Monopole de la violence

Document 2 Gandhi ou le nationalisme non-violent « Je sais que la non-violence est infiniment supérieure à la violence, que le pardon est plus viril que le châtiment. […] Cent mille Anglais ne peuvent effrayer trois cents millions d’êtres humains. […] Et, d’ailleurs, la force n’est pas dans les moyens physiques, elle réside dans une volonté indomptable. […] Non-violence n’est pas soumission bénévole au malfaisant. Non-violence oppose toute la force de l’âme à la volonté du tyran. Un seul homme peut

Alice au pays des merveilles, avec le même film qu'on nous repasse éternellement : même analyse, mêmes recommandations, même inaction »[1]. Cette intervention déjà datée met en relief trois grandes caractéristiques de ce que l'on appelle les « violences urbaines » : Leur ancienneté relative, en tout cas aux États-Unis d'Amérique. Leur irruption sporadique à des périodes et dans des villes différentes. L'incapacité apparente des pouvoirs publics à les comprendre, puis éventuellement à les combattre

fonctionnement des institutions, ils ne sont pas invariants, ils agissent positivement. L’Etat c’est aussi la naturalisation progressive de la domination exercée par un groupe social ou des groupes sociaux. Caractérisé par un pouvoir qui détient le monopole de la violence et de la contrainte légitime. L’Etat c’est aussi, selon Emile Durkheim, « un groupe spécial de fonctionnaires intégré dans une autorité supérieure régulièrement constituée. » (Leçons de sociologie). Le mot « régulièrement » renvoi au mot « règle »

politique d’où monopole étatique de la force et édiction de règles de droit. État entité fictive qui doit régler le comportement des individus c’est pourquoi à travers ses institutions comme le Parlement qui est la représentation de la population il doit créer des règles de droit qui donnent des droits, des devoirs et des sanctions si on transgresse les lois. Travail législatif continue avec toujours de nouveaux besoins ou des modifications nécessaires. monopole de la violence légitime, appel

national est la Marseillaise. La devise de la République est Liberté, Égalité, Fraternité. » La notion de Nation revêt une importance => Révolution Française et volonté d’unité - Pour garantir la sûreté => force de contrainte et « monopole de la violence legitime » ( Thomas HOBBES ) - ROUSSEAU ==> contrat social qui permet de changer la fausse liberté naturelle des citoyens vers une liberté conventionnelle => l’État trouve donc son fondement dans la volonté des individus d’être

la concertation satisfait les deux parties  Qu’aucune procédure juridique ne serras lancé pendant cettepériode de conciliation n’est pas signée Les syndicats devront : • Respecter les procédures de préavis de grève • Ne recourront pas a la violence • Garderons en état les instruments de travail• N’appellerons personne d’extérieur pour faire le piquer de grève Aujourd’hui le droit de grèves est un droit constitutionnel. Les grèves permettent de signaler des revendications professionnelles

la presse Qu'est ce qu'une contrainte ? Une contrainte est une règle obligatoire qui réduit la liberté d'action , de façon générale c'est une restriction de quelque ordre. La contrainte est souvent utilisée, dans le droit , comme notion de violence : physique ou morale. Elle est aussi souvent utilisée dans la presse. C'est à dire que dans les médias notamment les journaux en particulier ont des règles à respecter: comme ne peut aller trop loin dans les propos évoqués sur des personnes d'une

sociale : M. Aglietta et A. Orlean, La Violence de la Monnaie : toute société serait violente, entre autres dans les rapports marchands, violence que la société essayerait de canaliser ( la monnaie cristallise cette violence acquisitive et de pacifier ainsi les échanges marchands. En même temps, il y a ambivalence : la monnaie serait un support permanent d’une violence potentielle dans la société ( les crises seraient des phases d’expression de cette violence La monnaie est un instrument

mouvements, forment la base même du vivre ensemble, et nous poussent à débattre de notre devenir commun. Le sens de la politique, consiste en ce que les hommes libres, ces hommes qui, par leur agir, font que les choses sont autrement, par-delà la violence, la domination, la contrainte, ont entre eux des relations d’égaux, tout en centrant leur agir commun sur l’expression de la liberté. Différence absolue et égalité relative donc : sans une pluralité d’hommes qui sont mes pairs, il n’y aurait pas

Carol-Ann SAUX Emilie La violence et la délinquance juvénile SOMMAIRE Introduction Définitions. Qu’est-ce que la violence ? Qu’est-ce que la délinquance ? La violence et la délinquance juvénile. * a) Définition * b) Quelles sont les causes ? Quelles sont les évolutions ? La violence et la délinquance juvénile chez les filles. * a) Quels sont les chiffres ? * b) Quelles sont les causes ? Les moyens mis en place pour lutter contre la violence et la délinquance juvénile