Modèle De Solow

les pratiques électroniques des affaires et/ou la production des TIC sont importantes voire utiles. En dépassant le cadre du Luxembourg, avec l’effondrement des sociétés « point com » et les débats qui se sont développés autours du paradoxe de Solow (voir boîte 1), les pays de l’OCDE se sont demandés si la « nouvelle économie » n’était en fait qu’un mythe (OECD, 2001). Une fois les turbulences passées et le rétablissement des marchés, de nombreuses études montrent que la contribution du secteur

Lucas), apparues à la fin des années 1970, ont permis de réhabiliter l’intervention de l’Etat dans le champs économique, en montrant que celle-ci pouvait avoir un rôle influent sur la croissance de long terme du pays. En effet, alors que le modèle de Solow parvenait à la conclusion que la croissance économique n’était dépendante que de la croissance de la population active et du progrès technique, considéré comme exogène, Romer et Lucas démontre qu’il est possible de mettre en place les conditions

manière horizontale et verticale : horizontale dès lors qu’il paraît légitime d’inciter à la procréation ne serait-ce que pour financer un système de retraite par répartition et parce que l’augmentation de la population active, conformément au modèle de Solow, est une source de croissance. Aussi dès lors que le chômage et la maladie est une situation qui peut affecter n’importe quel individu et que chacun d’entre eux est incité, si ce n’est contraint, à recourir à ce type d’aléa. se faisant l’Etat

hypothèses sur le progrès technique 3. Les facteurs de la croissance Induction factorielle 1. CLASSIFICATION DU PT Progrès technique exogène Progrès technique induit PT Autonome PT Incorporé PT neutre PT non neutre au sens d’Harrod au sens de Solow au sens de Hicks Capital saving Labor saving Au capital Au travail Induction globale 2 2. LES HYPOTHESES SUR LE PT 2.1. LA NEUTRALITE 2.1.1. Au sens d'Harrod Yt = F (Kt, Lt, t) Yt = F (Kt, At Lt) où A(t) série croissante avec t. Si taux

hausse des profits → croissance économique * baisse des coûts de production → entraine elle aussi la croissance à travers le mécanisme de baisse des prix – Mais Solow : Investissement dans facteurs de prod n'explique pas toute la croissance → Résidu de Solow : s'explique par le progrès technique mais contrairement à ce que pense Solow PT du à l'investissement en R&D → croissance endogène (croissance qui provient de l'interaction des différents agents ce qui a pour effet d'endogénéiser le PT) –

 Modèles de croissance ou croissance modèle ? La croissance économique est mesurée quantitativement par l’augmentation du PIB ou du PNB. Voilà maintenant plus de deux siècles que nos sociétés s’accompagnent d’une véritable croissance économique mondiale. Mais peut on la qualifier de bonne ? A ce titre doit-on envisager une conjonction de modèles de croissances divergeant qui pourtant agirait de concert ou bien tendre vers un seul et unique but, une croissance modèle, si tenter qu’ ‘elle puisse

de : Harrod si il augmente l'efficacité du travail Solow si il augmente l'efficacité du capital Hicks si il augmente l'efficacité des deux. I) Dans le plan (K,L) pour produire Y après l'introduction du progrès technique l'isoquante se déplace vers le bas. Y en t 0 K K Y en t 1 K L HARROD SOLOW L HICKS L TMST K , L = PmL w = PmK R Harrod : K/Y donné la production de Y nécessite moins de travail, la PmL et w augmente. Solow : L/Y donné la production de Y nécessite moins de capital

et capital). Cette relation est établie à partir d’un certain niveau de progrès technique. Y = f(K,L,A) K, une quantité de capital, L, un volume de travail, A, un «facteur résidu» représentant ce qui n'a pu être directement déterminé. [Résidu de Solow ou productivité globale des facteurs] Fonction Cobb‑Douglas Y= A Ka L1-a g = a k + (1-a)l + PGF Δ Taux croissance = Δ volume de capital+ Δ volume de travail+ Δ PGF 3. Déterminants de la croissance potentielle [Voir DOC-16] ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………

What is a Keynesian Growth Model? Keynes’ model and Keynesian models were developed to explains business cycles: a short run phenomena As such they attribute a major role to aggregate expenditures (demand side) Regarding the supply side, they assume that there is unemployment: production responds fast to increases in aggregate demand because capital and labor is unemployed. Factors presents in Keynesian’s growth model Aggregate Demand, AD – AD = C + I + G + X-M – C, Consumption expenditures

Ce sont les économistes keynésiens qui ont abordé en premier le problème de l’instabilité de la croissance. a) La modélisation keynésienne de la croissance Les premiers modèles : ceux de Harrod et de Domar. Roy Forbes Harrod (1900-1978) 1948, dans « Toward a Dynamic Economics », il formule l’un des premiers modèles keynésiens de croissance. Il envisage la possibilité de sous-emploi dans la croissance car il faut différencier 3 taux de croissance : 1) taux de croissance effectif g : correspond