Modes De Scrutin Et Démocratie

socialiste. A l’origine de la SFIO on a l’idée de rassemblement de 2 formations différentes : une formation conduite par Jean Jaurès et une autre mené par Jules Guèdes. La SFIO va très vite devenir un parti conformiste qui va jouer le jeu de la démocratie parlementaire et c’est ce qui va entrainer une scission de son parti ce qui entraine la création du PCF. Le PCF est donc naît d’une scission interne lors du Congrès de tour en 1920. Au cours de ce Congrès la plupart des délégués du SFIO on accepté

prolongement de l’enseignement de la classe de première et en complément avec le programme spécifique de la classe terminale, ce programme de spécialisation est basé principalement sur les acquis de la science politique. Ouverte à l’influence d’autres modes de raisonnement des sciences sociales (l’histoire et la sociologie notamment), la science politique constitue une discipline propice à un enseignement de spécialisation susceptible d’aborder scientifiquement les questionnements contemporains. Cet enseignement

l’article 4 de la constitution qui dispose que les partis et groupement politique concourent à l’expression du suffrage. Ils se forment et exercent leurs activités librement. Ils doivent respecter les principes de la souveraineté nationale et de la démocratie. D’après le nombre de partis, on va distinguer plusieurs systèmes qui influent plus ou moins sur le fonctionnement du régime : parti Unique, Parti dominant, bipartisme et multipartisme. Le parti unique c’est le système existant dans les régimes

populaire, c’est un régime de démocratie directe, en opposition à un régime de démocratie représentatif comme pour la souveraineté nationale, c’est un régime où le peuple décide en dernier ressort, chaque citoyen détient une part de souveraineté, c'est une souveraineté dont le titulaire est le peuple; considéré comme la totalité concrète des citoyens détenant chacun une fraction de cette souveraineté. Les modes de scrutin Le scrutin majoritaire est un mode d’élection, le scrutin se déroule sur un seul

retrouve aussi en Allemagne)   Chapitre 2 : la constitution d’un état de droit : Doctrine philosophique qui implique la soumission de l’état au droit ce qui ne va pas de soit (état dictatorial ou totalitaire). Il s’agit d’une conquête de la démocratie d’avoir réussi à soumettre à l’état un certain nombre de règles. Dans un état de droit, les gouvernants doivent respecter les règles qu’ils imposent aux gouvernés et en premier lieu respecter les droits et les libertés fondamentales. Dans cette

Compétition politique, pluralisme politique, modes de scrutin, parité, démocratie délibérative, (acquis de première : démocratie représentative, démocratie participative). Propositions de définition commentée de certaines des notions au programme : Compétition politique : processus institutionnel organisé par des règles juridiques et politiques ayant pour objectif d’aboutir à la désignation de gouvernants légitimes parmi des candidats déclarés. La compétition politique peut être électorale

qui dispose de certains droits et qui est assujetti à des obligations. Section 1 : La notion de citoyen Paragraphe 1 : La citoyenneté : des prérogatives et des obligations Le développement de la notion de citoyenneté est intimement associé à la démocratie. Déjà, dans l’antiquité grecque, l’idée de participation dans la conduite des affaires publiques commençait à éclore. Mais elle ne sera véritablement renforcée qu’à la suite des révolutions française et américaine au 18ème siècle. De surcroît

rousseau ds la loi, qui procède directement de la volonte d hommes : 3  idees de volonte gen qui sexprime ds la loi (article 6 de la declaration d droits de l’homme et du citoyen) - les hommes concourent directmt à l’elaboration de la loi= democratie directe, par opposition au regime representatif des lors que les hommes se conforment à la volonte générale qui s’exprime ds la loi, pr rousseau en creant l’etat les hommes nont rien perdu de leur liberte primitive car liberte par alliéné ms

Faut-il réformer l’élection du Président de la République ? « Les élections apparaissent pour ce qu’elles sont : un moyen d’établir la démocratie, non la démocratie elle même » Pierre Brunet et Arnaud Lepillouer. Par cette définition, on peut nettement faire apparaître que l’élection du Président français depuis la révision de la constitution de 1962, n’est pas perçue comme un moyen démocratique malgré ce que certains pourraient penser, puisqu’en pratique il est élu par le peuple, pour

charismatique, légitimité traditionnelle+historique (population obéit), légitimité basée sur la raison=règles établi rationnelles MAROC : légitimité (historique+rationnelle) TUNISIE :ayad benachir :démocratie jamais synonyme de justice=participation du peuple toujours faible USA : démocratie des riches =démocratie formelle ceux qui sont concernées par leurs intérêt qui votent BRESIL : tout le monde il vote par crainte CRITERES DE DEFINITION : Approche classique : Aspect matériel : ce n’est pas la