Molière Moraliste

son humour et sa vivacité ainsi que sa philosophie de la vie. Quel regard J DLF porte sur son travail d’écrivain au travers de ses fables ? Pour J DLF, « la littérature doit être utile autant qu’agréable » (biographie Encyclopédie Larousse). Moraliste et non moralisateur il porte un regard lucide sur les rapports de pouvoirs et la nature humaine. Au travers des 4 fables étudiées pour ce commentaire, nous nous intéresserons à la critique de la société du 17ième s chère à J DLF, à son écriture

17 mars 1680, est un écrivain, moraliste et mémorialiste français, surtout connu pour ses Maximes. Officiellement, il n'a publié que « Mémoires » et « Maximes », mais cet homme de lettres émérite écrivait beaucoup. Œuvre importantes : Apologie de Monsieur le prince de Marcillac, Mémoires, Maximes Jean de La Bruyère Jean de La Bruyère, né à Paris le 17 août 1645[1] et mort à Versailles le 11 mai 1696[], est un moraliste français. Œuvre importante :

La Fontaine, « Les Deux Amis » Jean de La Fontaine : 1621/1695 La Fontaine est un poète, fabuliste, moraliste (texte moralisateur), dramaturge et romancier français essentiellement connu pour ses fables (qui mettent souvent en scène des animaux), ses contes, ses poèmes… (Daphné = livret pour un Opéra). La Fontaine explique dans sa préface aux Fables qu’une fable est composée d’un Corps (le récit) et d’une Ame (la morale). Il s’inspira des sujets de Phèdre (pour lui, la fable suscite le rire

d'abord, nous allons vous présenter un exposer sur Jean de la Bruyère, comportant sa biographie ainsi que sa seule et unique œuvre qui se nomme les caractères. (Ophély) Biographie. Née à Paris le 17 août 1645, Jean de la Bruyère est un moraliste et romancier français, issu d'une famille parisienne bourgeoise. Il fréquenta le collège des Oratoriens, puis fit des études de droit à Orléans. Devenu avocat, il acheta une charge de trésorier des Finances en 1673 puis mena à Paris une vie modeste

France. L'Orient n’est qu'un prétexte pour éviter la censure qu'aurait subi une attaque directe à la monarchie française du roi Louis XV. - Railleries, médisances, propos superficiels, méchancetés, méconnaissance… (cf. Les Caractères de La Bruyère, moraliste du XVIIème siècle qui a critiqué les mœurs de la Cour dans ses Caractères). Les connaissances de Zadig en matière scientifique, même si Voltaire se réfère aux Chaldéens, sont très proches de celles d’un esprit éclairé du XVIIIème siècle (terre, soleil

Jean de La BRUYERE (1645-1696) : moraliste français, célèbre pour son œuvre unique Les Caractères ou les Mœurs de ce siècle. Il entre à l'Académie française en 1693. L'année suivante, il avait déjà livré quelques 1.120 portraits et maximes. Les "traits" de caractère de La Bruyère sont le fruit d'un esprit sagace, critique et indépendant. Ses observations, impitoyables envers la nature humaine, conservent une valeur intemporelle, même après sa disparition en 1696. La variété formelle des Caractères

vis-à-vis des personnages, allusion à Tabarin Le moraliste : voix de la sagesse Le charton : expression familière avec phrases courtes II/ Un récit unique A) L’allégorie animalière Vers 15, 21 et 29 « personnes » ou « personnages », vers 10 « les animaux », vers 21 « personne honnête », vers 11 « bonnes gens »  utilisation d’animaux pour instruire les Hommes, va-et-vient perpétuels entre le monde humain et animal (double voix : conteur et moraliste), utilisation de périphrases valorisantes pour désigner

blâment plus aigrement, et qui en disent plus de mal, que ceux qui s'étaient comme dévoués à la fureur d'en dire du bien."  La remarque trente-deux des Caractères de la Cour a été écrite par Jean de La Bruyère et publiée en 1688. La bruyère est un moraliste, qui critique ici, dans "de la cours", les idées sociales, politiques, les moeurs ainsi que les genres humains qui selon lui sont tous dotés d'un défaut. Au-delà de ces critiques, la Bruyère énonce un jugement d'ordre général des personnages de

xviie siècle, et il fut en son temps, sinon le plus admiré, du moins le plus lu, notamment grâce à ses Contes et à ses Fables. Styliste éblouissant, il a porté la fable, un genre avant lui mineur, à un degré d’accomplissement qui reste indépassable. Moraliste, et non pas moralisateur, il pose un regard lucide sur les rapports de pouvoir et la nature humaine, sans oublier de plaire pour instruire.Proche de Nicolas Fouquet, Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons

fontaine renverse le reproche dans la morale, il oppose le monde « vieux » et l’homme resté « enfant » ( « Le monde est vieux dit-on : je le crois cependant ==> contre rejet / Il le faut S’amuser encore comme un enfant. » ) -Moralité explicite: Le moraliste s’implique, il ne se met pas dans la peau du moralisateur mais du côté du public.