Monde Parfait

section droite. A S A' On peut donc brancher des tubes piézométriques ; ils mesurent p par rapport au plan de référence la quantité :  z  Cte g Cas des fluides compressibles (gaz) : on pourra prendre le modèle du gaz parfait, dans ce cas, l’équation d’état des gaz parfaits nous donne, P P0  .T   0 .T0 P et donc T dP    .g.dz    0 . P . 0 .g.dz  P  T   0   dP  .T g .g.dz et si g et T sont considérés comme constants alors en intégrant on   0 0.  T

fonction de q et C (C représente la capacité du condensateur plan). Interpréter ce résultat. 4 DEUXIEME PROBLEME COMPRESSION LENTE ET BRUTALE D’UN GAZ PARFAIT Un cylindre vertical, de section constante S, est fermé par un piston de masse m qui peut coulisser sans frottement. Il contient un nombre n de moles d’un gaz supposé parfait. L’ensemble est plongé dans un milieu dont la température T0, la pression P0 sont constantes et où règne un champ de pesanteur r g , uniforme et vertical. La

conditions de température et de pression, le volume occupé par le gaz est le même pour tous les gaz parfaits, quelque soit leur nature. f) La masse volumique d’un gaz parfait dépend de sa température et de sa pression. g) La température du point triple de l’eau pure est 0,01°C. h) Le volume molaire d’un gaz parfait est égal à 22,4 L. i) Les coefficients thermoélastiques instantanés du gaz parfait sont tels que : α = β = 1/ T, ils sont donc dépendants seulement de la température T. j) L’air sec est

4. Lequel de ces diagrammes représente la relation entre le volume d’un gaz et sa température en il du mouvement de ses particules à cette température ? 0 L. Le mouvement des particules cesse complètement dans un gaz parfait. 3. Quel est le volume d’un gaz parfait lorsqu’il est refroidi à une température de 0 K ? Qu’advient- ✓ e) 1 880 K T ‫ ؍‬0 K ؊ 273 ‫ ؍‬؊273 °C T ‫ ؍‬273 °C ؉ 273 ‫ ؍‬546 K c) 273 °C d) 0 K T ‫ ؍‬25 °C ؉ 273 ‫ ؍‬298 K b) 25 °C indiquez ensuite

d’une pipette jaugée ou bien d’une burette graduée. 4) Comment procéder avec un gaz ? ? A partir de son volume : Souvent en chimie, on considèrera les gaz utilisés comme parfaits afin de mener les calculs. De ce fait, nous pouvons remonter à la quantité de matière d’un gaz par l’intermédiaire de l’équation des gaz parfait : n = ρ ∗V M d=ml =ρl me ρe nA : Quantité de matière de A en mol. [A] : Concentration molaire de A en mol.L . V : Volume de la solution en L. nA =[A]*V

ATTENTION! Il faut se méfier des signes… celui du binôme obtenu est le même que dans l’expression originale, tandis que celui du terme central du trinôme est l’inverse de l’original. = 2((x − 6)2 − 9) = 2(x − 6 + 3)(x − 6 − 3) = 2(x − 3)(x − 9) carré parfait = 2(x 2 − 12 x + 36 − 9) = 2(x 2 − 12 x + 36 − 36 + 27) = 2(x 2 − 12 x + ( 122 ) − ( 122 ) + 27) 2 = (3 x + 2)(x + 3) = x(3 x + 2) + 3(3 x + 2) = (3 x 2 + 2 x) + (9x + 6) 3x 2 + 11x + 6 = 3 x 2 + 2 x + 9x + 6 x 2 + 7 x + 10 = (x + 2)(x + 5) E XEMPLE

quantité de matière du système : V, m.. → non additives → additives FONCTION D 'ETAT : fonction des variables d'état, indépendante su chemin suivi au cours de la transformation : elle ne dépend que de l'état initial et final VARIATIONS :   GAZ PARFAIT : MONOATOMQUES → (+ certains considérés comme tel en expérimentation) MELANGE DE GP « IDEAL » ↔ X interaction° entre les Mol. des différents G. 1 Gaz = 1 FRAC° MOLAIRE abc (ni : nombre moles du constituant i / N : nombre total de moles du mélange)

3FMBUJPO EF #FSOPVMMJ L’axe Oz est pris selon la verticale ascendante. ** ‰ %ZOBNJRVF EFT ýVJEFT QBSGBJUT ²DPVMFNFOU TUBUJPOOBJSF JODPNQSFTTJCMF FU JSSPUBUJPOOFM EVO ýVJEF IPNPHÒOF Fluide parfait : on néglige la viscosité et la tension superficielle. P v2 + +gz =C ; µ 2 ²RVBUJPO E&VMFS On considère un fluide parfait, dans le champ de pesanteur #» g considéré comme uniforme, étudié dans un référentiel R galiléen. Le principe fondamental appliqué à une particule de fluide conduit à l’équation d’Euler

simplificatrices, appuyées sur l’expérience. Les étapes les plus importantes de ces travaux théoriques et expérimentaux sont marquées, entre autres, par l’introduction des coefficients de similitude (E. Mach, 1889; O. Reynolds, 1883), des notions de fluide parfait et de couche limite (L. Prandtl, 1904) dans le cas des écoulements à des vitesses modérées. C’est également à la fin du XIXe siècle et au début du XXe que l’aérodynamique expérimentale a découvert les lois physiques, que les théoriciens ont eu à

------------------------------------------------- DM2- 2nde5- EXERCICE 1 : f est la fonction définie pour x≠3 par f(x)= et g la fonction définie sur IR par g(x)= -x²+4x-3. 1) Calculer les images de 3+ et de par f. 2) Calculer g(-2) et g(1-) EXERCICE 2 : Résoudre les problèmes suivants après les avoir mis en équation. 1) Je prends un nombre , je lui retranche 7 puis j’élève au carré le nombre obtenu , je trouve le carré du nombre de départ .Quel est ce nombre ?