Monastères Xii

Constantin Tischendorf découvre le codex en 1844 au monastère Sainte-Catherine du Sinaï au cours de deux voyages pour le roi de Saxe Frédéric Auguste puis d'un troisième voyage pour le tsar Alexandre II de Russie. Tischendorf publie ensuite en 1862 les découvertes de sa première expédition sous le titre Bibliorum codex Sinaiticus Petropolitanus. Konstantinos Simonides, un brillant faussaire, prétendra avoir rédigé le codex dans un monastère du Mont Athos mais sa supercherie est démasquée en 1863

Constantin Tischendorf découvre le codex en 1844 au monastère Sainte-Catherine du Sinaï au cours de deux voyages pour le roi de Saxe Frédéric Auguste puis d'un troisième voyage pour le tsar Alexandre II de Russie. Tischendorf publie ensuite en 1862 les découvertes de sa première expédition sous le titre Bibliorum codex Sinaiticus Petropolitanus. Konstantinos Simonides, un brillant faussaire, prétendra avoir rédigé le codex dans un monastère du Mont Athos mais sa supercherie est démasquée en 1863

Constantin Tischendorf découvre le codex en 1844 au monastère Sainte-Catherine du Sinaï au cours de deux voyages pour le roi de Saxe Frédéric Auguste puis d'un troisième voyage pour le tsar Alexandre II de Russie. Tischendorf publie ensuite en 1862 les découvertes de sa première expédition sous le titre Bibliorum codex Sinaiticus Petropolitanus. Konstantinos Simonides, un brillant faussaire, prétendra avoir rédigé le codex dans un monastère du Mont Athos mais sa supercherie est démasquée en 1863

assainir financièrement le pays, à apaiser les esprits et à faire la paix avec l'Angleterre et l'Autriche. Le Sénat va le récompenser en lui proposant une prolongation de son mandat de dix ans. La Constitution de l'an X et la Constitution de l'an XII, instaurant l'Empire, renforcent l'importance de cette assemblée. Bonaparte fait de ce "Sénat conservateur", chargé de veiller à la conservation de la Constitution, un élément-clé de son régime. En l’an X (1802), la révision de la Constitution renforce

les Français, d'abord réticents, se rallient à sa personne jusqu'à en faire un nouveau monarque, un empereur, un « roi du peuple ». L'établissement de la monarchie impériale résulte du sénatus-consulte organique du 28 floréal an XII (18 mai 1804) [ou Constitution de l'an XII], approuvé massivement par plébiscite (6 novembre), qui confie le gouvernement de la République au Premier consul avec le titre d'Empereur des Français, et proclame la dignité impériale héréditaire dans la descendance directe,

clergé, souvent devenu très riche et qui s'éloigne de la vraie religion. * La réforme des monastères Au X° siècle, le monastère de Cluny en Bourgogne, revient à l'esprit de la règle de St-Benoît (VI°s.) qui prône la prière, le travail et la pauvreté. De nombreux monastères et abbayes clunisiens sont construits dans toute l'Europe. Mais Cluny devient très riche et s'éloigne de la ferveur religieuse. Au XII° siècle, Bernard de Clairvaux Fonde l'ordre de de Cîteaux (Cisterciens) qui accentue la règle

cathédrales. Pourquoi avait-on construit tant d’églises au Moyen Âge ? La religion prenait une place importante, la population augmente et est de plus en plus « religieuse ». : multiplication des pèlerinages et des cultes des reliques , développement des monastères et abbayes. Ainsi construire une église est un acte de foi puisque l’église est le lieu où l’on prie, où l’on se retrouve entre chrétiens. L’église en bois, souvent devenue trop petite et trop fragile, s’agrandit (grâce à de nouvelles techniques)

(laïcs). Il assure les liturgies et sacrements. Les plus puissants : évèques -> controle un évêché qui s'etend sur un diocèse -> doicèse divisé en paroisses -> paroisses controlées par curés -Clergé regulier : Moines qui vivent dans des monastères ou des abbeyes. ex: cisterciens 2) Une Eglise riche L'Eglise reçoit des dons de terres et d'argent et touche la dîme (1/10 des recoltes, ces fils de pute) 3) Une eglise source de réformes et de dérives Réforme Grégorienne au XI -> Reduction

tête de la chrétienté (document 1). Le clergé régulier représente les moines qui vivent selon une règle – celle de Saint Benoît par exemple – repliés dans des monastères ou abbayes lorsqu’ils sont dirigés par un abbé. Certains de ces monastères comme l’abbaye de Cîteaux – moines cisterciens – sont de puissants foyers de diffusion de la foi. Au XII et XIII siècles apparaissent des moines urbains, les Dominicains, les Franciscains qui sont des ordres mendiants, ils vivent au contact des fidèles et assistent

même travail que les autres. Je me suis fait aider sur mon rapport de stage sur mon point à développer, j’ai pris des photos du site pour L’OT. RIBEYRE Aurélie Rapport de stage page7 III. Dévelopement du point L’Histoire de l’abbaye : Le monastère bénédictin a été fondé au VIIIème siècle vers les années 780 par Sentimir, un hispanus. Au lieu-dit la fontaine et dédier a Saint genis. D’où le nom st genis des fontaines. L’abbaye fut détruite au milieu du IXème siècle par les Normands, (elle