Mise En Abyme Théâtre

partie, nous analyserons la pièce baroque à travers le personnage de Dom Juan. Le théâtre classique du XVIIème siècle impose des règles précises et contraignantes. Parmi celles-ci, la règle des trois unités c’est-à-dire l’unité de lieu, l’unité de temps et l’unité d’action. Ces règles sont illustrées par la phrase de Boileau « Qu’en un lieu, en un seul jour, un seul acte soit accompli […] tienne jusqu’à la fin du théâtre empli. ». Dom Juan ne respecte pas l’unité de lieu car la scène se déroule en Sicile

familier b) Texte argumentatif? (à revoir) II. ... Qui donne une leçon a) But implicite/morale: -critique religieuse, rapport créateur/création, monde raté, apocalypse -Dieu le père=relations pères/fils b) Mise en abyme (de la pièce): -Nagg comédien (jeux de mimiques, effets de voix=le client snob/le tailleur + grossier, juge son propre numéro) -Nell spectatrice MAIS échec de la pièce (usure du rire) Les relations

Le comique de gestes Le comique de gestes est très fréquent au théâtre. « Les Fourberies de Scapin » n’échappent pas à cette règle. De cette façon, les didascalies sont particulièrement nombreuses tout au long de la pièce. Scapin est le personnage le plus révélateur à ce sujet. Ainsi, il ne cesse de changer de voix et de prendre des accents différents. Chacun de ces changements est mentionné par les didascalies. Cela nous permet d’imaginer de façon précise la scène qui devrait être jouée sous

postérité? Plan => I. Un moment d'exception (partie plus descriptive, le bal, la rencontre et la reconnaissance, l'idéalisation) => II. Une scène théâtralisée/ Un épisode romanesque mis en scène (le traitement de la scène, jeux de regards, mise en abyme, dramatisation, manipulation des personnages) => III. La naissance d'un couple parfait (on revient sur la question de l'héroïsme, les portraits des héros exaltés, la complémentarité des deux êtres, le rapport des héros au collectif) I.Un moment

sont également sœurs jouent une pièce de théâtre dans le théâtre : Claire joue le rôle de leur maîtresse, tandis que Solange est Claire.  c)Problématique : Comment la mise en scène des deux sœurs met-elle en valeur le rôle de dominé/dominant qui existe entre la patronne et son employé ? Quels sentiments ressortent alors de ce jeu théâtral ?  d)Plan : Nous verrons tout d’abord de quoi est constituée la relation entre Madame et sa bonne pour terminer sur la mise en évidence d’un contraste à travers le

maîtresse enjouée et glorieuse au réveil. La tirade étudiée correspond au second volet d'un diptyque : le réveil de la maîtresse après une mauvaise nuit. Dans une première partie, nous étudirons l'aspect polyphonique de cette tirade, puis le théâtre dans le théâtre et enfin la fonction satirique du passe (Pour l'oral : Lecture du texte) I- Une tirade polyphonique. -mélange du discour et du récit. Cléanthis reprend les paroles d'Euphrosine au style direct, au présent de l'indicatif et à la première

tragédie. - Le prologue : un personnage au statut ambigu. Pas parti de l’histoire. Pas de dialogue avec les personnages. Statut ambigu : Passage entre le monde des personnages et celui des spectateurs. Il s’adresse au public. Double énonciation. Au théâtre l’auteur s’adresse via les personnages. Normalement pas de prise en compte du spectateur. Ici le prologue s’adresse directement au public sous forme de monologue.  Rupture de l’illusion théâtrale. Emploie 1ère et 2ème personnes du pluriel. Les

foisonnement : décor surchargé et spectaculaire, description en mouvement, profusion de formes et de couleurs, démesure  Le theatrum mundi ou théâtre du monde : le monde est conçu comme un théâtre, les hommes sont les acteurs d’une pièce. L’image du théâtre exprime l’angoisse et la fascination face à une réalité fuyante et trompeuse  Goût prononcé pour la mise en abyme  Mélange des genres et registres  Goût pour le paradoxe, les forts contrastes, antithèse, oxymore, hyperbole, allégorie, métaphore

champêtre (ex. la campagne), l’exotisme, sensualité, dance et déguisement. Il transporte dans un autre lieu et dans une autre époque. Présence de coup de théâtre et de rebondissement.-Les intermèdes divertissent mais ils sont en lien direct avec l’intrigue. Divertir pour séduire.B) Dissertation BCette pièce ne serait destinée qu’à etre lu ?-Le théâtre de Molière s’accompagne de nombreuse didascalie permettant au lecteur de concevoir les déplacements, les décors, les music pour que rien ne manque. -La

Objet d’étude n°3 / Théâtre, texte et représentation Séquence 4 / La figure du roi au théâtre Lecture analytique n°14 / Caligula, (acte II, scène 4), Albert Camus, 1944 I. La comédie du tyran 1) Caligula marionnettiste  * La progression de la scène montre que c’est Caligula qui décide des sujets de conversation avec de nombreux impératifs : il commence par provoquer Lepidus en abordant le sujet de son fils qu’il a tué, puis s’adresse brièvement à Cherea (« Parlons d’autre chose, maintenant. Voyons