Monstres Littérature

La belle et la bête Extrait du Lycées de Fécamp http://maupassant-lyc.spip.ac-rouen.fr/spip.php?article1222 La belle et la bête - Enseignement - Disciplines - Lettres et sciences humaines - Lettres - Français - Corpus : le thème du monstre - Date de mise en ligne : mardi 17 avril 2012 Description : Dans le cadre d'un groupement sur la monstruosité en classe de 1S4, voici un commentaire du texte de Jeanne-marie Leprince de Beaumont figurant à la page 276 du manuel de français L'écume des Lettres

rejète tout ce qui est anormal. Au XVI eme, il y a un grand engouement pour les monstres, il attire, y sont fascinant mais font aussi peur car ils sont associés à la divinité. Montaigne explique que Dieu est le créateur de tout les êtres vivants quel qu'il soit( les monstres ne sont pas une punition). La tonalité didactique et épidictique sont omniprésents. Il s'agit d'un essai, qui parle d'un enfant cyamoi, d'un monstre. Problématique; Il sera intéressant d'étudier dans quel mesure MONTAIGNE réalise

pendant les lumières. Dans leur discours argumentatif, les deux auteurs évoquent la monstruosité tout en gardant des qualités sur ces monstres. Nous nous interrogerons sur comment les auteurs nous réfléchir sur l’humain. Dans ces deux textes, les deux auteurs évoquent la monstruosité. Dans l’Essais de Montaigne, il évoque cet enfant étrange, qui ressemble presque à un monstre et ces citation nous le montre : « étrangeté », « un bras plus court que l’autre ». Dans La Belle et La Bête Jeanne Marie LePrince

Documents Complémentaires Séquence n°1 Des Monstres Texte A : Homère, L’Odyssée, Chant XII, VIIIe siècle av JC (les monstres Scylla et Charybde) Tels sont ces deux écueils. L’un, de son faîte aigu, atteint le haut Ouranos, et une nuée bleue l’environne sans cesse, et jamais la sérénité ne baigne son sommet, ni en été, ni en automne ; et jamais aucun homme mortel ne pourrait y monter ou en descendre, quand il aurait vingt bras et vingt pieds, tant la roche est haute et semblable à une pierre

Synthèse sur la monstruosité (corrigé) la monstruosité est un topos bien connu de la littérature, des arts et des discours scientifiques et historiques, probablement parce qu'elle va de pair avec par opposition, l'autre face de Janus: l'humanité. Est monstrueux tout ce qui choque la définition ordinaire et souvent valorisante que nous avons de notre propre qualité humaine. Le corpus proposé met en perspective des documents variés de par leur genre (textes fictionnels, comme avec

 SQ 4° : Portraits de monstres et de créatures. Objectifs  Approfondir l’étude du discours descriptif : lire, écrire et structurer des portraits.  Etudier la place du narrateur dans la description.  Mener un travail de recherche. Séance 1 (vocabulaire) : Définir ce qu’est un portrait. Oral puis synthèse écrite : Qu’est-ce qu’un portrait ? Un portrait (image, texte, sculpture) représente une personne, réelle ou fictive : on dit qu’on brosse son portrait car le portrait était d’abord

monde énigmatique a fait naître les monstres marins. Le mot monstre apparait pour la première fois en 1120 après J.-C. L’étymologie de ce mot provient du latin monstrum qui découle de monstrare signifiant « montrer ». A l’origine, le mot monstre était utilisé pour évoquer des attributs physiques comme la malformation génétique. La définition a évolué au cours du temps et on peut distinguer aujourd’hui deux types de monstres : naturels ou fictifs. Les monstres existent dans les sociétés et un certain

Mary Shelley réussis bien à nous le faire ressentir à l’aide de son célèbre roman Frankenstein. Tout au long du récit, elle nous pousse à nous questionner sur la nature du monstre et de son créateur. Ce qui m’amène à me poser cette question : qui de Victor Frankenstein ou la créature est plus humain que l’autre? Selon moi, le monstre de Frankenstein est le plus humain des 2 personnages. À mon avis, on retrouve plus d’humanité chez la créature, avant sa transformation. Dans la première partie du roman

Le monstre de Frankenstein est un personnage créé en 1818 par la romancière britannique Mary Shelley. La jeune femme, alors âgée de 18 ans, publie anonymement le roman Frankenstein ou le Prométhée moderne. Ce roman a connu un succès immédiat et a inspiré de multiples adaptations cinématographiques. Ce sont les films de James Whale en 1931, puis de Terence Fisher (1957) et de Kenneth Brannagh (1994) qui ont fait entrer ce personnage dans notre imaginaire collectif. L’interprétation de Boris Karloff

   Après avoir tué Méduse, sur le chemin du retour, Persée s'arrête dans le royaume d'Ethiopie. Il voit une belle jeune fille enchaînée à un rocher battu par des vagues furieuses. Il s'agit d'Andromède, la fille du roi, livrée à un monstre marin ravageant le pays tout entier. Cette jeune princesse paie le prix de l'orgueil et de l'imprudence de sa mère. En effet ,elle a déclaré que sa fille était plus belle que les Néréides, nymphes de la mer. Celles-ci vexées, ont demandé à Poséidon, le dieu des