Moment cinétique orbital

serait infini. Tel que l’image ci-dessous nous le présente : Quand une vague se brise, au moment où sa cambrure devient maximale (dépasse 14% de son amplitude), c’est que le fond marin devient de moins en moins profond ce qui fait basculer la vague en avant. Ce phénomène permettant à la houle de se briser, est appelé phénomène de réfraction. Pendant le passage de la vague, c'est-à-dire au moment où se forme la houle, le niveau de l’océan augmente puis diminue après son passage. La puissance

masse, autour duquel se distribuent des électrons pour former un nuage 40 000 fois plus étendu que le noyau lui-même. Ce dernier est constitué de protons, chargés positivement, et de neutrons, électriquement neutres . Les électrons occupent des orbitales atomiques en interaction avec le noyau via la force électromagnétique, tandis que les nucléons sont maintenus ensemble au sein du noyau par la liaison nucléaire, qui est une manifestation de l'interaction nucléaire forte. Le nuage électronique est

comme la charge électrique ou la masse : l’électron, le neutron, le proton, possèdent un spin. A pair | Z pair | I nul (annihilation entre spins) | | Z impair | I entier | A impair | | I = ½ | Si I est différent de 0, le noyau possède un moment magnétique. En d’autres termes, un noyau de spin non nul se comporte somme un petit aimant. Les noyaux de spin ½ sont de grand intérêt en chimie et en biochimie, notamment ceux en rouge. I | Noyaux | 0 | 12C , 16O… | ½ | 1H, 13C, 15N, 19F

fonction d’onde, orbitales atomiques) L’atome polyélectronique (configuration électronique, électrons de cœur et de valence) La classification périodique des éléments (principe de la classification, périodicités des propriétés des atomes) Les liaisons chimiques : modèles empiriques (Représentation de Lewis, géométrie des molécules : théorieVSEPR) Les liaisons chimiques : modèles théoriques (méthode CLOA, orbitales moléculaires) La liaison chimique en chimie organique (hybridation des orbitales atomiques)

règle de Klechkowsky : les orbitales sont remplies de sorte que n + ℓ (respectivement nombre quantique principal et nombre quantique secondaire) soit croissant ; en cas d’égalité, la sous-couche ayant le plut petit n est remplie en premier. Ce qui revient à remplir les orbitales par énergie croissante. • principe d’exclusion de Pauly : deux électrons d’un même atome ne peuvent avoir les mêmes nombres quantiques, ce qui implique que deux électrons sur une même orbitale sont de spins différents. •

groupés des éléments qui possèdent des configurations électroniques similaires, et notamment le même remplisssage de leur couche de valence. Ainsi, le « bloc s » (colonnes 1 et 2) groupe les éléments dont l’orbitale occupée la plus élevée est une orbitale (ns), et le « bloc p » (colonnes 13 à 18) ceux dont l’orbitale occupée la plus élevée est une (np). A l’intérieur d’une même colonne, on observera des similitudes de comportement chimique, mais aussi des différences dues notamment à l’existence,

CHAPITRE 2 • RÉACTIONS NUCLÉAIRES 7 CHAPITRE 3 • ATOME ET STRUCTURE ÉLECTRONIQUE – CLASSIFICATION PÉRIODIQUE 13 CHAPITRE 4 • LIAISON CHIMIQUE – STRUCTURE ÉLECTRONIQUE DES MOLÉCULES 31 CHAPITRE 5 • LIAISON CHIMIQUE – GÉOMÉTRIE DES MOLÉCULES – MOMENT DIPOLAIRE 43 CHAPITRE 6 • ÉTATS DE LA MATIÈRE – QUANTITÉ DE MATIÈRE – ÉTAT GAZEUX – ÉTAT LIQUIDE 61 CHAPITRE 7 • STRUCTURE DES CRISTAUX 71 CHAPITRE 8 • CONSERVATION DE L’ÉNERGIE – CHALEUR – TRAVAIL – ÉNERGIE INTERNE – ENTHALPIE 83 CHAPITRE

Théorie cinétique des gaz 2.1 Théorie cinétique du gaz parfait non relativiste . 2.1.1 Rappels . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.1.2 Modèle à une dimension . . . . . . . . 2.1.3 Théorie cinétique à trois dimensions . . 2.1.4 La loi de Dalton . . . . . . . . . . . . 2.2 Quelques concepts utiles . . . . . . . . . . . . 2.2.1 Libre parcours moyen . . . . . . . . . 2.2.2 Temps libre moyen . . . . . . . . . . . 2.2.3 Section efficace de collision . . . . . . 2.3 Applications de la théorie cinétique . .

les atomes qui s’entrechoquent par milliards chaque seconde dans le Soleil, en remodelant la matière et en libérant l’énergie sous forme de lumière ou de chaleur. Les collisions transforment l’Univers. Lorsque deux objets se heurtent, leur énergie cinétique est libérée, entraînant un bouleversement de la structure des objets entrés en collision. Partout, elles pulvérisent ou rassemblent les éléments, laissant derrière elles les galaxies, les étoiles ou les planètes dans un état très différent. La Terre

considéré comme ayant une forme sphérique, ou quasisphérique dans leur état fondamental, et possède un moment quadrupolaire égal à zéro. Les déviations par rapport à cette sphéricité est justement mesurée par la valeur positive ou négative de ce moment quadrupolaire. Par exemple, le 176Lu apparaît être un ellipsoïde distordu eQ >0 qu’on appelle prolate (forme de cigare, par contre le 233Pa possède un moment quadrupolaire eQ 0) ou impair-impair (δ 1010 a ). la figure ci-dessus montre les isobares de la