Modele De Texte Ironique

d’éducation scolastique, livresque, fait d’une accumulation de savoirs inutiles et desséchants Les moqueries à l’égard de la scolastique et des sophistes On peut noter la raillerie à l’égard du sophiste : l’expression « grand docteur sophiste » est ironique. Les sophistes étaient des penseurs formalistes, capables de faire servir l’art du langage non à la recherche de la sagesse, mais à la défense de n’importe quelle idée, même mauvaise. Comme Socrate, Rabelais dénonce le formalisme du raisonnement

Comique Type de sujet : Commentaire littéraire Texte étudié : Dom Juan, Acte I, scène 1 Auteur : Molière (1622, 1673) Le plan du commentaire : I. Une scène d’exposition 1) Un éloge paradoxal 2) Une scène pour exposer la situation 3) Le portrait de Dom Juan II. L’inscription de la pièce dans une idéologie 1) Libertinage et matérialisme 2) L’imitation inavouée du valet 3) La critique implicite de la religion Le commentaire rédigé : Introduction Ce texte est la scène d’exposition de Dom Juan de Molière

Comment le plaidoyer de son avocat provoque-t-il le détachement de Meursault ? Annonce des axes Commentaire littéraire I- Un plaidoyer caricatural Le Soleil est pour ainsi dire le troisième personnage de cet extrait, il domine le texte et est omniprésent tout a long de cet extrait. Il y a d'ailleurs répétition 5 fois du mot soleil. A - La stratégie de défense - Le plaidoyer cherche à atténuer responsabilité de Meursault en parlant de provocation de la part de l'Arabe, il s'oppose

Constance Quesnet, son amante. C’est la femme avec laquelle il vit (quand il n’est pas en prison). Elle a une fonction de justification : il justifie la teneur du texte + ça donne des pistes de lecture : il essaie de faire de son livre un modèle de vertu plutôt qu’un modèle de vice comme on pourrait le croire. Il explique que son texte dénonce les vices, prône la vertu. C’est un discours axiologique qui se met en place = un discours qui porte un jugement de valeur. Du côté du vice, on aurait le libertinage

Corpus : scènes de bal dans quatre romans Texte 1 : La princesse de Clèves , Mme de Lafayette,1678 Texte 2 : Mme Bovary, Gustave Flaubert, 1857 Texte 3 : Une belle Journée, Henri Céard, 1881 Texte 4 : Le Ravissement de Lol V Stein, Marguerite Duras,1964 Question : quel(s) rôle(s) joue le bal dans ces quatre scènes romanesques ? Vous serez particulièrement attentifs au rôle des regards et à la question des points de vue romanesques. Texte 1 : La princesse de Clèves , Mme de Lafayette,1678

« Philosophes des lumières » de faire passer leurs concitoyens d’une période d’ignorance, de « ténèbres » intellectuelles (obscurantisme*) à une période de lucidité, d’exercice de leur Raison propre. Le philosophe allemand Emmanuel Kant a écrit un texte célèbre « Qu’est-ce que les Lumières ? » dans lequel il donne la définition suivante : « Les Lumières se définissent comme la sortie de l’homme hors de l’état de minorité, où il se maintient par sa propre faute. La minorité est l’incapacité à se servir

I/ Le narrateur un personnage différent des autres. a) Un antihéros Bardamu n’a pas les caractéristiques du héros positif, il n’est pas un modèle, il a la « frousse » face à l’ennemi, il est paralysé : « je n’osai plus bouger ». Il s’interroge constamment, on trouve cinq points d’interrogations. De plus la ponctuation très forte avec de nombreuses exclamations marque sa stupéfaction. Enfin, il utilise aussi des interrogations auxquelles il n’apporte pas de réponses. Tous ces éléments soulignent

mis en place : le derviche, le vieil homme et Pangloss utilisent en effet des procédés discursifs très différents. • La confrontation de trois philosophies Avant que le livre se referme, trois philosophies incarnées par des personnages et leur modèle de vie font une dernière apparition. – La parabole du derviche. L’épisode du derviche permet de montrer l’évolution des personnages : les questions de Pangloss et de Candide suggèrent d’une part l’impossibilité de progression du pseudo-sage enfermé

narrateur ? Dans un premier temps nous verrons que ce prologue est l’introduction d’une œuvre comique, puis dans un second temps, nous travaillerons sur les intentions sérieuses de ce prologue, et enfin nous traiterons que Rabelais propose ici un modèle de lecture humaniste. Comme le rappel l’auteur dans son avis à l’attention des lecteurs, « Le rire est le propre de l’Homme », Rabelais affirme donc ici sont désir de crée une œuvre drôle et pour suivre cette règle son prologue se doit de l’être

Séquence 1 : de la rencontre amoureuse à la séparation Texte 2: Manon Lescaut ; L’abée Prévost. Biographie de l’auteur : l’abée Prévost né en 1697, il est élevé chez les jésuites et en 1926 il est ordonné prêtre. Dès 1728 il s’exile et s’échappe et revient quelques années plus tard et devient homonier du prince de comtit. En 1743, il revient d’un second exil et une fois sa vie assagie, il reste à sa vie d’ecclésiaste. Il meurt en 1763. Il est qualifié de polygraphe et a écrit beaucoup d’ouvrages