Monologue Et Tirade Comparaison

présent de narration, de vérité générale, imparfait de durée ou de répétition passé simple d’action soudaine qui ne se répète pas; choix du style direct, indirect, indirect libre… Hypotaxe ou parataxe… 3e lecture : étude des images Étude des comparaisons explicites, des métaphores, métonymies et synecdoques, hyperboles, litotes… Quels sont les effets qu’a voulu produire l’auteur en employant telle ou telle figure de rhétorique ? 4e lecture : étude des sons et des rythmes (surtout dans les poèmes

Champ lexical Connotation Niveau de langue Polysémie Vocabulaire abstrait / concret Vocabulaire neutre Figure de style Parallélisme Anaphore Enumération Hyperbole Euphémisme Litote Antithèse / oxymore Chiasme Antiphrase Comparaison / métaphore Personnification Métonymie / synecdoque Périphrase Suspension Romanesque Focalisation interne Focalisation externe Discours direct Discours indirect Discours indirect libre Discours narrativisé Sommaire Ralenti

une bonne connaissance des règles des différents types de textes I.LES TYPES DE SUJETS Le libellé du sujet est très important et doit faire l’objet d’analyses successives. 1. La relation à un objet d’étude Observons : Ecrivez un monologue.... Vous écrirez un apologue.... Ecrivez un pamphlet.... Imaginez le réquisitoire... Vous écrirez un éditorial... Rédigez la lettre... Remarque On peut déterminer le ou les objet(s) d’étude concerné(s) : Théâtre : texte et

vérité générale, imparfait de durée ou de répétition passé simple d’action soudaine qui ne se répète pas ; choix du style direct, indirect, indirect libre… Hypotaxe ou parataxe… o 3e lecture : étude des images + Étude des comparaisons explicites, des métaphores, métonymies et synecdoques, hyperboles, litotes… Quels sont les effets qu’a voulu produire l’auteur en employant telle ou telle figure de rhétorique ? o 4e lecture : étude des sons et des rythmes (surtout dans

dans ses bonnes manières : en témoigne la puissance poétique de la première phrase de Salammbô. 3 – Rédiger la réponse p. 472 (ES/S) p. 592 (L/ES/S) Les comparaisons donnent une deuxième personnalité aux deux personnages : le Pharaon et Madame Thénardier. En cela, ils sont des monstres, êtres composites. Le Pharaon est, par le biais de comparaisons qui renvoient à des objets ou des matières, déshumanisé : – casque allongé en mitre ; – la conque de l’oreille ; – un semis de points semblables à des prunelles

dans ses bonnes manières : en témoigne la puissance poétique de la première phrase de Salammbô. 3 – Rédiger la réponse p. 472 (ES/S) p. 592 (L/ES/S) Les comparaisons donnent une deuxième personnalité aux deux personnages : le Pharaon et Madame Thénardier. En cela, ils sont des monstres, êtres composites. Le Pharaon est, par le biais de comparaisons qui renvoient à des objets ou des matières, déshumanisé : – casque allongé en mitre ; – la conque de l’oreille ; – un semis de points semblables à des prunelles

tragique abordée remplace le comique. Premièrement, le langage employé est caractéristique de la tragédie. L’amant de Marianne s’exprime de façon soutenue tout au long de l’action. Ses propos ont même tendance à devenir poétiques comme en témoigne sa tirade de la scène une de l’acte un (l.121-134). Ensuite, on peut remarquer l’utilisation de plusieurs figures d’opposition, style récurrent de la tragédie. Le chiasme « Coelio – Que tu es heureux d’être fou ! Octave – Que tu es fou de ne pas être heureux

explications scéniques et temporelles appelées didascalies. Précisions : Il existe plusieurs sous-catégories de ce genre : la comédie, la tragédie et le drame. Une même pièce regroupe souvent plusieurs types de paroles : la dialogue, le monologue, l'aparté ou la tirade Le genre poétique Définition Le genre poétique s'identifie facilement parce qu'il est généralement écrit en vers (même s'il existe des poèmes en prose). Les figures de style y abondent et on y trouve presque toujours des rimes.

: il renvoie à un usage inscrit dans dans les origines du théâtre occidental, « pro logos » signifiant « discours avant » et désignant à l’origine la première partie de la tragédie, avant la première apparition du choeur. Le Prologue est ici un monologue de Louis, le personnage principal, qui explique les raisons de son retour parmi les siens. Ce prologue, qui s’inspire du théâtre antique, fait de Louis le messager de sa mort prochaine. Le texte se présente sous une forme poétique constituée d’une

surprendre » (v. 896). On peut imaginer le changement de visage d’Arnolphe, qui devra attendre le vers 915 pour savoir quel est cet « incident ». On peut ensuite imaginer ses réactions de dépit et de colère par la série de questions à la fin de la tirade d’Horace, avec la reprise du même verbe (« n’êtes-vous pas surpris? ») et l’interjection « Euh! » (v. 923) qui marque sa surprise devant le silence d’Arnolphe, obligé de se contraindre. Horace renforce ce sentiments par ses impératifs insistants,