Monstrueux

libre accentue l’admiration envers la machine. À l’inverse, le narrateur dénonce l’alcoolisme symbolisé par la machine. Il dresse le portrait de l‘Alambic comme celui d’un animal monstrueux, tapi insidieusement. En effet, l’emploi des mots « cornue », « ronflement », « sueur » donne un aspect bestial. Le coté monstrueux de l’animal se reflète au travers des mots : « énorme », « forme étrange », « enroulement sans fin » , « se répandre » et « inonder le trou immense ».Le danger de ce monstre semble

constater qu'aujourd'hui encore les infirmes (handicapés et autres), qu'ils soient vu dans la rue ou par les écrivains, continuent d'être repoussants, misérables. Effectivement, tous les corps infirmes engendrent de la peur et sont assimilés à des corps monstrueux. Pourtant,à partir de certains textes, on s'aperçoit que lorsqu'ils commençaient à être éduqués, ils étaient regardés différemment . Dans Gargantua par exemple, le corps invalide devient éducable, il manifeste le fait qu'il peut accéder à des compétences

quelconques remarques sur les deux pièces, il faut résoudre cette aporie d’un misanthrope au théâtre. Alors et seulement une fois ce problème résolu nous pourrons voir dans quelle mesure nos misanthropes sont de vrais misanthropes, et le caractère monstrueux, l’horreur même que cela susciterait. Un vrai misanthrope ne peut exister au théâtre. Si le vrai misanthrope ne peut être au théâtre, Cnémon et Alceste seraient des monstres, erreurs non de la nature mais de l’art en l’occurrence. L’étude du motif

Maupassant prétexte une promenade de Pierre, après l’épisode de l’héritage. Il présente une vision panoramique, en s’appuyant sur le cadre spatio-temporel. Il décrit les alentours du port, grâce à des comparaisons comme «semblable à deux cyclopes monstrueux et jumeaux», et utilise des connecteurs logiques comme «puis» ou temporels comme «juste à ce moment». Par ailleurs, on peut relever des indices spatiaux, «sur sa droite», «tout prêt de lui», et des verbes de perception comme «il vit». En effet,

Comment ce texte qui mêle réalisme et fantastique laisse-t-il transparaitre le paysage intérieur de Pierre ?I/ Un texte qui nous transporte du réel au fantastiqueII/ Un paysage qui laisse deviner un homme perturbé : le portrait intérieur de Pierre. Guy de Maupassant est un journaliste et écrivain français. Il nait le 5 août 1850 en Normandie. Lié à Flaubert et Zola, il marque la littérature française par ses romans et ses nouvelles qui allient parfois réalisme et fantastique. Il écrit

b) un motif grotesque et monstrueux Ce passage pose un problème de mise en scène : comment montrer la métamorphose de Jean ? Elle est rendue possible par les aller-retours dans la salle de bains dont le spectateur ne voit pas l'intérieur. Ainsi peuvent s'opérer les modifications de maquillage necessaires au processus de métamorphose. Il est intéressant de noter que la salle de bain, lieu emblématique de la civilisation est ici pour Jean celui du retour au monstrueux. -un motif grotesque :

incapables de s’insérer dans la société, dans la vie de la Cité. Les enfants handicapés représentent une charge pour les familles grecques, un « poids inutile », « un luxe dont on doit se passer ». Les grecs vont partir à la chasse de l’enfant « monstrueux ». Dans De la génération des animaux, Aristote va définir ce qu’est le monstre en ces termes : « Le monstre appartient à la catégorie des produits qui ne ressemblent pas aux parents (…), des phénomènes contraires à la nature, à la nature considérée

clartés éternelles » (V14). Mais aussi « fiersmonuments » V10 ; « miroirs » V13. A - Par son immobilité Dans ce sonnet la ponctuation est lié au rythme ce qui immobilise la beauté des manières les plus froides. Elle se rapproche à quelque chose de monstrueux, par son immobilité : « comme un rêve de pierre » au V1 ; « un amour […] muet » au V3 à 4 ; « comme un sphinx » au V5, le sphinx témoigne d’une immobilité, c’est une créature de la mythologie grecque décrite comme fantastique B - Impassible Cette

bruit. On ne peut pas dire quelque chose pour ne rien dire Commentaire Composé  Il faut rentrer dans les détails du texte  Strophe non régulière  Rime orpheline dans la dernière strophe  Gorgoone : femme avec des cheveux de serpent (monstrueux)  Méduse c’est une des trois gorgone  Il y a des questions avec et sans point d’interrogation Introduction  Mise en situation du texte  Lecture à l’oral, résumé à l’écrit  Terme du texte de quoi ça parle ? o Association psychanalyse

de Paris. Problématique : (ATTENTION : c'est un exemple de plan pour ce texte ; vous pourrez avoir d'autres questions, qui demanderont des développements différents) → En quoi cet extrait dresse-t-il paradoxalement l'éloge d'un personnage monstrueux ? Eloge : discours pour vanter les mérites de qqn ou de qqch. I Le portrait d'un monstre A) UN PORTRAIT ORGANISÉ POUR PROVOQUER LA SURPRISE DU SPECTATEUR : - Hugo décrit d'abord la grimace puis la tête puis le reste du