Mondes possibles

sous-titre « ou l'Optimisme » à son roman éponyme ? L'oeuvre de Voltaire relate, comme nous le savons, le parcours initiatique d'un jeune allemand. Celui-ci a été élevé par Pangloss, qui pensait que « tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles ». Longtemps, Candide a cru son maître, tentant de toujours trouver le bon côté des choses qui lui arrivait même les plus horribles et malheureuses. Candide est donc un personnage souvent optimiste ou alors son mode de pensée est régit par l'optimisme

qui rappelle qu’il a constamment besoin de se référer à des modes de pensés ou théories qu’il ne maîtrise même pas. - On a les épisodes principaux qui font la trame de l’histoire. La thèse enchainant des effets, des causes dans le meilleur des mondes possibles sont une série de malheur. - Pangloss ne se soucie plus de l’illogisme profond de sa thèse puisque la logique formelle est sauve (car, enfin, si). -C’est un maniaque de la dissertation même si il n’a rien appris, rien compris il a tjr raison

l’absence d’une main… Il pouvait lire dans ses yeux à la fois le malheur, la tristesse mais aussi la résignation… Candide, abasourdi, hagard, ne comprenait pas cette violence ! Pangloss ne disait-il pas “Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles“  Sa naïveté le convaincu qu’il y avait forcément une explication, il décida de s’entretenir avec Mr Vanderdendur et d’un pas hésitant s’approcha de lui : « Mr Vanderdendur ?  demanda timidement Candide Et à qui ai-je l’honneur ?  Je

écrit Candide, trois années après un terrible tremblement de terre qui a dévasté la ville de Lisbonne, il émet sa position et son point de vue vis à vis de l'optimisme. Ainsi, l'auteur met en scène un héros, Candide, qui découvre toutes les formes possibles du mal durant ses aventures. A présent je vais vous lire le Chapitre VI de Candide. Comment le compte philosophique de Candide est-il utilisé par Voltaire pour dénoncer les abus du XVIIIeme siècle. Nous verrons dans un premier temps l'aspect

l’Optimisme. Voilà un détail révélateur des préoccupations de Voltaire : le philosophe a voulu se moquer d’un optimisme irraisonné. En la personne de Pangloss qui répète mécaniquement et hors de propos : “Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles”, il a voulu ridiculiser ceux qui ne considèrent pas avec sérieux et respect le problème du mal. Voltaire attaque les enseignements de ses contemporains, Leibniz ou plutôt son disciple Wolff moins subtil que son maître, et, au travers d’un conte

il aurait droit ou pas ? En outre je préfèrerais pour traiter le sujet, me demander si au fond Dieu est si puissant que ça ? « n'y aurait-il pas de limites à son pouvoir ? à sa liberté ?  » Ainsi ce qu'on va voir d'abord c'est : Est-ce possible que le dieu, bon et tout puissant ( I ), puisse avoir des limites ? ( II ) Et on va finir par se demander si l'origine de ces limites ne seraient pas déjà en lui même...(III) I ) UN DIEU BON ET TOUT PUISSANT Pour commencer : Le Coran

dénoncer tous les vices et les injustices contre lesquels luttaient les lumières. Candide est un jour chassé du château de Thunder-ten-tronckh par son maître Pangloss qui est d’un optimisme extrême et soutient que « tout va bien dans le meilleur des mondes possibles », pour avoir embrassé sa cousine, Cunégonde. Au cours d’un long périple à travers le monde, d’aventures, mais aussi de douloureuses épreuves, Candide va peu à peu se détacher de la vison de Pangloss pour arriver à ses propres conclusions et

est bien montrée dans la phrase: « se détestant toutes également les unes les autres, s’unissant et s’attaquant tour à tour » ; ce rythme indique une construction, un projet dans une sorte de désordre "celui de faire tout le mal possible". L’adjectif qualificatif « possible » est une reprise à contre sens d’une expression du philosophe Leibniz. Voltaire, comme dans Candide, dénonce ici un optimisme qui n'existe pas. Voltaire nous montre que les princes sont en fait des tyrans infernaux

l’interprétation subjective de l’artiste ? Orientons nous d’abord vers la première question. Un certain nombre de sentiments vont pouvoir être partagés à travers une œuvre. L’œuvre en question va permettre à l’auteur de s’exprimer de toute les manières possibles, afin de raconter ce qu’il éprouve ou encore rendre sensible un fait de conscience par un signe en en dégageant le sens. Si le monde était serein, s’exprimer à travers l’art pour partager son ressenti avec autrui n’aurait guère d’utilité, car tout

signifie « tout en langue » et qui désigne un être qui n’a de consistance qu’à travers ses discours puisqu’il n’est par ailleurs pas décrit. * La philosophie présentée de façon simpliste, comme étant «  tout est au mieux dans le meilleur des mondes possibles » et « il n’y a point de cause sans effet », est en elle-même une caricature de la philosophie optimiste de Leibnitz et est même dénaturée dans le discours de Pangloss avec de faux liens logiques : les jambes sont dites « instituées pour être