Modus ponens

autres expériences ont été menées : vérification d’énoncés découlant déductivement de la description d’une situation ; construction ou vérification de tables de vérité ; jugement sur la validité d’arguments déductifs ; invitation à appliquer modus ponens ou modus tollens, ou encore le principe de transitivité, invitation à fournir la conclusion d’un syllogisme, etc. Il est remarquable cependant que, même si nul ne conteste l’importance qu’elles prennent dans leur ensemble, aucune d’elles n’ait attiré

théorie des modèles mentaux de Jonhson-Laird à une perspective développementale (Markovits et Barrouillet) >> D’un point de vue logique : SI proposition P ALORS Proposition Q >> Les inférences logiquement valides MODUS PONENS = Si P alors Q -> P Donc Q MODUS TOLLENS = Si P alors Q -> Non Q -> Non P >> Les inférences non valides - Si P alors Q -> non P => pas de conclusion valide Erreur de négation de l’antécédent : Non P donc Non Q - SI P alors Q -> Q =>

approches de la recherche de la vérité. L'une, celle de Ménon, est pleine d'arrogance "[Ménon]quand tu parles, ce n'est que pour dicter ta loi". Socrate, lui, humblement propose même un instant d'inverser les rôles, et puisque Ménon ne comprend pas le modus operandi du dialogue, il se propose lui-même en exemple, dans la recherche sur la figure. Ménon fera les questions, et lui, Socrate, y répondra. Quoiqu'il en soit, nous avons appris d'où venait notre difficulté à progresser dans le dialogue : Ménon

tipo “modus ponens”, “ modus tollens”, “modus 132 133 antecedent” e “modus consequent” (JOHNSON-LAIRD e BYRNE, 2002). As duas primeiras são chamadas de inferências válidas, e a maioria dos problemas com esta estrutura não são difíceis de serem solucionados. Já as duas últimas são chamadas de inferências inválidas, cuja solução lógica é extremamente mais complexa de ser resolvida, quer sejam aplicáveis tanto a crianças como para adultos (DIAS, 2000). Vejamos alguns exemplos. No “modus ponens”

#$Nitrogen), ni le grand nombre d'affirmations ajoutées à la base de connaissances par Cyc lui-même comme produit du processus d’inférence. 2. Le moteur d’inférence Cyc: Le moteur d'inférence de Cyc effectue des déductions logiques générales (modus ponens, modus tolens, et quantification universelle et existentielle), ainsi que des mécanismes d'inférence bien connus en I.A. (héritage, classification automatique, etc.). Puisque la base de connaissances Cyc contient des centaines de milliers d'affirmations

penchant uniquement sur la forme des propositions. De manière simplifiée, disons que la logique cherche à établir les conditions de l’utilisation correcte du mot « donc ». Sur son acte de naissance, on trouve un raisonnement valide élémentaire : le modus ponens, né de parents stoïciens. Si A, alors B ; Or A ; Donc B. S’il pleut, la route est mouillée. Il pleut. Donc la route est mouillée. Cela paraît tellement évident ! Pourtant, se présente déjà un risque d’erreur – 8 – Philosophie ou psychologie

relation de causalité : le fait que P =⇒ Q est vraie serait compris comme entraînant que Q découle de P . Il n’en est rien en logique pure. Par contre, une sorte de réciproque de ce raisonnement est vraie : on l’appelle “règle d’inférence”, ou “modus ponens” : pour toutes propositions P et Q, on a (P ∧ (P =⇒ Q)) =⇒ Q 4 Les règles de De Morgan nous permettront même de nous contenter de deux connecteurs, et on verra en TD un connecteur qui peut réaliser cette prouesse tout seul ! 14 Autrement dit

floue (fuzzy logic and uncertainty engines) est « la logique classique, logique propositionnelle ou logique des prédicats en algèbre de Boole caractérisée par ses deux valeurs de vérité (vrai et faux) et ses règles d'inférence telles que le modus ponens et le modus tollens, est inappropriée à une description fine et souple des connaissances. En particulier, elle est inadéquate à la représentation et au traitement des connaissances vagues, imprécises ou incertaines et ne peut de ce fait être utilisée

exclu, le principe de non-contradiction, les règles de distribution, de commutativité et d’associativité. • L’axiomatisation de la logique propositionnelle, les preuves. et le système de déduction naturelle : les règles Reduction ad absurdum, Modus Ponens et Déduction. • L’algorithme de résolution et notions de complexité. • grammaires formelles • langages de la hiérarchie de Chomsky • automates • liens entre eux Compétences • tables de vérité, équivalence de formules • utilisation

à la religion. La vie des hommes et la vie d’un peuple. Dans un deuxième temps, le peuple juif a eu une réflexion en légitimant leur coutume, d’où au (paragraphe 13), l’argument proposé par les juifs. Modus Ponens : mode d’argumentation. P> q si p entraine q, alors p et q (différent au Modus Tollens, qui est l’argument par l’absurde). 1. Si la loi est d’origine divine elle doit être obéie. La question n’est pas susceptible à une réponse purement rationnelle. Le juif propose un argument probable