Monologue Lucky

rapprochement avec le texte de BECKETT qui lui met en évidence deux personnage Lucky et Pozzo. Pozzo semble avoir une autorité sur Lucky,<<Arrête ! (Lucky se tait)Arrière (Lucky recule.) Là ! (Lucky s'arrête.) Hue!(Lucky se tourne vers le public.)Pense !>>ce passage nous montre que l'absurde est aussi jouable par les jeux de scènes pathétique qui font passés de nos jours les personnages pour des bouffons. Puis on a un monologue marqué par le manque de ponctuation énoncé de façons monotone. On

commence à faire de longs monologues (elle se parle à elle-même ; phrases coupées, pas finies), tout en essayant de réveiller Willie, sans réussite. Elle fait donc sa toilette matinale (jeu avec les objets), puis tente à nouveau de réveiller son mari. Elle sort ensuite de son sac un revolver et un flacon. Elle avale le contenu du flacon pur se « donner de l’appétit » et range le revolver. Willie se réveille et commence à lire le journal. Winnie se lance dans un autre monologue dont le thème est la difficulté

janvier 1953 au Théâtre de Babylone, avec une mise en scène de Roger Blin qui jouait lui-même le rôle de Pozzo. Il était accompagné de Pierre Latour, Lucien Raimbourg, Jean Martin et Serge Lecointe. Roger Blin a choisi Pierre Louki pour le rôle de Lucky. Dans cet oeuvre j´ai cherché la dramaturgie eclaté du théâtre absurde. 1.) Le vide de décor Dans un premiére acte on peut trouvé le decore vide. C´est seulement route à la campagne avec un arbre et une pierre. Dans un deuxiéme acte on trouve

poubelles s'apparentent à des litières puisqu'au fond il y a du sable qui se change. Dans En Attendant Godot, Vladimir est incontinent et Estragon souffre de son pied, il a donc une démarche de Charlot. Lucky est muet, il ne parle qu'une seule fois dans la pièce, pour faire un long monologue. Tous les personnages sont atteints d'une infirmité et subissent une dégradation constante. Beckett fait part dans ces deux pièces de sa vision de la vie, de la réalité qu'il nous montre grâce à la souffrance

de sens. L’arrivée de Pozzo et Lucky vient briser la routine qui hante Vladimir et Estragon. A la tombée de la nuit, un garçon vient de la part de monsieur Godot afin de reporter le rendez-vous au lendemain. Acte II Le deuxième acte reprend les mêmes situations et conversations du premier acte en évoluant progressivement de manière subtile. Il y a des changements qui apparaissent au niveau des héros et du décor. Pozzo arrive, mais il est devenu aveugle et Lucky a perdu la parole. Quant à nos deux

l'arrivée de Pozzo qui traîne derrière lui Lucky, son esclave qu'il tient au bout d'une corde. Lucky est chargé d'un panier, d'un pliant et du manteau de son maître. Il obéit au moindre de ses ordres et ne fait rien sans que Pozzo ne le lui ordonne. Pozzo s'installe sur le pliant et mange sous le regard affamé des deux vagabonds ne laissant que les os habituellement destinés à son esclave, pourtant Estragon les réclame et doit pour cela les demander à Lucky qui répond par un coup de pied. Estragon

certain Godot dans un no man’s land (la didascalie indique « Route de campagne avec arbre »). L’absence de celui-ci éveille chez eux doutes et questionnements. Deux autres personnages font leur apparition : Pozzo, autoritaire, et son esclave Lucky. A la suite du monologue absurde de ce dernier, Vladimir et Estragon se retrouvent à nouveau seuls. Le premier acte se clot sur l’arrivée d’un enfant qui les informe que Godot ne viendra que le lendemain. Le second acte reproduit à quelques détails près le premier

» Present de vertie generale : « nous naissons tous fous » - Estragon, reflexion sur la folie Long monologue de Vladimir : revisite l’expression délibérative « en pensant le pour, le contre » = peser le pour et le contre – reflete l’absence d’action, l’attente. Conclu avec « tu suis mon raisonnement » - insiste sur l’inneficacité du monologue Reflet de Hamlet dans la scene : Monologue hamletien de Vladimir, « pourrir » : « il y a quelque chose de pourrit dans la royaume de Danemark » -

différentes soient-elles sont également intéressantes. A) Le conflit avec soi-même Le personnage peut entrer en conflit contre lui-même, dans un monologue. Cette forme de conflit présente un double intérêt pour le spectateur. D’une part, elle fait progresser l’intrique, d’autre part, elle dévoile complètement le personnage. En effet, les monologues conflictuels sont le plus souvent délibératifs. Ainsi, au terme du conflit, le personnage prend une décision qui va influencer la suite des événements

manger et dormir, l'autre à faire des plans sur la comète. Vladimir et Estragon sont drôles et pitoyables comme le sont Laurel et Hardy. Quant à Pozzo et Lucky, tout aussi inséparables, ils jouent la comédie du pouvoir de façon totalement infantile. Pozzo ? C'est un acteur, un dompteur qui sait manier le fouet, le verbe haut et coloré. Lucky est plus mystérieux. Il parle dans son monde. Les personnages de Beckett sont de grands enfants, des adultes immatures. Dans cette histoire, ce n'est pas Godot