Monopole de la violence

c'est le monopole de la violence légitime". Retenir cela, c'est déjà posséder l'essentiel en la matière... Il s'agit désormais de comprendre ce que cela implique concrètement. La violence légitime, c'est la violence qui est reconnue par tous comme légitime, c'est à dire nécessaire au bon fonctionnement de la communauté. S'il n'y avait pas de violence dite "légitime", n'importe qui pourrait se faire justice soi-même et la loi du plus fort, ou encore du "chacun pour soi" règnerait. Par "violence", il

Exposé : les guerres privées. Introduction Afin de maintenir une justice publique l’Etat était le seul à pouvoir user de la violence de manière légale afin d’interdire et d’empêcher toute vengeance privée. De même il était le seul à pouvoir former une armée pour défendre le territoire ou aller aider d’autres pays et ceux de manière officielle et visible par la population. Cependant la Seconde Guerre Mondiale a mis fin à ce genre de conflict et c’est un nouveau genre qui se présente, celle des

théorie de la domination Au départ, on a un Etat de domination, c’est-à-dire que des catégories d’individus ou des groupes sociaux dominent les autres par la force et la violence La naissance de l’Etat apparaît comme un processus évolutif d’institutionnalisation des rapports sociaux de domination faisant disparaître la violence. On a l’ordre et la paix en contrepartie du maintien de la prédation. Critique de la théorie de la domination : On a une vision négative de l’Etat au service de certaines

Violence Urbaine : Quels sont les moyens mis en œuvre pour résorber et réprimer la violence urbaine et sont ils efficaces ? La violence urbaine, phénomène de société faisant depuis quelques années la une de l'actualité, est devenue une des préoccupations majeures du monde politique. Confronté à l'aggravation du sentiment d'insécurité, à la violence perpétrée par des individus de plus en plus jeunes, et à l'extension du phénomène, l'état, devant assurer son devoir de protection

jusqu’en 1899. En 1906 une nouvelle loi ségrégationniste est votée au Transvall, Gandhi prône alors une résistance non-violente, il est emprisonné six mois. En 1909 il publie Hind Swaraj, livre dans lequel il développe les théories du combat par la non-violence : la satyagraha. Il continuera son combat jusqu’en 1914, ce qui lui vaudra de nombreux emprisonnements, mais il parvient à faire signer un accord sur la suppression de nombreuses lois raciales. Il rentre en Inde où il établit un ashram, son nom est

découle des rapports de production. L’État apparaît en se différenciant de la société civile et son rôle, dans le système capitaliste, est de permettre le maintien des rapports d’exploitation. L’État est avant tout considéré comme un appareil de violence et d’oppression, qu’il convient de faire disparaître après une période de transition (la dictature du prolétariat). Le sociologue allemand Max Weber (1864-1920) refuse cette vision déterministe de l’État : pour lui, l’économie et la politique sont

par une frontière, désigne l’espace soumis à la souveraineté de l’État. L’autorité étatique exerce le pouvoir sur le territoire et la population. Elle dispose de monopoles, comme celui de la production des lois, le monopole judiciaire, le monopole fiscal...et selon Max Weber, le monopole étatique le plus important, est celui de la violence physique légitime (seul l’État peut arrêter et emprisonner des individus). La population est la somme des individus soumis à la souveraineté étatique donc tous

c’est le pouvoir d’organiser la société. C’est un pouvoir de commandement. Pour Max Weber, sociologue et économiste, c’est le monopole de la violence légitime. Seul l’Etat peut sanctionner une infraction au règle de droit, monopole. La violence légitime signifie que c’est une violence nécessaire et reconnue par tous. On accepte son pouvoir de commandement. C’est une violence symbolique. La constitution est là pour formaliser les règles applicables au droit public. Beaucoup de règles de droit public

régulent les droits et devoirs du peuple. L'état a donc le monopole de la violence pour punir les personnes qui désobéissent au lois de la société. L’Etat dispose d’un territoire sur lequel ses compétences sont exercées. Ses compétences politiques et juridiques s’exercent donc sur un espace géographique limité. Il existe donc une limite au territoire national, qui fixe l’espace dans lequel les institutions sont compétentes. L'État a ainsi un monopole sur les lois au sein de cet espace qui comprend les

privilèges et non ceux du prolétariat. L 23,L24, « la lutte pour l’émancipation de classe ouvrière n’est pas une lutte pour des privilèges et des monopoles de classes ». Il leur reproche d’accaparer la lutte des travailleurs à leur profit, et d’en détourner les finalités, le sens ; L 24, 25« (…) n’est pas une lutte pour des privilèges ou des monopoles de classe, mais pour l’établissement de droits égaux (…) ». Il rappelle en outre le but premier d’un mouvement qui défendrait la cause des prolétaires