Mondanité

de Dieu. Nous verrons comment Pascal renouvelle de manière originale ce thème ancien en l’exacerbant d’un point de vue stylistique et en l’intégrant à son système philosophique. Les Pensées contiennent à l’évidence une critique virulente de la mondanité, perçue comme une forme extrême de la vanité des occupations des hommes. De nombreuses images dégradantes comparent les loisirs mondains à des jeux puérils (la balle du fr. 126) ou des réflexes animaux (le lièvre, idem). La violence du propos

Chapitre 18 résumé : Verrières va être le sujet de visite d'un roi, c'est une surprise pour toute la communauté qui rentre aussitôt en ébullition. Julien s'imagine que Louise n'a plus le temps de penser à elle, toute occupée qu'elle est à préparer les mondanités; Toutefois, c'est l'inverse qui se produit et elle s'imagine au contraire que c'est l'occasion de mettre Julien en avant. L'abbé Chélan est remis sur le devant de la scène car il est une connaissance personnelle de M de la Mole, ministre des armées

nouveau travail sur le mythe : aimantation par l’imaginaire (croyance) > cf. utopies socialistes in ES.… d) Une certaine mondanité : 1862-64 — Succès public et critique de Salammbô : Fb se lie avec des écrivains reconnus = Michelet, Taine, Renan, les Goncourt, G. Sand (corresp.) — Depuis 1855, passe les hivers à Paris (42bd du Temple) : devient l’occasion de mondanités (< succès public) : Dîners de Magny : nott Goncourt et Ste Beuve Fait connaissance de la Princesse Mathilde [cousine

du portrait. ➢ Rassure en proposant un ordre stable et conforme aux gouts de la majorité. ( Peinture : Meissonier, Bouguereau, Cabanel ( Musique : Massenet, Gounod… ( Boldini s’installe à Paris et devient le peintre le plus encensé des mondanités 3. La reconnaissance de certaines avant-gardes ( Nombre d’avant-garde sont appelés à devenir des classiques ➢ All : le romantisme au service de la nation triomphe. o Construction d’un théatre dédié à Wagner o Strauss

Mathilde Loisel M. Loisel Mme. Forestier 6.2- Résumé Une femme (Mathilde) est née dans une famille d’ouvriers, elle est mariée à un commis du ministre de l’Instruction Publique qui n’a pas beaucoup d’argent. Or, cette femme se sent faite pour les mondanités, les bijoux et les châteaux. Un soir, son mari lui rapporte une invitation à un bal, cette dernière est mécontente car elle n’a pas de quoi se vêtir correctement, de plus, elle rajoute qu’elle n’a pas de bijoux. Son mari lui offre 400 francs pour

LA Dînr chez ValenodLe dîner chez les Valenod 1 « Jamais Julien n'était allé » Courte analepse. Tout le § va être centré sur le point de vue de Julien, son passé, ses impressions L'analepse permet d'insister sur le fait que c'est pour le héros l'occasion d'entrer dans un monde nouveau, une nouvelle épreuve 2 « cet homme » L'usage du déterminant possessif est à consonance péjorative Le sentiment qui prévaut est sans doute le mépris ce que confirme l'information suivante

sert de couverture pour conserver, acquérir des postes ministériels. Qu’importe l’alternative s’il y a alternance. De manière plus prosaïque, c’est tout un jeu équivoque de figurations, d’attitudes, de convenance, de décence, de prévenance, de mondanités issues d’un même monde, de discours euphémisés, de relations interpersonnelles qui favorisent, lorsque la frontière idéologique devient ténue, les alliances contre nature, et ce, quand bien même, pour la galerie, l’on s’enverrait, médiatiquement

militaire et sociale. Le thème de la parade : vitrine sociale : Logique du spectacle. Hyperboles : « plumes des soldats » = le paraître. Paroxysme du spectacle à travers des couleurs exacerbées. Déclinaison du spectacle des couleurs à travers la mondanité. Il est question de masse. Image hiérarchique de la société : ascension sociale. La foule représente aussi la séduction. Julie : icône de la femme (objet de désir). Métonymie et tension érectile vers la féminité. Exposition de la dynamique de

l'effort intellectuel d'acquisition de cette culture), pour dire de la façon la plus singulière possible une réalité parfaitement banale.Elle devient un mode d'action, un sentiment, et même un état d'esprit collectif.Elle suppose nécessairement la mondanité : la conversation, jugée supérieure à l'écriture, est la principale occupation. Il faut bien comprendre que tous les compliments faits à une femme le sont pour être applaudis par un tiers (pour montrer sa culture et son esprit) : d'où la nécessité

l’ensemble des journées ; seul le dialogue est le fil conducteur. - Vie princière et débats moraux A la fin d’une nouvelle, tous rient ou pleurent (aucun jeu de physionomie n’est décrit). Chacun cherche sa vérité dans des débats entre mondanité et dévotion. - Présences et représentations L’auteur n’intervient pas dans les débats. Oisille elle, a un rôle à part : veuve à la longue expérience, elle assume la matinée en proposant la lecture des Ecritures. Elle est une autorité