Monopole de la violence

frustration. Marx : violence du prolétariat due à la dégradation de sa condition sociale et Tocqueville soutient le contraire. Pour Davies, ces 2 explications contiennent une part de vérité. Gurr définit 3 types de frustration : la première caractérise les situations de crise, la seconde les périodes de croissance et d’expansion économique et la troisième est une variante de la seconde. Trois types de violences : émeutes et soulèvements populaires, actions ponctuelles minoritaires et la violence organisée

distingue le pouvoir politique sur toute autre forme de pouvoir c'est qu'il revendique avec succès pour son propre compte le monopole de la violence légitime. En effet si on prend les différentes sociétés le propre du pouvoir politique est qu'il est le seul à user de la violence de manière légitime. Ce qui fait le pouvoir politique de l'État n'est pas l'usage de la violence car la plupart du temps il n'en fait pas usage. Weber affine son raisonnement en disant que le pouvoir politique est un rapport

(ceux qui prient, ceux qui travaillent, ceux qui combattent) Elle impose un modèle chrétien du mariage (unique, indissoluble et exogamique) Elle canalise la violence des chevaliers (trêve de Dieu, condamne la violence contre les faibles, dans les lieux sacrés) Elle porte secours aux malades et aux pauvres (Hopitaux) Elle assure le monopole de l'enseignement (écoles cathédrales ou monastiques, Universités à partir du 12èS Les manifestations de la foi s'expriment à travers les monuments et les

juridique déterminé. L’Etat contrôle les institutions : réseau de communication, éducation, services statistiques pour mieux organiser son action dans le temps. L’Etat détermine la culture légitimes (ex. : capitale, comportement, langue…). L’Etat a le monopôle militaire, fiscal et symbolique. Ce qui définit l’Etat, c’est la fonction de « penser à la place des autres »  « quand l’Etat pense et se décide, c’est pour la société ». Il décide aussi ce qu’est un « groupe » dans la société.  On laisse les

l’article 431-1 « le fait d’entraver d’une manière concertée et à l’aide de menace l’exercice de la liberté d’expression est puni d’un an d’emprisonnement et de 15000 euros d’amende. Le fait d’entraver d’une manière concertée et à l’aide de coups, violence, voie de faits, destruction ou dégradation l’exercice de la liberté d’expression est puni de 3 ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende. » Une loi de 1943consacre le droit de réponse et puni les diffamations et injures dirigées contre la

est considéré comme le deuxième événement majeur dans la lutte pour l'indépendance, après la révolte des cipayes*, de 1857, également appelée 1ere guerre pour l'indépendance.  Gandhi prône alors un mouvement contre les anglais au travers de la non-violence – ahinsa -. Le mouvement appelle au boycott des produits britanniques. Plusieurs facteurs amènent à la création de ce mouvement: l'oppression grandissante des britanniques envers les indiens avec comme exemple majeur le massacre d'Amritsar, une économie

lâcheté parce qu’elle amène à la violence, et souvent lorsqu’on essaye de régler les problèmes par la violence cela n’apporte que de la haine, c’est ainsi que l’homme essaye de se développer pour éviter tout risque de conflit mais peut-on dir vraiement qu’on puisse échapper aux guerres ? Pourquoi au final dit que les guerres peuvent paraître comme fatlité ?I les guerres inscitres dans une nécesité humaines et politiquesII dans certains cas la guerre dans la violence n’est pas la première des solutions

fonctionnant au sein du macro tribal). La chefferie dispose du monopole de la violence (interne et externe). Il n'y a pas de monopole de la violence dans des sociétés tribales égalitaires, la violence est partagée entre tous et par tous les différents individus ou groupes la composant. Dans l'organisation tribale, on ne trouve donc pas de rôle précis, il n'y a pas de castes dans les sociétés dites primitives, ce qui explique le partage de la violence. La principale différence entre une chefferie héréditaire

jeune fille subissant un harcèlement moral quotidien, des insultes et des attaques physiques. A 13 ans, Samira a été violée et battue à plusieurs reprises dans une cité de banlieue. C’est une révélation que fait l’auteur pour exprimer dans quelle violence les filles dans les cités peuvent vivre. C’est une autobiographie et un témoignage de haine que nous dévoile l’auteur. Elle raconte sa vie, dans toute sa souffrance, dans toutes ses douleurs, qu'elle expulse aux yeux du monde, à ceux qui n'ont rien

dialogue entre Syme et Winston, le personnage principal de l’œuvre. Syme est le représentant du régime qu’il défend et domine cedialogue. Problématique + annonce du plan. I- Syme : un personnage complexe et inquiétant 1-Un personnage exalté • monopole de la parole par Syme • exclamations, vocabulaireappréciatif → enthousiasme • excessif dans ses attitudes et dans ses paroles ce qui montre son fanatisme. 2- Un reflet de Big Brother • sentiment de supériorité de Syme, conscient d’être unprivilégié