa femme. Elle est parfois vue comme la mère des Ménades. D'Althée, la reine de Calydon, il a une fille, Déjanire, qui sera adoptée par l'époux d'Althée, Œnée. Enfin, Aphrodite lui donne un fils, Priape. attributs : L'attribut majeur et personnel de Dionysos est le thyrse qu'il tient à la main , qu'on

« De Architectura », une grande source d’informations pour nous. Les sculptures en relief sont des motifs religieux, étranges, … On remarque des silhouettes d’un inquiétant monde mythologique où il y a des génies, des démons, des méduses, des ménades, etc. (mystère) f) Les maisons Les Etrusques sont les premiers à construire des maisons en Occident (qui se développe sur le tard alors que l’Orient se développe plus tôt). Avant, on vivait dans des cabanes voire dans des cavernes. Ces maisons

1086-7), il tourne la tête malgré cette interdiction, et « la voit, et la perd, et la tue » une seconde fois, irrévocablement (v. 47-51). Il demeure alors inconsolable, dédaigne les avances de toutes les femmes de Thrace, et finira déchiré par les Ménades sur le mont Pangée ; mais de ce sparagmos final et de sa cause, Boèce ne parle pas. La descente d'Orphée aux enfers donne cependant au poète l'occasion d'évoquer dans ses vers cette région du monde, de fort classique manière. Comme Homère dans

veut-il procéder à une lecture à partir de ce qu’il voit et non de ce qu’on lit. La signification des œuvres se trouve dans leur finalité et non dans leur source. Analyse iconologique : le concept de « survivances » Ex : Orphée mis à mort par les Ménades, Dürer Warburg recherche la trace d’une formule gestuelle pathétique antique dans un dessin à l’encre de Dürer en 1494, La mort d’Orphée. Il découvre que l’œuvre : - a été précédée d’une gravure sur cuivre d’un maître anonyme ferrarrais (1470)

surnoms (Nysaeos, Bromios, Dithyrambos, Evios, Bakkhos, Zagreus, Sabazios, Lyaeos, etc.) rappelaient quelques traits de sa vie ou de son culte. On se le représentait suivi d'un joyeux cortège, où figuraient les satyres, les silènes, Pan, Priape, les Ménades, les Thyiades, les Bacchantes, etc. L'histoire de ce culte est assez complexe car le Dionysos classique offre deux aspects: 1) c'est un dieu national, champêtre et populaire, le dieu du vin, et, comme tel, honoré de tout temps en pays grecs; 2)

suj. (St Alexis, 328: Iloc esguardent tuit cil altre seinors). III. En fonction de déterm. A. plur. 1. signifie la totalité d'une notion laissée indéterminée fin xes. fém., masc.; régime « toute espèce de » (Passion, 65: Li toi caitiu per totas gens Menad en eren a tormenz; 481: Per toz lengatges van parlan); 2. signifie (plus rarement) la totalité d'une notion déterminée; ca 1100 masc. suj. (Roland, 2476: Quant Carles veit que tuit sunt mort paiens); 1119 (Philippe de Thaon, Comput, éd. E. Mall, 2300);

» Ne peut pas, dira-t-on, subsister de fumée ! 181 » Un auteur qui, pressé d'un besoin importun, 182 » Le soir entend crier ses entrailles à jeun, 183 » Goûte peu d'Hélicon les douces promenades ! 184 » Horace a bu son soûl quand il voit les Ménades ; 31 185 » Et, libre du souci qui trouble Colletet, 186 » N'attend pas pour dîner le succès d'un sonnet ! » 187 Il est vrai : mais enfin cette affreuse disgrâce 188 Rarement parmi nous afflige le Parnasse. 189 Et que craindre en ce siècle,

baccantes: elles sont emportées par leur fureur. Elles accomplissent un crime qui se retourne contre elles. Ces références culturelles plaisent aux romains. Dans la poésie romaine, pour parler d'un personnage furieux on se réfère a une Baccante ou a une Ménade.   b. Les fantasmes.   Cf haut page 12: fantasmes qui assaillent Médée. Elément fondamental pour expliquer la fureur de Médée: les souvenirs de ses crimes passes. Le rôle joue par le mémoire est quelque chose d'assez important. Ces fantasmes ajoutent