Michelet Le Peuple

«Pour voir il faut surtout avoir un cœur droit». Mais il n'est pas prouvé que Rimbaud ait lu Ballanche à Charleville, Delahaye ne l'ayant pas cité. - Michelet employa le mot à plusieurs reprises dans ses œuvres historiques (et plus particulièrement dans l'introduction à l'’’Histoire universelle’’ : «Les voyants, les prophètes, s'élèvent du peuple, et communiquent avec Dieu sans passer par le temple». - Gautier considéra que le seul «adepte sobre» du ‘’Club des Haschischins’’, celui qui ne touche

s’oppose du tout au tout au progressisme des Lumières, comme le montre cette citation de Montesquieu, reprise dans l’article « Inquisition » de l’Encyclopédie, écrit par Voltaire : « Si quelqu’un dans la postérité ose dire qu’au XVIIIème siècle tous les peuples de l’Europe étaient policés, on citera l’Inquisition pour prouver qu’ils étaient en grande partie des barbares. » 2 L’Inquisition est bien sûr dénoncée avec virulence, mais en tant que système, qui encourage la délation et récompense les bas instincts

malformations avec des termes d'animaux. la lien avec l'évolution de contextes politique *déclassification. Jules Michelet, un historien socialisant, 1798, de la nouvelle école historiographique du 19e. avan historiographique de règne, y'a des histoires du rois. Histoire des masses, la question du rôle, des masses, du peuple. la question du mélange et du la fluidité. Des monographie du peuple,des barbares,les signifiants. c'est va être une optique de renversement. L'inertie d'ancien régime. les changements

politique français d’extrême gauche. Il est le fondateur du journal « Le Cri du Peuple », et fait partie des élus de la Commune de Paris en 1871. En 1857, il publie son premier livre, « L'argent » et se fait remarquer par un article dans le Figaro, qui lui ouvre des portes pour une activité de journaliste et de chroniqueur. Durant cette période, Jules Vallès fonde plusieurs journaux, dont « La Rue » et « le Peuple », et se bat pour la liberté de la presse. En 1872 il est condamné à mort,

la posterite de ce qui a ete perdu. Les memoires de cours sont le miroir de la cour ( Chateaubriand, Saint Simons...) Les memoires d'outre-tombe de Chateaubriand sont le livre de chevet de CDG, tres forte influence. Les memoires democratiques ( du peuple) donne des elements sur le climat des memoires. Tous ces recits ne sont pas obejectifs : il y a une litteraire certaine. Visions de l'histoire Histoire et litterature etaient une chose entiere : sorte de

s’oppose du tout au tout au progressisme des Lumières, comme le montre cette citation de Montesquieu, reprise dans l’article « Inquisition » de l’Encyclopédie, écrit par Voltaire : « Si quelqu’un dans la postérité ose dire qu’au XVIIIème siècle tous les peuples de l’Europe étaient policés, on citera l’Inquisition pour prouver qu’ils étaient en grande partie des barbares. » L’Inquisition est bien sûr dénoncée avec virulence, mais en tant que système, qui encourage la délation et récompense les bas instincts

l'idéal de nos démocraties ou répliques, en, assurant à tous un certain nombre de droits fondamentaux. Dans «Le livre du peuple» Lamennais décrivait une société coupé en deux : «Le repos, l'opulence, dont les avantages pour les uns, pour les autres, la fatigue, la misère et une fosse au bout. Ceux-la forment, sous différents noms, les classes élevées; de ceux-ci se compose le peuple». On retrouve cette opposition dans les romans du siècle. «Les Misérables» de Victor Hugo traduisent une réalité sociale

établissement de l'Office national des anciens combattants (ONAC) à Boulogne-Billancourt. Pierre Miquel est à bien des égards l'héritier de Michelet. Républicain, il admirait l'audace de la Révolution française et il défendait l'héritage des combats républicains. Il s'était lancé dans l'étude de cette tâche obscure de l'histoire, rien de moins que rendre au peuple sa juste et véritable place. Il écrivit "La Grande Révolution" en faisant le chemin des provinces et "La Grande Guerre " en plaçant au centre

reprsentatif des citoyens, cd la dmocratie. En revanche, on conserva la monarchie. Malheureusement, le nouveau rgime ne put se stabiliser le personnel politique (divis et inexpriment) est incapable de calmer les passions, la pression des extrmistes et du peuple parisien, le refus du Roi et des anciens privilgis daccepter les acquis rvolutionnaires de 1789. Cela dbouche donc, partir de 1791, sur 3 ans de radicalisation et de fuite marqus par une guerre civile (1793), par des meutes (les journes rvolutionnaires)

les choses s'étaient produites, quelles conséquences en étaient résultées, pourquoi, à tel moment, telle décision avait été prise plutôt que telle autre. Ce qu'on découvre, au bout de cette analyse, c'est qu'il n'est pas facile de conduire les peuples, qu'il n'est pas facile non plus de fonder et de conserver un État comme l'État français, et l'on en garde, en définitive, beaucoup d'indulgence pourles gouvernements. Peut-être ce sentiment est-il la garantie de notre, impartialité. Mais commentserions-nous