Monologues Tragiques

aveu amoureux révèle-t-il la douleur de l’héroïne tragique ? Tout d’abord, nous étudierons la scène d’exposition traditionnelle, puis le destin du personnage noirci de Phèdre et enfin l’annonce l’intrigue. Dans cette scène d’exposition on déduit que c’est une tragédie car cela concerne des personnages de l’aristocratie avec un destin malheureux. « Hippolyte » (L 263) et « vous mourûtes aux bords » (L 154) confirmes que cette extrait est tragique car il concerne Hippolyte qui est le fils d’un

« Tragos oïde » —> le chant des boucs. Ce mot vient d’une origine religieuse. La tragédie est le genre du théâtre et le tragique est un registre. I) LA CONDITION DU PERSONNAGE DE TRAGÉDIE Les héros de tragédie sont le plus souvent empruntés à la mythologie où à l’Antiquité . Ils sont d’une classe sociale élevée. Leur comportement doit être digne de la place qu’ils occupent dans la société. Ils doivent être des modèles pour le commun des mortels. 1) le héros cornélien et racinien Corneille

3 octobre 1987 en Suisse. C’est en 1921 qu’il se prend de passion pour le théâtre. Son œuvre théâtrale commencée en 1932 est particulièrement abondante et variée : elle est constituée de nombreuses comédies  et d'œuvres à la  tonalité dramatique ou tragique comme sa pièce la plus célèbre, Antigone, réécriture moderne de la pièce de Sophocle,  en même temps qu'il travaillait à des scénarios pour le cinéma ou à la télévision. Ses œuvres principales sont : Le Voyageur sans bagage (1937), Antigone (1944)

lecteur (antiphrase, hyperbole, oxymore, rhétorique…). - La satire est une attaque railleuse, plus ou moins indignée, qui critique les défauts, les abus ou les crimes d’un homme ou d’une époque (implicite, sarcasmes, antithèse…). II. Le registre tragique Il suscite une impression de terreur et d’admiration devant le malheur et la fatalité qui frappent le héros affrontant son destin (destin inéluctable qui voue à la souffrance et à la mort). Procédés : champs lexical de la mort et de la fatalité

petites réplique qui ne sont pas entendus par les autres personnages de la scène mais uniquement par les spectateurs pour ajouter une pointe d’humour (très utilisé en comédie), ou encore le monologue qui est une convention théâtrale, en effet il est assez rare de s’arrêter et de réfléchir à haute voix ! Le monologue est une longue réplique où l’acteur se parle à lui-même, ou au public (comme dans « Electre » de Jean Giraudoux, dans le lamento du jardinier). Dans ces répliques l’action, à l’instar du

“d'aucun étonnement (…)ne paraît touché”, Narcisse qui “veut en vain affecter quelque ennui (= douleur, tristesse)” mais” sa perfide joie éclate malgré lui”. II. Portrait d'un monstre 1. Effets de suspens qui précèdent au meurtre. - Avant le monologue, court échange entre Agrippine et Burrhus: Exclamations et hyperboles: “Quel attentat!”/ “Je n'y pourrai survivre”. Agrippine = mère qui condamne son propre fils. - Dissimulation et trahison de Néron: - Commentaire initial de Burrhus: “Ce dessein

Au théâtre, tirades ou monologues laissent s’exprimer longuement un seul personnage. Pensez-vous que les dramaturges aient intérêt à les éviter, au profit des dialogues, comportant des répliques plus brèves ? Au théâtre, tirades et monologues représentent un moment où un personnage s’exprime longuement sur scène, sans interruption. Cependant, il convient de les distinguer. La tirade s’adresse à d’autres personnages présents aux côtés du locuteur. Lors d’un monologue, le locuteur est seul sur

galopants, barrissant. La dernière métamorphose vient d’avoir lieue : celle de Daisy, la jeune femme qu’aimait Bérenger. C’est donc un monologue qui termine la pièce. I - Difficulté d’être seul contre la totalité des autres II - La tentative d’abdiquer III - La révolte[pic] Dans ce monologue final de Rhinocéros d'Ionesco, Bérenger s'interroge. Ce monologue occupe donc la place dévolue au dénouement et prend l'expression de la parole solitaire, la prise de parole du « dernier homme » en quête

Commentaire composé : Acte IV, scène 4 (Monologue de Titus) Bérénice (Racine) Commentaire composé : Acte IV, scène 4 (Monologue de Titus) Bérénice (Racine) Commentaire composé : Acte IV, scène 4 (Monologue de Titus) Bérénice (Racine) Commentaire composé : Acte IV, scène 4 (Monologue de Titus) Description du commentaire composé Commentaire composé sur l'acte IV, scènes 4 de Bérénice de Racine : Le monologue de Titus. Cette analyse sur Le monologue de Titus, extrait de l'acte IV, scène 4

Le monologue Une contradiction : À première vue, le monologue semble une forme anti-théâtrale, puisqu’il est un non-dialogue. Anti-théâtral aussi, parce qu’il semble briser « l’illusion théâtrale » en affichant sa nature « littéraire ». Il ne s’adresse, en plus, qu’au spectateur. Cela posait un problème de vraisemblance aux classiques, qui ne le toléraient qu’en cas de débordement passionnel. Or, on peut contester ces idées d’artificialité et d’absence de dialogue (cf. A. Ubersfeld). 1/ Le monologue