Michelin Strategie Globale

moyens de communication tels que : la radio, le site internet, un serveur audiotel, des magazines, … - Le personnel autoroutier Présents 24/24h sur le réseau et formés en permanence au cours de séminaires, de tests, … La notoriété des partenaires (Michelin, les « pros de la route ») Au cours d’actions et opérations régulières (assistance gratuite, prévention, …) = crédibilité aux sociétés d’autoroutes. - L’environnement Le développement durable est intégré dans la gestion des autoroutes OPPORTUNITES

touchent aux questions suivantes: • quatre des administrateurs n’étaient détenteurs d’aucune action ENRON ; • multiplication des conflits d’intérêt entre les administrateurs et la société. Par exemple, John Urquhart avait un contrat de conseil en stratégie auprès du président au titre duquel il a touché $ 500 000 d’honoraires; le CFO de la société était un associé de nombreuses sociétés dans lesquelles ENRON a domicilié des transactions qu’il n’était pas souhaitable de faire apparaître dans son bilan;

réaliser l’audit généraliste d’une entreprise, de s’approprier l’approche systématique, globale et systémique de l’audit de performance de l’entreprise. Module avec approche « théorique » (cours) et pratique (dossier). Comprendre et analyser le niveau de performance de l’entreprise, cet audit se veut transversal (audit touchant l’ensemble des dimensions de l’entreprises : stratégique, ressources, environnemental) et global (analyse complète). 2 dossiers : - audit généraliste SNCF - audit transversal

2011 ANNEXE 2 Airbus se veut optimiste sur la croissance du marché aéronautique Dans ses prévisions 2011-2030 publiées l'année dernière, le constructeur aéronautique Airbus chiffrait la demande mondiale d'aéronefs à 27 850 appareils. Dans son Global Market Forecast (GMF) publié aujourd'hui, le directeur commercial John Leahy augmente ses prévisions de 1,6 % pour la période 2012-2031, avec un besoin estimé à 28 200 appareils neufs (de 100 sièges et plus) dans le monde). Un marché de 4 000 milliards

européennes (TPICE) dans l’arrêt Michelin 1, « si l’augmentation de la quantité fournie se traduit par un coût inférieur pour le fournisseur, celui-ci est, en effet, en droit de faire bénéficier son client de cette réduction par le biais d’un tarif plus favorable [...]. Les rabais de quantité sont donc censés refléter des gains d’efficience et des économies d’échelle réalisées par l’entreprise en position dominante ». 1. Arrêt du TPICE T-203/01, Michelin/Commission, du 30 septembre 2003.

STRATEGIQUES DE L’ENTREPRISE INTRODUCTION  L'entreprise met au point une stratégie qui indique comment réaliser les objectifs qu'elle a choisis. Les activités qui en découlent intègrent les résultats des diagnostics internes et externes qu'elle a préalablement menés. En effet le but de toute stratégie est soit d'augmenter ou de perpétuer un avantage concurrentiel initial, soit de créer un avantage durable. Le choix d'une stratégie est alors de savoir s'il est préférable d'augmenter les performances

pâlir les acteurs du marketing de la vieille école. Les choses sont plus complexes aujourd’hui qu’à l’époque du marketing direct où l’on ne se souciait seulement du produit, de son positionnement, de sa place dans la distribution et de son prix. Les stratégies ont évolué ainsi que les consommateurs. Dans les faits, le webmarketing est désormais plus générateur de revenus que le marketing traditionnel. C’est une manière différente et parfois plus efficace de communiquer avec les clients actuels et à venir

technologie optimale conduit à des capacités de production importante. * Les économies d’échelles et l’effet d’expérience poussent également l’entreprise à l’accroissement de la taille des unités de production afin de pouvoir mener une stratégie de domination globale par les coûts. * Dans certaines branches (électroniques aérospatiales, informatiques, pharmacies…) la recherche et développement a un coût croissant. Dans cette perspective, ceux sont surtout les grandes entreprises qui peuvent assumer

mauvais produit ▪ Les décisions relatives aux produits impliquent des investissements importants et sont relativement rigides La politique de produit comprend 4 aspects principaux : ▪ Choisir les domaines d’activités de l’entreprise (stratégie d’entreprise) ▪ Définir la gamme de produits ▪ Définir les caractéristiques fonctionnelles de chacun des produits de la gamme ▪ Concevoir le packaging des produits de grande consommation ▪ Choisir les noms de marque I. Le cycle

Fos-sur-Mer, Le Havre et Dunkerque, et industrialisation de l’Ouest. La crise mondiale a ébranlé ce modèle d’un système productif français associant étroitement Etat et entreprises : depuis la fin des années 1970, plus de politiques industrielles globales mais seulement politiques sectorielles (textile, sidérurgie), et abandon des grands chantiers d’aménagement de l’espace industriel. Les nationalisations du premier septennat Mitterrand (chimie, énergie, électronique, aérospatiale…)ont été déligitimées