Monochrome

contribué à la mise au point du bleu de phtalocyanine, appelé à ses débuts bleu monestial. En 1960, l'artiste Yves Klein a breveté un bleu particulier, très profond, sous le nom de International Klein Blue (IKB). Entre 1960 et 1961, il a peint quinze monochromes en bleu IKB, dont l'un des plus célèbres, IKB 3, est exposé au centre Georges-Pompidou à Paris.

l’art peut interagir avec le spectateur de manière presque architecturale ; l’impondérable présence de la lumière est matérialisée. Par ailleurs, Sébastien Mehal intègre, de manière récurrente, l’image d’une ampoule électrique au centre de ses monochromes scintillants. Le corps lumineux s’insère sur la surface opaque de la couleur, un objet-symbole tiré du quotidien qui interpelle par sa simplicité formelle et qui rappelle l’influence profonde qu’elle a eu sur la société. Mais l’ampoule représente

tablettes de bois ciré reliées entre elles par une corde tressée. Ces tablettes -en platane- contiennent écritures, hiéroglyphes, alphabets anciens empreintes et fragments de poèmes. De loin cette tour se présente comme une grande sculpture de bois monochrome ; de près elle devient monument à déchiffrer. Gravés, peints ou modelés, les écritures et les signes mystérieux se laissent lentement découvrir. Habitée de murmures aux sonorités étranges et colorées, la Tour d’Ecritures rassemble des temps

formes fragmentées, qui équilibre les volumes, mais qui ne nuit pas à la compréhension de l’oeuvre. Pas de couleur: mais des tons de gris, blanc et noir (seuls quelques esquisses et dessins préparatoires sont en couleurs). Matérialité: fonds monochromes, mats, effets de lumière et ombres, quelques modelés, des repentirs (changement de composition au cours de l’exécution picturale). Lignes de force du tableau : composition en forme de triangle, dont le sommet est la lampe à pétrole. Orientation

l'abstraction, s'apparentant par endroit à une représentation proche de l'art pariétal de la préhistoire.
D'autre part Rothenberg organise toute une composition de l'espace, du rapport de la forme au fond, du brouillage de leurs distinctions. Des fonds monochromes semblent ainsi aspirés la forme qui les surmontes, à moins que ce ne soit le processus inverse qui opère, c'est-à-dire une forme qui attire à elle le fond. Il se dégage comme une forme de subtile spiritualité de l'œuvre de Rothenberg. 7. HodwardHodgkin

suposer que les objets sont posés sur une table. Le contexte est donc discret pour ne pas dire absent. Lumière et couleurs : Les coloris sont contrastés : un premier ensemble,composé des crânes, des ossements, de la table et du fond, est presque monochrome, sombre et brun-noir. De ce premier groupe se détachent nettement des éléments clairs aux couleurs vives (la paille, les fleurs, la coquille et la bulle). Justification de l'appartenance à ce genre : le crâne évoque la mort prochaine, du moins

l'histogramme. Libellez l'axe vertical " Aliments " et l'axe horizontal " Consommation ". Tâche 4 : Dans la feuille de calcul "Données", appliquez le Style 3 et la couleur monochrome 2 au graphique en secteurs 3D (graphique camembert en 3D).Tâche 5 : Dans la feuille de calcul "Données", intervertissez les lignes et les colonnes de l’histogramme.EXAMEN BLANC N°1 – MOS EXCEL 2016 PAGE

vision aérienne, le monument rappelle les méta-mécaniques que Tinguely construisait dans les années 1956-1958. Tinguely rencontre Yves Klein en 1956 et organise avec lui, en 1959 à la galerie Iris Clert, l'exposition "Vitesse pure et stabilité monochrome" où sont présentés de grands disques bleus peints par Klein, montés sur des machines de Tinguely. Cette collaboration annonce la mécanisation de certaines des sculptures de Niki de Saint-Phalle par Tinguely. La rencontre de Tinguely avec Yves

bois peintes en monochrome gris-bleu. On remarque que la scène est organisée sur trois plans : – un premier plan où se trouvent Olga et hugo, qui représente le présent, en 1945 ; – un plan central où sont roulés successivement les accessoires et où se déroulent les scènes de 1943, c’est le passé ; – un troisième plan, le fond, où sont stockés les accessoires que l’on va chercher au fur et à mesure des besoins de la narration, représente l’espace de la mémoire. Le gris monochrome est la couleur de

caractérise par une démarche qui vise à remettre en question les œuvres de ces prédécesseurs. Cette nouvelle attitude créatrice est souvent interprétée comme une provocation délibérée. La déconstruction peut atteindre des degrés extrêmes : Toile monochrome (Yves Klein), emploi de matériaux inhabituels (ordure), nouveaux supports (la rue, les monuments, le corps...). La déconstruction se retrouve aussi en littérature où les codes du roman traditionnel sont bousculés (Marguerite Duras, Nathalie Sarraute