Monstre Ignorance

Un jour, pourtant, le hasard l'amène à se risquer dehors sans ses cothurnes. Chaussé de mocassins à semelle fine, il s’aperçoit avec stupeur qu'on ne rit plus de lui. On l'observe avec une crainte respectueuse. L'homme petit est devenu un nain, monstre sacré. Ce jour-là, il séduit une femme pour la première fois, une femme qui ne se serait certes pas commise avec un homme ridiculement petit, mais l'expérience d'un nain la tente et finalement la retient. En renonçant aux quelques centimètres que

confrontation, le rapport entre le singulier et le pluriel cela renforce la solitude et l’attirance de Bérenger vers le groupe le plus dominant ce qui va inverser la norme « Je suis un monstre, je suis un monstre » (il se considère comme un monstre en faisant cette anaphore mais à la base ce sont les rhinocéros les monstres) * Bérenger renverse les valeurs en faisant l’éloge des rhinocéros grâce à un vocabulaire mélioratif «  nudité décente, sans poils, peau rugueuse, ce sont eux qui sont beau

locomotion, la vie particulière dont il semblait doué. Si c’était un cétacé, il surpassait en volume tous ceux que la science avait classés jusqu’alors. Ni Cuvier, ni Lacépède, ni M. Dumeril, ni M. de Quatrefages n’eussent admis l’existence d’un tel monstre, – à moins de l’avoir vu, ce qui s’appelle vu de leurs propres yeux de savants. À prendre la moyenne des observations faites à diverses reprises, – en rejetant les évaluations timides qui assignaient à cet objet une longueur de deux cents pieds et

de Thésée. Enfin elle compare la perfection d’Hippolyte à celle des dieux « tel qu’on dépeint nos dieux, ou tel que je vous voi ». Dès lors l’aveu est manifeste. II- Une réelle passion A- Un rêve héroïque Le jeune Hippolyte n’a pas tué de monstres, pas dompté de brigands, pas conquis de pays. Phèdre lui fait cadeau d’un merveilleux passé : celui de son père. Elle invente une histoire faite d’aventures « il traversa les flots », de jeunes filles admiratives « digne sujet des vœux des filles

Quelle peut être la fonction du monstre dans l’imaginaire humain? Travail présenté à : Richard Lemire Dans le cadre du cours de : Les grandes figures de l’imaginaire GAF - 305 - 03 Groupe : 00002 Réalisé par : Alexandre Vaillant Cégep de Saint-Hyacinthe 9 février 2011 Quelle peut être la fonction du monstre dans l’imaginaire humain? À travers les siècles, l’homme étant fasciné par l’autre, le différent, a su créer d’innombrables figures imaginaires monstrueuses. Goules, sorcières

pus m’empêcher de frémir »). Par conséquent, l’atmosphère et le personnage qui effraie le narrateur, créer aussi par identification la peur chez le lecteur. Nous analyserons maintenant comment Dracula est représenté explicitement comme étant un monstre. En premier lieu, Dracula est présenté comme un personnage étant anormale. Il est vu comme quelqu’un n’appartenant pas à la nature humaine. Pour cela, Stoker oppose les adjectifs descriptif du vampire « rouge […] mais pâle » et « rares […] mais abondants »

laideur et de la beauté ? Du merveilleux ? De l’ambivalence humain /animal. Un site en lien avec le film de Jean Cocteau : http://pedagogie.ac-toulouse.fr/ecoleetcinema31/films/bellebete/fiche.htm Débats interprétatifs La laideur /la beauté Être un monstre en apparence mais à l’intérieur de soi, connaître les sentiments les plus délicats. La laideur n’est rien : nul n’est totalement laid ni beau (apparence physique/rapport à autrui). Les qualités intrinsèques restent indépendantes de l’apparence. La

Blagues de Monstres #1-Hey l'autre jour g vue un fantome nain! -Pis ta tu eu peur -Un peu !! #2 -Tu sais tu pourquoi le loup-garou se change juste a pleine lune? -A c pour sa kil sens bizarre #3-Tu c dit kesse kun zombie photographe ki fait du parkingson dit ? -Maudit jaurais du choisir un autre job! #4-Tu c tu comment il sapel le monstre chinois ki fait peur au enfant ? -Entsudu li ! #5-G une tisane a plante carnivore! -ha ouin stu bon ? -Sa goute le steak! #6-Pk t plein

semblent être à première vu totalement opposé. La beauté est en quelque sorte un idéal type que tout le monde reconnait ainsi, alors que la monstruosité est plutôt un terme faisant référence à l’horreur. Ce terme est d’ailleurs tiré du nom commun « monstre ». On peut aussi remarquer que l’adjectif monstrueux peut être employé en tant que procédé ironique d’exagération. Mais le terme de beauté monstrueuse au sens propre est très subjectif. En effet, la beauté et la monstruosité sont des termes dépendant

la normalité n’aime pas, ils s’opposent à l’opinion commune. Dans les deux cas, ils défendent des choses que l’homme n’aime naturellement pas, alors que selon eux, ces choses ne demandent qu’à être aimées. L’araignée est jugée comme une sorte de monstre, du fait de sa laideur, Victor Hugo et Redon décident donc de la prendre sous leur aile et de démontrer qu’elle est rejetée injustement en prenant le laid pour le beau. Ils tentent ainsi de provoquer de la compassion auprès de leur public.