Molière Moraliste

vais vous jeter dans l’étonnement », et enfin la révélation qui survient dans la seconde partie du texte, formant un véritable coup de théâtre : « une chose vous manque, c’est l’esprit ». Il s’agit bel et bien d’une critique vexante pour Acis. Le moraliste porte l’estocade avec « ce n’est pas tout » et « peut-être » : avec « peut-être », le doute est suscité dans l’esprit du lecteur, doute qui est accentué par l’occurrence « croire ». Même en adoptant les manières et le langage simple des gens d’esprit

voudrais qu’à cet âge On sortît de la vie » (l.52). Le moraliste compare la mort à un repas où il faut disposer une fois fini : « On sortît de la vie ainsi que d’un banquet, Remerciant son hôte, et qu’on fît son paquet. » (l.51-52). Le fait que la Fontaine fait une comparaison en rapport avec la nourriture dans sa fable renforce l’idée qu’au XVIIème siècle à nos jours, la nourriture occupe une grande place dans la vie quotidienne des Français. Le moraliste valorise une fois de plus la Mort en appuyant son

« De la cour », Les Caractères de La Bruyère : Publié : 1688 La Bruyère moraliste du 17ème siècle «  se cache » derrière les portraits fait par le grec Théophraste. Il dit qu’il en est le traducteur et ajoute qques textes fragmentaires. L’œuvre Les Caractères se compose de 16 parties (« De la ville » ; « De la cour » ; « Des Grands »…). C’est une œuvre très fragmenté mais avec un fil conducteur qui est l’observation des hommes de son entourage. Il est attentif et critique puisqu’il va essayer

Jean de La Bruyère : Né en 1645 et mort en 1696 est un moraliste français célèbre pour Les Caractères ou les Mœurs de ce siècle composant une chronique de l’esprit du XVIIe. Il est orienté vers le classicisme. De la cour I) Imitation d’un récit de voyage 1) Une énigme * Informations vagues du lieu dans la 1er phrase («une région»>ne permet pas de l’identifier), la dernière phrase ne donne pas le nom mais la situe => donne envie au lecteur de chercher. * Pas de précision de

"correction" —pour reprendre un terme cher à Bergson— qu'infligent les rieurs à ceux qui ne sont pas de leur clan. Forçant le trait jusqu'au pittoresque, quand il décrit la fragmentation de l'espace urbain présenté comme un conglomérat de microsociétés, le moraliste montre que les rieurs forment des mondes à part, persuadés qu'ils sont de détenir la vérité ; leur vérité. C'est en effet l'auteur des Caractères qui brosse le portrait le plus cruel de cette microsociété, avec ses codes, ses usages, ses mots pour

penseur », « libertin » au sens philosophique du terme) : idée alors d’une notion différente : le moraliste. Un moraliste est un écrivain qui propose, sous une forme discontinue, des réflexions sur les mœurs, au sens étymologique de latin mos, moris : les usages et les coutumes humaines, les caractères et les façons de vivre — en somme, les actions et les comportements des hommes. N.B. : moraliste ne doit pas être confondu avec moralisateur : ce dernier donne des leçons de morale, tandis que le

la peste" ou encore "La Tête et la Queue du serpent" . Il utilise la structure de la poésie avec des rimes, des vers hétérométriques, la présence d'une morale explicite ou implicite, l'utilisation d'un langage plus soutenu ... Jean de La Fontaine moraliste et fabuliste souhaite que ses fables plaisent au lecteur tout en l'intruisant, voilà un défi. Jean de La Fontaine utilise les paroles rapportées pour que les fables plaisent à son lecteur. Les paroles rapportées rendent le récit plus vivant et

La Bruyère livre dans Les Caractères sa vision de la société du XVIIe siècle. L’écrivain est un fin observateur, un témoin bien placé pour décrire la cour de Versailles, il excelle dans l’art du portrait. Le sujet central des descriptions de ce moraliste est le courtisan, qui mène une vie de représentation. Une réflexion morale en découle : La Bruyère fait un tableau satirique de ce petit théâtre du monde dont il montre les vices. PRESENTER LE TEXTE Dans cet extrait, Les pages de Jean de la

"correction" —pour reprendre un terme cher à Bergson— qu'infligent les rieurs à ceux qui ne sont pas de leur clan. Forçant le trait jusqu'au pittoresque, quand il décrit la fragmentation de l'espace urbain présenté comme un conglomérat de microsociétés, le moraliste montre que les rieurs forment des mondes à part, persuadés qu'ils sont de détenir la vérité ; leur vérité. C'est en effet l'auteur des Caractères qui brosse le portrait le plus cruel de cette microsociété, avec ses codes, ses usages, ses mots pour

lignes. » La poésie est une manière de faire passer un message au lecteur. En effet, le poète peut partager ses différentes opinions sans pour autant les exposer directement aux yeux de tous, comme le faisait par exemple Jean de La Fontaine, célèbre moraliste français dans ses diverses fables. Ce procédé étant utilisé afin de ne pas subir la censure du roi, très rependue à l’époque. Le fabuliste pouvait donc libérer différentes critiques envers la société et le régime instauré. "La Génisse, la Chèvre