Monologue Et Solitude

le plus connu est sans doute le récit de la bataille contre les Maures dans Le Cid. Une mise en scène de cette bataille serait peu crédible et c’est le récit de Rodrigue qui donne tout son relief à l’événement. De même, dans Lorenzaccio, le monologue de Lorenzo dans la scène 9 de l’acte IV est une évocation prospective de la scène de meurtre. Deux scènes plus loin, l’assassinat est représenté, confirmant ce qui a été annoncé. A la toute fin d’Electre de Giraudoux, la tirade du mendiant raconte

nom est Néoptolème). Oreste était le fiancé d'Hermione depuis l'enfance. Hermione demande à Oreste d'exécuter Pyrrhus pour ne pas le voir épouser Andromaque. Situation de la scène  : dernier acte. Solitude d'Hermione pendant que se célèbre le mariage Pyrrhus et Andromaque. Fil conducteur : monologue classique : exaltation des sentiments ; mais construction très rigoureuse. I). L'exaltation des sentiments. 1. Contradictions intérieures : vers 4 ou 14. Des contradictions qui portent sur le présent

genre nouveau qui dramatise ses intentions. Nous nous demanderons comment ce prologue répond aux exigences de l’exposition tout en exposant, en exhibant, les intentions du dramaturge. Nous nous intéresserons donc initialement à la façon dont ce monologue original constitue une scène d’exposition puis nous analyserons sa dimension métapoétique.  I – Un prologue qui fait fonction d’exposition  A – Un prologue original : Ce prologue semble s’ouvrir sur des coulisses et non sur le plateau : EFFET

plutôt mourir. » (I, ch. 5). Il s’agit de ses pensées, il ne les dit pas à voix haute. Julien mène avec lui-même de longs monologues intérieurs ce qui montre aussi son tempérament plutôt introverti. Mais dans ces monologues, il réfléchit souvent des actes courageux, d’avance comptés à son avantage. Et il doit produire une certaine énergie pour les accomplir. Le monologue le plus long est celui qui est suscité par un message et puis une lettre de Mathilde. Au début, il se décide avec réflexion à

Hugo, était un acte informatif, sociopolitique. L’acte II agit comme une parenthèse amoureuse à l’intrigue. Cette scène est une scène lyrique/romanesque dans laquelle on retrouve le motif de la lettre, le motif de l’inconnu, avec de plus longs monologues. Lecture du texte RUY BLAS - Acte II - Scène II - LA REINE seule La Reine, seule. À ses dévotions ? Dis donc à sa pensée ! Où la fuir maintenant ? Seule ! Ils m'ont tous laissée. Pauvre esprit sans flambeau dans un chemin obscur

Cette peinture noire conforme à la tradition et à l’héritage qu’il invoque, opposés à l’optimisme et à l’espoir. Tout est couvert de pourriture et de soufre qui accentuent le désespoir, la solitude et l’étouffement. Comme si les bons sentiments n’existaient pas. « Certainement, dit Mauriac . Ils existent... Mais pas à l’état pur . » Rien n’est seulement noir ni blanc. Ni les âmes. Il existe toujours un certain passage

SIECLEL’absurde | XX SIECLELe Nouveau Roman | | Mvt littéraire et artistique né au lendemain de la 1° guerre mondiale, dans le prolongement d’Apollinaire et de Dada | Les écrivains de l’Absurde représentent une image tragique de l’homme, voué à la solitude et confronté à un univers dépourvu de sens. | | Contexte historique | 1° guerre mondiale qui crée un boulversement des mœurs.Mvt de contestation contre la société de l’époque (bourgeoise notamment) les surréalistes sont attirés par la révolution

tout détruire sur son passage ne serait-ce qu'un rival amoureux. Je souhaite donc faire jouer les personnages dans un Colisée dont le centre sera la scène où se déchaînera les combats amoureux ainsi que les effets de la passion, comme la folie, la solitude... Les combats amoureux seront apparentés à des combats de gladiateurs où seul le dernier survivra, ici Oreste. Le costume des acteurs devront être de couleurs agressives afin de surprendre les spectateurs mais aussi pour montrer la «puissance»

Séance 2 : Analyser un monologue intérieur Comment l’auteur suscite-t-il la réfléxion du lecteur ? 1ère axe : une situation tragique irréversible _1er argument, le personnage n’a qu’une seule perspective, la mort d’un point de vue horrible. Exemple, le procédé, justification : le réseau lexciacal, propre à la mort, une mort horrible : «  horrible, sanglante, glacée, condamné à mort… ». Solitude ; Glauque, morbide…. Tendue, sinistre, lugubre, angoissant, sournois ; des allitérations en

encore plus efficacement dans des tournures propres au genre théâtral, telles que le monologue. Il leur permet de s’exprimer à voix haute, de découvrir au public leurs pensées les plus profondes et leur véritable personnalité. Ainsi Don Diègue, dans le Cid de Corneille s’exclame : « Ô rage ! Ô désespoir ! Ô vieillesse ennemie ! », enrageant de sa vieillesse qui l’empêche de répondre à un affront. Son monologue, de forme plaintive, permet au spectateur de comprendre la portée tragique que représente