Monologue Animaux

peluche puis la jette en le traitant de sale bête. Il le réclame plus tard puis se ravise comme souvent.(p88.) Il le demande à nouveau (p.99) quand Clov regarde une dernière fois par la fenêtre. Enfin il est entre ses mains au moment du dernier monologue. Avant le sifflet, il jette le chien. C'est alors l'entrée dans le silence et l'immobilité, Hamm ne gardant que le mouchoir. Ce chien permet à Beckett d’attirer l’attention du spectateur sur un point non négligeable : Clov ment parfois à son sujet

suscite aussi la réflexion du lecteur. Nous allons tout d’abord aborder le divertissement dans ces apologues, qui est une des bases de ce type de texte. Le divertissement peut s’expliquer par une rapidité de l’action avec peu de description, aucun monologue ou même de prise de parole d’un personnage trop longue. Nous pouvons noter que dans Le Renard et le Bouc (fable V, livre 3), et dans tout apologue, on trouve un début in medias res avec le verbe conjugué « allait » v.1 qui permet de rentrer directement

mari » => humiliation Cpt, trahison => retentissement social qui va au delà de l’humiliation perso : défaite de l’homme humble (F.) face au gd seigneur (le comte) ð F. blessé, sensible à éveille forte sympathie chez le spectateur II – Un monologue particulier A – Longueur + intérêt dramatique - Exceptionnellement long. - Intérêt des spectateurs suscité : * par la vivacité du récit : · emploi des temps (essentiel passage rétrospectif raconté au présent). Effet : actualiser événements

tragédie. La fatalité de la pièce expose sa tournure tragique. Les personnages ne peuvent modifier le destin. Par exemple, lorsque Bérenger tente de convaincre Daisy de ne pas se transformer, il échoue. Le manque de contrôle est aussi évident dans le monologue final : «Je n’arrive pas à barrir. Je hurle seulement. Ahh, ahh, brr![…] Hélas, jamais je ne deviendrai rhinocéros, jamais, jamais!» Même quand c’est sa volonté, Bérenger se trouve dans l’incapacité d’imiter les autres. De même, il y a une perte

plus en plus brèves. - Perte du langage, remplacé par des barrissements : L.13 « Brrr... », 14, 18, 19, 39, 64-65 « prononce des paroles furieuses et incompréhensibles, fait entendre des sons inouïs ». → Il utilise au fur et à mesure un langage animal. 3 ) Les signes visuels de la transformation - Transformation physique : * Métamorphose de la tête l.60-61 « Jean est devenu tout à fait vert . La bosse sur son front est presque devenue une corne de rhinocéros » + Mot à double sens l.63 «

mondiale. Ionesco utilise, dans son œuvre, l'absurde et le comique, pour accentuer son propos. Analyse de rhinocéros : - Acte II, tableau 2, pp. 158-163 (Jean/Bérenger) - Acte II, pp. 183-187+194-195 (Béranger/Dudard) - Acte III, pp. 243-246 ( le monologue final de Bérenger) 1) La métamorphose de Jean Nous sommes ici au second acte de la pièce. Jusqu'alors l'action opposait Jean, sûr de lui, solide dans ses convictions stéréotypées à Bérenger, égaré, mal à l'aise. Or, peu à peu, nous assisterons

me soucie de l’impôt ; pourvu qu’on le paye, que m’importe ? » III.6 « Il faut que j’aille à la chasse » III.7 Ne se soucie pas des besoins du peuple. Préfère d’autres occup. Politiques. 2 sens : animaux et aux femmes « C’est d’un autre qu’il se défiera, en m’obéissant à son insu. » II.3 (monologue Cardinal Cibo) « Ce que vous demandez vous sera accordé » (L) Il est manipulé Tout le monde veut le diriger : Marquise et Cardinal Cibo. L dirige A en lui faisant nommé 2 personnages. Donne

nous montre l’inégalité des deux camps qui s’affrontent, et comment les tribus des hommes bleus se font massacrés « quelques minutes suffisent pour tuer mille hommes, mille chevaux ? », « on a entendu tous les cris des vivants, les hommes et les animaux blessés, les femmes, les enfants, comme un seul gémissement interminable, comme une chanson. », « Il savait que la bataille était perdue d’avance ». 2) Dans le premier texte, le point de vue du narrateur est externe, car il ne fait pas partie de l’histoire

On sait à quoi renvoient ces animaux, nous sommes donc curieux de savoir ce qui va se passer. De plus nous croyons le chien capable de convaincre le Loup mais comme un récit logique il y a un élément perturbateur vers 4 « Chemin faisant il vit le col du Chien pelé.» Ce coup de théâtre relance l’intérêt du lecteur. Il n’y a donc aucuns temps morts et la fin de la fable éclate ce à quoi le lecteur ne s’attendait pas forcément. - Les deux personnages sont des animaux, champs lexical de l’animalité

que chez animaux il y a communication. Langage humain : signe utilisés ont origine instituée = conventionnelle, culturelle, arbitraire, artificielle / pas naturelle. Homme peut parler au-delà de ce qui est utile, pas indispensable a la survie. Animaux : signes utilisés naturels, intuitifs, universels. Communication animale = exprimer