Modérer Ses Désirs

rapport au taux moyen ? D’une période à l’autre, le taux moyen évolue-t-il de manière régulière ou irrégulière ? Durkheim disait qu’un fait social est normal lorsqu’on le retrouve dans toutes les sociétés avec une certaine régularité : « un taux modéré de suicides n’a rien de morbide ». Le fait social devient pathologique lorsqu’on enregistre statistiquement un changement brusque de régularité. Le suicide est-il un fait social normal ? pathologique ? Le taux de suicide est un phénomène mystérieux

poète mondain (1718-1726) Il sort de prison : il se donne le nom de Voltaire et devient célèbre à 24 ans grâce à Œdipe et La Ligue Fortune, Salons, Châteaux Fontainebleau, 3 pièces de théâtre pour le roi Faveur, pension tout vient combler ses désirs 4) Nouveau séjour à la Bastille (1726) Dispute opposant le chevalier de Rohan à Voltaire = bastonnade Voltaire voudrait une réparation par les armes mais une lettre de cachet l’envoie de nouveau à la Bastille Il s’exile peu après en Angleterre

de soi même Les quatre vertus * La prudence (écouter sa raison) * La tempérance (modérer ses désirs) * Le courage (accomplir avec volonté son devoir) * La justice Pour posséder la vertu de la justice, il faut posséder les 3 vertus principales. Socrate introduit un principe d’action : mieux vaut subir l’injustice que la commettre. Celui qui comment l’injustice, il vit esclave de ses désirs, sa volonté se soumet aux impulsions de son corps et il ne tient pas compte de sa raison.

soucis que l’instantanéité de l’échange. Dans cette optique, le produit, l’acte d’achat, le moment et le montant de la transaction sont valorisés. Cette conception classique du marketing s’est longtemps concentrée sur la satisfaction des besoins et désirs du consommateur plus particulièrement sur la création d’une préférence pour le produit ou la marque concernée Bien que le marketing transactionnel et le marketing relationnel présentent des objectifs, des orientations et des perspectives différentes

l’homme doit se connaître lui-même afin de lui proposer un bonheur qui lui convienne et qu’il puisse atteindre par lui-même. Epicure préconise de modérer les plaisirs, car en voulant chercher toujours plus haut toujours plus loin l’homme en perd finalement ses plaisirs. Un autre courant de pensée nous affirme que pour être heureux il faut réaliser nos désirs les plus extrêmes et nourrir toutes nos passions. Mais cette vision du bonheur est un cercle vicieux parce que l’homme désire toujours plus, au-delà

stoïciens, adversaires de la pensée d’un plaisir contrôlé, prônée par Épicure, prêchaient pour un bonheur dans la morale. Pour eux, l’homme ne pouvait être heureux que s’il faisait le bien et agissait vertueusement. L’homme devait, non seulement modérer ses plaisirs, mais les supprimer et même les fuir, car ils étaient nocifs, selon eux. Sénèque , philosophe et homme politique du temps de Néron, affirmait que le plaisir était une chose basse, laide et fragile. Il fallait lui préférer la vertu ainsi

de ces besoins primaires. Ce besoin que la drogue crée n’est pas inhérent à la nature de l’homme. On peut donc considérer la drogue comme est un véritable fléau et un danger pour l humanité, car historiquement la nature humaine n’a jamais su être modéré dans ses actions. Comment pourrait-elle donc l’être dans la consommation de drogue ? En vérité tout est question de modération, en effet trop manger engendre l’obésité, trop d’hygiène fragilise la santé, boire trop d’eau est mauvais pour la digestion

pénètrent; de l'autre, tous les autres, ceux qui ne possèdent pas le pouvoir, ceux qui sont pénétrés- les femmes, les garçons, les esclaves. LES PRATIQUES SEXUELLES : A Rome, on ne peut rien imaginer de pire que le cunnilingus. L'homme ne se plie pas aux désirs de l'autre, car ce serait contraire à son statut social : pratiquer une fellation à un partenaire relève aussi pour le mâle de condition libre du crime de lèse-virilité. C'est une obscénité sans nom! En revanche, en être le destinataire est valorisé

Saint-Augustin, dans les confessions (LIX,1),exprime ainsi le gain de sa liberté : « Libre désormais était mon âme. Finis les soucis rongeurs, l’ambition, le goût d’acquérir, de me vautrer, de gratter la gale des passions. » Les passions, les désirs qui nous entraînent dans le trouble, nous font perdre la raison, sont ennemis de notre liberté. Je ne fais pas ce que je veux et je fais ce que je ne veux pas. J’ai déjà cité la passion du jeu, il en est de même de certaine passion amoureuse : l’amant

avec sa volonté de satisfaire des besoins élémentaires, avec un goût pour le spectacle simple de la vie offert par la nature et avec son métier de poète. Bien qu’il loue les plaisirs, femmes, vins, amour ; Horace prône également la nécessité de modérer ses désirs. « Beaucoup demander c’est manquer de bien des choses » (III 16) « Je suis, moi, comme l’abeille de Matinus, péniblement je butine le thym odorant dans la profondeur des bois, et je façonne, avec peine, humble poète, mes vers sur les frais