Modèle De Solow

de production 1 – Croissance extensive et croissance intensive 1. Robert Solow a été le premier à proposer un modèle formel de la croissance en 1956. D'inspiration néoclassique, ce modèle se fonde sur une fonction de production à deux facteurs : le travail et le capital. La production (Y) résulte donc exclusivement de la mise en combinaison d'une certaine quantité de capital (K) et de travail (L). Y = f(K, L) Ce modèle repose sur trois hypothèses : 1 hypothèse : Les rendements factoriels sont décroissants

marché. Au contraire l'intervention de l'état risque d'aggraver la crise comme le dit Friedman par l'aggarvation de la crise de 1929 par les erreurs de la FED qui ména un politique monétaire restrictive. De manière générale, les modèles néoclassiques de la croissance (Solow) mettent en avant l'existence d'une croissance équilibrée grâce à la flexibilité des prix: l'intervention de l'état est donc inutile. Schumpeter par l'études des différents cycles montre qu'é long terme la crise est liée au basculement

productions, investissement, épargne nationale Progrès technique : (explique 50% de la croissance des pays) productivité globale des facteurs 1). Les théories traditionnelles Chez les Keynésiens : Harrod (1946) & Domar (1948) : premier modèle de croissance de référence. Ils vont essayés de définir sur le long terme les conditions d'une croissance équilibrée. Ils distingues trois taux de croissances qui détermine la croissance d'une économie : Taux de croissance garanti qui assure l'égalité

Robert Malthus, avec son Essai sur la population de 1798, nous propose un schéma dans lequel la population croît de manière géométrique tandis que la production augmente selon une progression arithmétique, ne nous donne-t-il pas à la fois un premier modèle de la macroéconomie du déséquilibre et une théorie du sous-développement ? Ce n'est toutefois qu'au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale que les économistes des pays du Nord découvrirent, pour la plupart, l'état de vie précaire des populations

moins un autre agents ne soit détériorée. On retrouve l'équilibre en toute situation grâce au réajustement par les prix ce qui rend les crises durables impossibles. On retrouve les idées néo-classiques chez les Monétaristes, dans les modèles de croissance (type Solow) qui tracent le chemin d'une croissance équilibrée de LT, dans les théories des contrats et des jeux (finance, GRH, marketing). Séance 1

des années 90. La nouvelle économie : croissance soutenue d'une durée sans précédent, quasi plein-emploi, pas d'inflation, envolée des cours boursiers... (Nouveau paradigme technologique fondée sur les TIC. cf FREEMAN). D'où volonté d'un nouveau modèle d'organisation productive. Mais : quatre phases : 1) profits réalisés par un petit nombre de producteurs (start up) valident la croyance en la nouvelle économie. 2) afflux des nouveaux entrepreneurs vers ce secteur, et de nouveaux épargnants qui

Essoufflement GT 30G Pourtant 80-90's = hausse innovations (TIC) -> Y recomposée & hausse D Mais GP faible (paradoxe Solow). Début 90's retour croissance car : -USA : policy mix favorise croissance tout en évitant inflation -NTIC -> GP Crises/Limi tes 1920-21 : crise surproduction (retour belligérants) Inflation : 45-60 's : conjoncturelle 60-73 : structurelle -> 70's PDEM : stagflation Modèle pas adapté nouvelle D personnalisée et fluctuante Inégalités persistent au sein PDEM (12 pauvres USA 1970)

1989 Environment department précise que la définition standard du développement durable sera : « l’utilité non décroissante par tête en raison de son évidente affinité avec le critère d’équité entre générations ». Cette même idée est reprise par Solow et Howe qui voient non pas cete durabilité comme la conservation en l’état d’une base de ressources nécessaires à la production synonyme du bien être mais comme le maintien de sa production nécessitant la compensation de l’épuisement des ressources

politique économique. Evolutions théoriques La relation inverse entre inflation et chômage (P. Samuelson et R. Solow) P. A. Samuelson et R. M. Solow (1960) ont observé une relation négative du type Phillips pour les Etats-Unis, cette fois entre l'inflation globale et le chômage. L'époque est celle du règne du modèle IS-LM et du keynésianisme dit de la synthèse. Samuelson et Solow ont donc interprété cette relation négative comme offrant une possibilité d'arbitrage ("trade-off") aux responsables

alors que nous possédons bcp de progrès technique ? Est-ce que le chômage aussi élevé dans les pays industrialisés est un chômage technologique ? Rôle des NTIC, quelle place pour la recherche, capacité à soutenir l’innovation ? Y a-t-il des modèles d’innovation ? Rôle des l’informatique, de la netéconomie dans la ce. Soubassement théorique : Classiques et néoclassiques exclus : la ce provient du bon f°t du marché, elle s’inscrit dans une dynamique du marché. Keynésiens exclus : ce =