Meursault Solitude

condition humaine 4. Injustice de la condition humaine II. Condition d'exilé 1. Exil métaphysique 2. Exil psychologique 3. Exil social 4. Conséquences de l'exil (l’abandon et la solitude dans le monde, la solitude face aux hommes) 5. L'exil et Dieu III. Condition de condamné à mort 1. L'ordre du monde : la mort 2. Angoisse de la mort 3. Absurdité de la mort 4. La mort et Dieu IV. Condition

humaine Absurdité de la condition humaine Pessimisme face à la condition humaine Injustice de la condition humaine Condition d'exilé 1. 2. 3. 4. Exil métaphysique Exil psychologique Exil social Conséquences de l'exil (l’abandon et la solitude dans le monde, la solitude face aux hommes) 5. L'exil et Dieu III. Condition de condamné à mort 1. 2. 3. 4. L'ordre du monde : la mort Angoisse de la mort Absurdité de la mort La mort et Dieu IV. Condition d'homme livré au mal 1. Le mal métaphysique a) Absence

Karim a écrit dans son journal intime après avoir participé à la première nuit d’émeute. c) Écrivez la lettre de Karim dans laquelle il explique son changement d’avis à son copain. ou b) Meursault – coupable ou innocent ? Rédigez un commentaire en pesant le pour et le contre et votre point de vue personnel. Rien de ce qui arrive dans les banlieues n'est une

par rapport au langage10). Après la fermeture de la ville, le moyen de communication des Oranais avec l’extérieur se limite au télégramme. On pourrait évoquer qu’au début de l’Étranger, en recevant le télégramme qui annonce le décès de sa mère, Meursault pense que « [c]ela ne veut rien dire11) ». Le télégramme oblige les Oranais de n’employer que les « formules toutes faites » (p.1274) qui restreignent les messages au minimum. Même au niveau de la communication orale, ceux qui parlent s’habituent

terme « voyage » pourrait évoquer un parcours initiatique, celui que semble suivre Bardamu tout au long du roman. Pourtant, le voyage est complété par « au bout de la nuit », ce qui indique plutôt un cheminement vers l’obscurité, les ténèbres, la solitude. « La vie, c’est ça, un bout de lumière qui finit dans la nuit. ». Le voyage de la vie humaine ne semble n’être qu’une progression vers la mort, d’où l’absurdité de la vie humaine, qui est dénoncée dans le roman. « Courage, Ferdinand, que je me répétais

sentiments du poète comme dans la personnification «gémir le vent amer ». Ce paysage décrit l'isolement « ne verrai-je plus rien de ce que j'aimais ? », l'auteur emploie le futur interrogatif et un imparfait duratif pour renforcer son sentiment de solitude, il a peur de se retrouver seul face à ce monde. L'antithèse « rien-tout » accentue la perte, le présent et le futur ne lui offrent plus rien du passé. L'isolement est aussi montré par les apostrophes « ô terre » et « o^mort » qui ne reçoivent pas

1944, s'inspire assez fidèlement du destin dément du jeune empereur romain assassiné en 41 après Jésus-Christ et d'anecdotes authentiques évoquées par l'historien latin Suétone. Mais l'auteur en fait un héros de l'absurde, aux côtés de Sisyphe, de Meursault, de l'Étranger et de Jan, victime du Malentendu, pour constituer ce qu'il a appelé « le cycle de l'absurde ». À la mort de sa sœur et maîtresse Drusilla, Caligula a pris conscience que « Les hommes meurent et ne sont pas heureux » et veut aller jusqu'au

besoin extrêmement moderne ! ➎ Un lyrisme antiromantique On peut essayer de lire en creux ce que refuse ou déconseille le poète. Il refuse l'enfermement dans une relation duelle – mari-femme, femme-enfant, amant-amante (1re strophe) ; il refuse la solitude, loin de la multitude (2e strophe) ; il refuse ce qui est antinaturel, artifciel, factice (3e strophe) ; il refuse la passivité (4e strophe) ; il refuse l'amour fusionnel, la plainte pleurnicharde (5e strophe) ; il refuse d'être un intellectuel sans

Le condamné, en l’entendant pronocner le nom de Dieu l’avait regardé avec un air de totale incompréhension, comme s’il entendait ce nom pour la première fois » (253) Cette scène évoque L’Etranger de Camus ; Plus généralement Grenouille rappelle Meursault souhaitant à la fin du roman qu’une foule nombreuse l’accueille le jour de son éxecution avec des cris de haine. (LECTURE EXISTENTIALISTE) Somme toute Süskind nous avait prévenus de toute interprétation abusive : « […] les nonnes voyaient en lui

tuberculose, dont il avait subi les premières atteintes à l'âge de dix-sept ans, il se croit condamné par cette maladie qu'il considère comme « métaphysiquel ». La perspective d'un poste d'enseignant à Sidi Bel Abbès lui donne la peur de l'ennui, de la « solitude » et du « définitif» de ces « 40 heures » sur lesquelles il projette d'écrire un essai. À la fin de l'année, il quitte le parti communiste auquel il avait adhéré en 1934, Que faire de sa vie quand le besoin éperdu d'absolu ne trouve nulle part de